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sur 226 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Les oiseaux migrateurs se trompent de direction, les mouches colonisent Chicago, les papillons monarques s'écrasent au Pôle Nord: résultant des ondes émises par les nouvelles technologies ce désordre environnemental inspire Lovestar, génie mégalomaniaque. A travers l'entreprise qui porte son nom, il relie les hommes par ces ondes invisibles et devient le maître du monde en imposant une société entièrement connectée: "l'homme sans fil". C'est ainsi que le roman de science-fiction d'Andri Snaer Magnason débute. Les hommes n'ont plus besoin de leur liberté de penser puisque tout sera désormais calculé. Libérer l'homme des décisions à prendre, voilà la clé du bonheur. Notre impact sur l'environnement, l'aggressivité des publicités, la technoïsation croissante... tout en poussant ces concepts à l'excès et les rendant par là absurdes, l'auteur nous interroge tout de même sur notre société, tant il s'agit de sujets d'actualité. Critiques économique, technologique et éthique réussies, avec notamment une personnification bien menée de l'entreprise mondialisée qui devient omnisciente avec le consentement et la participation de tous. Si vous utilisez les objets connectés, vous devriez vous sentir concernés... Cependant, la complexité un peu brumeuse du destin de Lovestar a fini par me perdre un peu, et en réalité me concernant, l'intérêt du roman apparaît surtout dans la seconde partie: en parallèle et insidieusement l'auteur ajoute des codes de la littérature fantastique: à travers l'histoire d'amour d'Indridi et Sigridur, c'est le mythe d'Orphée qui veut sauver Eurydice de l'enfer, et c'est aussi et surtout l'apparition du grand méchant loup qui redonne du rythme, pour une chute digne d'un film hollywoodien.
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Encore une fois, j'ai pris un livre au hasard car je n'avais vraiment pas d'idées de lecture. Et c'était une très bonne surprise ! Ces derniers temps, j'avais un peu délaissé la science-fiction, car j'avais lu beaucoup de dystopies médiocres dans les romans Young Adult et ça tournait très vite en rond avec beaucoup de clichés et peu de profondeur. Je m'y suis remise il y a peu avec George Orwell et je dois avouer que, finalement, ce genre littéraire, quand il est bien écrit, peut vraiment être plaisant à lire.
Au tout début, j'avais un peu de mal à rentrer dans l'histoire, car je sortais d'un roman totalement différent, mais je me suis très vite mise à apprécier ma lecture. le monde dans lequel se déroule l'histoire est dépeint de façon très ironique, nous montrant les conséquences de la technologie quand elle contrôle entièrement nos vies. de plus, la société de consommation est omniprésente : tout est créé pour nous inventer des besoins inexistants et nous pousser à acheter plus, toujours plus. Jamais satisfaits. On ne sait pas qui est sincère et qui ne l'est pas : qui a été grassement payé par une entreprise pour sympathiser avec nous et nous donner envie de débourser tout notre argent pour ses produits et qui est véritablement notre ami ?
J'ai bien aimé l'histoire d'amour, même si je l'ai trouvée un peu trop mièvre, et je pense qu'elle est surtout un prétexte de l'auteur pour pouvoir nous montrer tous les aspects de cette société "parfaite". Les personnages sont un peu creux selon moi, mais je trouve que cela convient à ce type de roman, une sorte de comédie de science-fiction très loufoque et ironique.
Ce qui est dommage, c'est que la ligne chronologique n'était pas toujours très claire. Sans crier gare, on pouvait retourner des années en arrière puis revenir au présent, puis encore dans le passé, mais il n'y avait rien au début qui indiquait qu'on avait changé d'époque, c'est seulement au bout d'une dizaine de pages que je comprenais qu'on avait remonté le temps.
Ce qui m'a le plus plu dans ce roman est la plume si particulière de l'auteur, qui me donnait envie de rire malgré les sujets pas forcément très heureux qui étaient abordés. Les moments les plus tristes étaient rendus hilarants par cette façon d'écrire très légère et cynique.
Si vous aimez 1984 et l'Ecume des Jours, vous aimerez aussi LoveStar, qui est le juste milieu entre les deux !
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La société futuriste dépeinte dans cette dystopie islandaise fantaisiste peut paraître absurde au premier abord, mais elle ressemble étrangement à la nôtre... "L'homme sans fil moderne", connecté au réseau en tout temps; les "hébergeurs clandestins", payés par les entreprises pour "influencer" leur entourage; les services marketing collectant des données sur tout le monde et produisant des publicités personnalisées; et une grande entreprise monopolistique qui contrôle le monde, la vie, la mort – jusqu'à en devenir Dieu! La version originale du roman a été publiée en 2002, mais il est on ne peut plus d'actualité.

C'est une satire de la modernité complètement délirante à lire au deuxième degré. J'ai eu un peu de mal à accrocher au début parce qu'il y a beaucoup de digressions et de world building. Les personnages sont plutôt caricaturaux, alors il est un peu difficile de s'identifier à eux. Mais l'univers créé est intéressant et amusant, et l'histoire qui avance lentement au début finit par prendre son erre d'aller, pour aboutir en une finale mémorable! La morale sous-jacente à l'histoire se dévoile au fil des pages et surprend par sa pertinence. C'est un bon roman d'anticipation, cocasse et original.
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J'ai eu un peu de mal au début à accrocher à ce livre que je trouvais « bizarre » mais une fois prise dans l'histoire, ma curiosité a pris le dessus. En effet, plus j'en apprenais sur Sigriđur et Indriđi, et plus je voulais savoir comment ils allaient surmonter les obstacles mis sur leurs routes. de même, j'ai aimé découvrir petit à petit qui était Lovestar et comment il est devenu cet homme qui a révolutionné le fonctionnement du monde humain. Il y a de l'absurde, de beaux paysages islandais, une histoire d'amour, des inventions diverses et variées, de l'humour noir et même une certaine morale, et le tout donne un livre étrange et en même temps terriblement captivant.
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Une dystopie d'Islande, car on n'y écrit pas que des polars.

Un monde débarrassé des technologies au profit de moyens découverts en mettant à profit l'étude des modes de communication des oiseaux et des papillons qui s'envolent ensemble et parcourent de concert leurs longues migrations. Si les oiseaux synchronisent ainsi leurs cerveaux, pourquoi les humains ont-ils besoin d'appareils?

Mais ces avancées scientifiques servent surtout à de nouvelles formes de publicité, à des marketings à outrance et au contrôle des esprits. Rien n'échappe à la rapacité commerciale, pas même l'amour et la mort!

Au départ, le style m'a semblé froid, détaché. J'avais un peu l'impression de lire un documentaire. Puis je me suis peu à peu laissé prendre par cette histoire complexe qui dénonce aussi les dérives de la société de consommation.

Et le roman recèle bien des surprises et des péripéties incroyables, même une intervention du Grand Méchant Loup (ceux qui l'ont lu sauront de quoi je parle, pour les autres, je vous garde la surprise!)
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LoveStar, industriel génial et visionnaire, a bâti sa fortune sur un système de communication inspiré des oiseaux migrateurs, libérant pour toujours l'humanité du carcan de l'électronique. Et ce n'était que le premier jalon de son empire. Entre autres inventions révolutionnaires, REGRET vous permet de rembobiner vos enfants, inLove calcule votre âme soeur sans erreur possible, et avec LoveMort vous pouvez offrir à vos concitoyens le spectacle grandiose de votre corps changé en étoile filante. Indridi et Sigidur filaient le parfait amour, jusqu'au jour où Sigidur reçoit sa lettre d'inLove : ça y est, le système a trouvé son seul et unique... mais ce n'est pas Indridi !

Bon, ok j'avoue, j'ai un faible pour les dystopies. Et on peut dire qu'avec ce roman, je n'ai pas été déçue !
Malgré un rythme assez lent, une intrigue qui passe en second plan et un style d'écriture qui nécessitait d'être en permanence archi-concentré, j'ai adoré cette lecture.
L'auteur, par le biais de deux intrigues entremêlées, nous livre le tableau d'une société future, plus « évoluée » que la notre. Durant de longues pages, il nous explique comment l'humanité en est arrivé à ce stade, et nous détaille les avancées technologiques qui se sont produit avant le début de l'histoire. J'ai adoré cette partie, pour la simple & bonne raison que peu de dystopies sont aussi précises concernant la manière dont les changements sont survenus. D'habitudes, ces changements sont survenus, et c'est tout. On sait vaguement comment & pourquoi, mais c'est toujours assez flou. Ici, l'auteur retrace ces changements, et nous les explique tout au long de l'histoire. Certes, ça donne l'impression que l'intrigue n'avance pas, mais le travail de l'auteur sur le contexte est tellement bien mené que ça ne m'a pas dérangé. Enfin, ça demande quand même une sacrée concentration.
Cette description de la société, de l'évolution de l'homme, des technologies & de leurs conséquences m'a séduite ! Très bien pensé, très crédible, facile à imaginer & visualiser, c'est comme si l'auteur avait ouvert une fenêtre sur le futur ! En plus, les personnages sont attachants. Et quelle fin ! Derrière un ton satirique, l'omniprésence de la poésie rend ce voyage encore plus fabuleux. Mais les questions que soulèvent l'auteur, et les réponses polysémiques qu'il apporte vont me hanter longtemps …
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Il n'y a pas à se mentir, Lovestar est un livre avec de nombreuses facettes. Ainsi, il est à la fois :

- Très lent : Clairement, ce qui nous est vendu par la quatrième de couverture ne débute qu'après un petit bout de temps et n'évolue pas vraiment.

- Très rapide : Il y a environ une nouvelle idée par chapitre.

- Loufoque : Je pense notamment au Grand Méchant Loup.

- Effrayant : Que dire de la situation des aboyeurs qui, reliés à un organisme publicitaire, perdent le contrôle de leur corps pour vanter les mérites d'un produit quelconque ? Que dire des aboyeurs cachés qui trahissent leurs amis pour leur faire acheter de la camelote ? ( A-t-on là une espèce de prophétie au sujet des comptes instagram ?) du contrôle absolu qu'exerce Lovestar sur la population. Sans parler des Mickey Mouse en chair et en os.

- Attendrissant : Une histoire d'amour un peu loufoque, avec deux amants luttant seuls contre le monde entier.

- Théologique : Et oui, dans tout ça, on a même droit à un petit questionnement sur Dieu.

Je pense qu'on pourrait encore lui donner d'autres qualificatifs divers et variés, mais il me semblait que c'était là les principaux.

Au final, un bon livre, que je recommande sans hésiter.
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Imaginez un monde plus proche de la nature, un monde où l'homme, débarrassé des appareils électroniques, peut se connecter n'importe où, n'importe quand, avec n'importe qui.

Un monde où un génie, surnommé LoveStar, est consumé par ses idées, idées qui ont changé la face du monde.

Un monde où un couple vit un amour des plus mièvres dans la félicité la plus totale.

Un monde idyllique en somme? Pas vraiment.

Ce premier roman d'Andri Snaer Magnason, un auteur islandais que je ne connais guère, m'a laissé une impression forte et durable. L'imagination y est grande, foisonnante, les idées nombreuses et originales. Ici, point de hard-SF : soyez prévenus. Ce n'est pas l'objet de ce livre.

Son objet? Il ne se donne pas facilement. Une fable grinçante, un miroir déformé, une satire féroce : indubitablement. Mais encore? Une dystopie? Probablement. Mais une dystopie qui a de l'humour.

L'hypothèse de départ peut surprendre : à la suite de divers changements climatiques, ma foi assez surprenants (Chicago ensevelie sous le miel !), et d'une découverte tout aussi extraordinaire, l'humanité a pu se libérer des clés USB, fils, Wi-Fi et autres machins et bidules électroniques.
Libéré de cette technologie asservissante, l'humanité n'en a été que plus heureuse. Mais à quel prix?

Des critiques que j'ai pu survoler, LoveStar serait un roman dénonçant le consumérisme. Indubitablement, il y a de cela : le Service Ambiance prend le pas sur d'autres services ; LoveStar est trop occupé à avoir de nouvelles idées et à les faire accoucher pour se soucier véritablement des implications de ses créations ; la technique remplace le libre-arbitre, l'individu s'efface et s'en remet à des algorithmes qui ne disent pas leurs noms ; les hommes deviennent des outils pour les stratégies de communication des uns ou des autres (et pas que des entreprises).

Mon impression, c'est que l'auteur ne critique pas la technologie en soi, ni la consommation en soi : notre technologie moderne est d'ailleurs mise de côté dès le départ, tout comme nos modes de consommation. le problème, ce n'est pas la technique, c'est ce qu'on en fait et surtout la place qu'on veut bien lui donner : subordonner votre liberté la plus fondamentale à une machine, à un algorithme, à un procédé dont vous ne comprenez rien, c'est abdiquer quelque chose de fondamental.

Loin d'être technophobe, ce roman me paraît être un appel à la sagesse dans l'usage et la place laissée à telle ou telle technologie. Prenez inLove, par exemple, qui vous choisit votre âme soeur selon des critères scientifiques incontestables (et le résultat est là, ce n'est pas du charlatanisme) : que faire face à cela? Accepter? Se rebeller? Pour ceux qui regardent la série Black Mirror, c'est là le thème de l'épisode 4 de la saison 4 (et je ne peux m'empêcher de penser que les créateurs de Black Mirror ont lu LoveStar pour réaliser cet épisode…).
Islande, Sumer, même combat?

Une autre critique que je vois revenir est l'invraisemblance des technologies déployées dans le roman. Sans entrer dans le détail, il s'agit avant tout d'une technologie fondée sur la transmission des données s'inspirant « des ondes des oiseaux« .

C'est, à mon avis, une critique qui rate quelque peu sa cible : la vraisemblance n'est pas du tout un objectif de ce livre. Il s'agit, de toute évidence, d'une fable, d'un conte. Pour tout vous dire, je ne peux m'empêcher de penser à Pinocchio : serait-il juste ou pertinent de juger de la qualité de Pinocchio en se fondant surtout sur le fait qu'un pantin de bois ne peut vivre sa vie? Ni devenir un petit garçon?

Comment classer cette oeuvre? Il s'agit de littérature de l'imaginaire, c'est certain, mais encore? de la science-fiction? Certes, les procédés scientifiques y tiennent une place, mais ne sont au fond que le prétexte à des idées, des concepts, qui sont explorés dans le détail. Il ne s'agit pas d'anticipation, ni de SF d'anticipation : personne ne pense sérieusement que ce qui est décrit dans le livre puisse advenir de la façon dont cela est décrit -cela étant dit, je rappelle que ce livre a été publié en 2002, soit avant Google, Facebook, Twitter & consorts, les réseaux sociaux n'existaient pas : bien que ne relevant pas, à proprement parler, de la SF d'anticipation, il reste que ce livre contient en son sein des intuitions fulgurantes-. Si je devais classer cette oeuvre, je la rangerai du côté des contes futuristes, à mi-chemin entre la dystopie et la SF humoristique. Mais au fond, doit-on classer ce roman? Je vous laisse y réfléchir.

L'intrigue est, je le crains, le point faible de cette histoire. Je vous le dis franchement : je n'ai pas accroché à l'histoire de ce jeune couple islandais qui essaie de surmonter la fatalité algorithmique d'inLove pour vivre son amour en toute authenticité. Est-ce de mon fait? Je ne crois pas : cette histoire d'amour me paraît être un accessoire : on y revient de temps en temps, la chose se met en place très doucement, et la conclusion n'a rien de spectaculaire pour cet arc narratif-ci. Si vous cherchez une fresque épique mettant en scène deux amoureux transis triomphant d'un monde froid et indifférent, c'est clair, vous allez être déçu.

Mon avis? Prenez ce livre pour ce qu'il est : une parabole, un conte relevant de l'imaginaire mais qui n'en reste pas moins ancré dans certains aspects du réel, que ce soit notre relation à autrui ou à la technologie. N'y cherchez pas de la hard-SF ou une histoire d'amour, et tout ira bien.

Pour une critique (un peu) plus complète, vous pouvez aller sur mon blog !
Lien : https://journalduncurieux.co..
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Livre totalement innovant, de par son récit des plus inventif et qui est en même temps si proche par moment de notre société ce livre m a totalement transporté. Il n y aucune longueurs pour ma part mon souffle est resté suspendu au récit et ce d un bout a l autre de ce dernier. Écrit dans un style direct avec une narration imagée qui vient soutenir notre imaginaire ce roman m a séduit.
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Ce joli livre m'a fait de l'oeil en librairie, la couverture était bien sympas du coup… je l'ai acheté ! le résumé m'a convaincue avec son côté SF que j'aime chaque jour un peu plus.

Et j'avoue que je ne suis pas tombée sur ce que j'attendais. Une histoire beaucoup plus légère que ce que mon inconscient m'avait prédit. Je pensais à un univers assez sombre voire dramatique et pas du tout. Pourtant la quatrième de couverture nous y préparait bien mais il fallait sortir du schéma classique de SF parce qu'il est bien au dessus de ça.

Nous avons plusieurs protagonistes qui s'enchainent dans un monde qui peut sembler assez utopique (enfin moi ça me fait rêver) même si quelques « détails » peuvent être perturbants ou tout simplement horribles. Comme les aboyeurs par exemple. Je sais pas si vous avez vu How to get away with murder mais on a parfois le même procédé : on sait la fin mais on ne sait pas comment ni pourquoi.

Notre cher LoveStar peut tout aussi bien faire penser à Snow parfois dans Hunger Games alors qu'il se trouve en être l'exact opposé mais je n'arrivais pas à me détacher cette image physique de ce grand chercheur de celle de l'infâme sans coeur. du coup, on peut avoir un milliard de références, vous l'aurez compris, avec ce livre ! Probablement que la plus importante est 1984 (forcément) parce qu'un monde futuriste et utopique / dystopique, on y vient rapidement. Surtout s'il s'agit de deux amants que le monde veut séparer et qui se sentent injustement à leur place dans la société.

Il y a quand même quelques points négatifs. le personnage éponyme LoveStar dirige une entreprise du même nom et pour toutes ses succursales il met Love. C'est très dérangeant parce qu'inLove encore ça passe mais LoveMort ou LoveOil… Bof. Il est juste un peu fou en plus d'être inventif et créatif. J'ai eu un peu de mal à situer l'action aussi, de savoir si c'était un nouveau monde ou pas et en fait non, c'est le même et tout se passe en Islande. Mais j'étais partie trop loin dans l'imagination de mon monde futuriste…

Ensuite, nous avons notre couple, dont le monde entier s'acharne contre eux. D'ailleurs l'explication sera un peu bâclée à la fin… Enfin bref. Nos deux tourtereaux représentent le contraire que ce que le monde est devenu, ils sont tactiles quand tout le monde est sans fil et ne veulent pas suivre les diktats des sociétés de LoveStar, mais sans faire d'émeutes : ils sont juste amoureux et inoffensifs.

Je ne sais pas trop quoi dire de plus. J'ai un peu de mal à écrire et bien formuler vu que ça fait quelques temps que je n'ai pas écrit et lu tout simplement aussi. En somme, j'ai apprécié cette lecture teintée d'humour mais ce n'était pas un coup de coeur ! C'était léger et décalée, ce qui change de ce qu'on peut voir habituellement et c'est pour ça que je peux le conseiller sans mal !


Lien : https://lesrecitsdhecate.wor..
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