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3,8

sur 736 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Pour les besoins d'une enquête, Qaanaaq, flic danois se voit contraint de retourner sur les terres qui l'ont vu naître : au Groenland. On part alors sur un polar où les manipulations politiques s'enchaînent sur fond de guerre du pétrole qui nous mène à un tueur mystérieux qui lacère ses victimes tel un ours…

J'ai bien aimé le personnage de Qaanaaq, il a beau être un peu complexe et brut de décoffrage aux premiers abords, on sent que sous la carapace, se cache quelqu'un d'attachant. D'autant qu' il y a cette quête identitaire qui l'anime et finalement, plus encore que l'enquête, c'est ce qui m'a le plus plu dans ce roman. Comme lui, j'avais hâte de découvrir ses origines et de comprendre son passé.

Même si j'ai trouvé ça prenant et que j'ai passé un bon moment, j'avoue que j'ai mis beaucoup de temps à lire ce roman, surement à cause des multiples noms nordiques, aussi bien pour les lieux que pour les personnages. J'étais parfois un peu perdue entre les nombreux personnages aux noms compliqués… Et puis, je trouve toujours les polars nordiques plus lents que les polars que je lis habituellement.

Malgré tout, j'avais hâte de connaître le dénouement et j'ai été surprise jusqu'au bout parce que je n'avais pas du tout deviné la fin. Et être surprise, c'est exactement ce que j'attends d'une enquête de polar ! Ce n'est pas un simple polar nordique à l'enquête bien ficelée, puisqu'on y aborde des sujets plus complexes tels que la quête des origines et un véritable questionnement économique.

Avec cette histoire, on est immergés en plein Groenland, c'est donc une lecture parfaite pour la saison avec le froid et la neige à gogo. Alors si vous aimez les polars nordiques, n'hésitez plus ! Pour ma part, je découvrais l'auteur avec ce roman et même si j'ai mis un peu de temps à entrer pleinement dans l'enquête, j'ai bien envie de poursuivre l'aventure en lisant le prochain tome pour en découvrir plus sur ce personnage mystérieux qu'est Qaanaaq.
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L'hiver commence et les lectures de polars aussi ! Je me suis perdue dans les rayonnages de la librairie L'Astragale à Lyon et je suis tombée sur Qaanaaq de Mo Malo publié aux éditions Points.

❆❆❆

Résumé de l'éditeur

Dans le vaste pays blanc, l'esprit de Nanook se réveille. le grand ours polaire, seigneur des lieux, protégera les siens. Jusqu'au bout. Adopté à l'âge de trois ans, Qaanaaq Adriensen n'a jamais remis les pieds sur sa terre natale, le Groenland. C'est à contrecoeur que ce redoutable enquêteur de Copenhague accepte d'aller aider la police locale, démunie devant ce qui s'annonce comme la plus grande affaire criminelle du pays : quatre ouvriers de plateforme pétrolière ont été retrouvés, le corps déchiqueté.

Les blessures semblent caractéristiques d'une attaque d'ours polaire. Mais depuis quand les ours crochètent-ils les portes ? Flanqué de l'inspecteur inuit Apputiku, grand sourire édenté et chemise ouverte par tous les temps, Qaanaaq va mener l'enquête au pays des chamanes, des chasseurs de phoques et du froid assassin.

❆❆❆

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre concernant le premier tome des enquêtes de Qaanaaq et pour une fois je ne me suis pas trompée à la librairie. Habituellement, j'ai toujours la bonne idée de commencer par le milieu des séries policières…

On rentre assez rapidement dans le vif du sujet dès les premières pages. On se doute que le passé de Qaanaaq va peser dans son enquête, on ne sait juste pas encore de quelle manière. Les présentations avec le personnage de Qaanaaq ne m'ont pas fait vibrer immédiatement, on comprend qu'il n'est absolument pas ravi d'être expédié au Groenland et cela nous plonge dans une ambiance plutôt morose. La vision qu'a le capitaine de police de ses collègues inuits et du Groenland de manière générale ne nous permet pas de l'apprécier suffisamment pour nous y attacher. Heureusement, son acolyte Apputiku le rend plus sympathique au fil des pages et bien sûr il ne faut tout de même pas dénigrer son talent d'enquêteur.

L'intrigue peut paraitre assez simple au départ, puisque l'on soupçonne rapidement certains protagonistes du roman sans se douter que ces crimes vont bien au-delà du mobile habituel. Politiques intérieures et étrangères se mêlent à notre intrigue, le passé du capitaine refait surface. L'auteur nous mène au-delà du simple crime de convenance et on ne se lasse donc pas de notre lecture.

Cette série est une belle découverte et je vais bien évidemment continuer l'aventure auprès de Qaanaaq et avec un peu de chance en bonne compagnie avec Apputiku.

Bonne lecture à tous,
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Je ne sais pas trop où me positionner avec ce livre ...
Malgré une intrigue intéressante, je lui ai trouvé quelques longueurs ... J'ai eu du mal à apprécier le personnage principal Qaanaq Adriensen, que j'ai trouvé pénible dans un premier temps, car blasé de tout et prompt à critiquer tout ce qui passe devant lui : rien ni personne ne trouve grâce à ses yeux. Heureusement ce côté de sa personnalité s'améliore au fil du livre et nous dévoile une psychologie plus profonde.
(attention spoiler) Je n'ai jamais été une grande fan du thème , clairement cela ne me passionne pas du tout, et m'ennuie même...
Mais j'ai apprécié la façon d'écrire de l'auteur et le côté intellectuel de l'intrigue. Je pense que je lirais le suivant, pour ne pas rester sur une impression en demi-teinte.
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Adorer un livre en l'ayant terminé sachant qu'à mi parcours je me suis que je ne lirais jamais les suivants. Et pourtant, après avoir été assez impatiente que l'enquête et l'histoire se dénouent, on découvre au fur et à mesure les tenants et les aboutissants, mais évidemment c'est un polar donc quel est le vrai du faux ? Et c'est ce que j'ai adoré dans la seconde moitié du livre "selon moi". On en apprend sur tous les protagonistes en allant de surprise et surprise. Et là bien sûr je n'ai qu'une envie, connaitre la suite des aventures de notre cher Capitaine. Premier ouvrage que je lis qui se passe dans le Groenland et l'ambiance est très présente.
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J'ai bien aimé ce polar, parce que ça se passe dans les pays froids et que les personnages sont intéressants, l'histoire est un peu tortueuse mais on se laisse prendre par le style et par le suspense. On y apprend aussi des tas de trucssur le pays (que je vais oublier aussi sec ...).
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Un excellent polar nordique à la française

Pourquoi à la française ? Tout simplement parce que, pour ma part, j'ai souvent du mal avec les polars nordiques. Je commence un peu à m'y faire et à y trouver parfois du plaisir (comme avec des auteurs comme Camilla Grebe ou Asa Larsson) mais, à titre d'exemples, je n'ai jamais encore réussi à dépasser les 100 premières pages de "Millénium" et mon premier Indridason, même si ce ne fut pas un déception, ne m'a pas plus enthousiasmé que cela. Par contre, étrangement, les romans français (ou francophones comme l'excellentissime "Horrora Borealis" de Nicolas Feuz) se déroulant dans des univers polaires, en général, ça passe ! Va savoir, Edouard, c'est comme cela la vie d'un lecteur, ça ne s'explique pas ! Mo Malø n'a donc pas fait exception. Il a réussi à m'emporter dans cet univers enneigé où, parfois, règne le néant absolu et où la seule chose que l'on pourrait encore ressentir, c'est l'approche de la mort. En cela, ce fut une réussite. le contexte groenlandais est parfaitement reconstitué tant du point de vue géographique qu'ethnologique ou historique. Mo Malø alias F. M. (à vous de trouver les lettres manquantes), même s'il se révèle être français, maîtrise parfaitement la question, c'est absolument indéniable. A travers le regard de son héros, Qaanaaq, on découvre toute la complexité d'un pays divisé entre sa dépendance économique vis-à-vis du Danemark et ses aspirations à une indépendance qui divise au sein même de la communauté inuit. C'est ici toute la problématique d'une colonisation qui s'éternise sans réussir à équilibrer les forces entre colons et colonisés. Une cohabitation qui en devient par moments étouffante et injustifiée sans jamais parvenir à l'étape d'une collaboration harmonieuse entre deux peuples. Tout cela, l'auteur le rend à la perfection dans son histoire et en fait même le coeur de son intrigue.

Parce que "Qaanaaq", c'est avant tout un polar tournant autour des guerres de pouvoir entre les manigances du ministre de l'Energie, Enoksen, les aspirations de la redoutable cheffe de la police, Rikke Engell, les revendications du mouvement indépendantiste NNK, les intérêts économiques d'Harry Pedersen... Tous désireux d'obtenir l'ascendant à un moment ou un autre sur leurs adversaires. Et ce, au détriment encore une fois soit des locaux soit des travailleurs étrangers qui finissent par devenir les principales cibles de ces rancoeurs intestines. Pour preuve, les quatre premiers meurtres concernent tous des travailleurs venus pour quelques mois oeuvrer sur une plateforme pétrolière. Là où l'intrigue se complique, c'est lorsque l'on découvre, bien plus au Nord, les cadavres de deux locaux, tués exactement de la même manière. On dépasse ainsi la notion de conflit entre colons/colonisés pour s'interroger sur un aspect finalement encore plus profond de l'humanité : lorsque l'ennemi n'est plus l'autre mais bel et bien celui qui nous est proche. En cela, le roman est une véritable réussite.

Mais c'est bien entendu le personnage de Qaanaaq qui séduit avant tout ici. Cet homme qui, à un moment, va se retrouver écartelé, sans l'avoir vraiment voulu, entre sa famille d'adoption et ses origines. On sent chez lui une fragilité touchante, une incomplétude qui fait qu'il ne sait plus vraiment où il en est, en tant que père, en tant qu'amant mais aussi en tant que fils. La fin du roman notamment est bouleversante sur cette problématique personnelle quand la main du héros n'ose soulever, littéralement parlant, le voile sur son passé. J'ai adoré ce passage particulièrement symbolique. Et puis bien entendu, ce qui est magnifique dans cette quête d'identité imprévue, c'est cette amitié qui naît et s'installe entre Qaanaaq et l'inspecteur Apputiku, amitié qui va les faire avancer et grandir l'un l'autre. Appu, notamment, réussira à s'affranchir de cette soumission imposée par leur cheffe pour se révéler être l'excellent flic qu'il avait toujours été au fond de lui-même. On voit ainsi naître un duo, un binôme de frères d'armes qui se voient marqués à jamais par ce qu'ils vont finir par découvrir l'un sur l'autre au fil de cette enquête passionnante.

Mais voilà... parce qu'il y a eu un "mais"

Le problème quand on prend l'habitude de lire, c'est qu'on devient souvent un peu esclave de ses précédentes lectures et ce fut mon cas pour ce roman. Je réitère ce que j'ai dit : "Qaanaaq" reste, à mes yeux, un excellent polar avec une intrigue parfaitement maîtrisée, une ambiance magnifiquement reconstituée et des héros attachants. Mais mon problème, c'est que j'avais déjà un peu lu cela dans la trilogie de Ian Manook, "Yeruldelgger" et plus particulièrement dans le second tome de la série, "Les Temps sauvages". Certes, on n'est pas au Groenland mais en Mongolie mais tout de même, dans ces milieux comparables, certaines caractéristiques du personnage central et certains aspects du dénouement m'ont semblé vraiment très proches au point de faire perdre à l'histoire une partie de son charme. Aussi voilà la raison pour laquelle "Qaanaaq" ne sera pas pour moi un coup de coeur.

Il n'en reste pas moins que je recommande chaudement la lecture de ce polar qui vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière page et surtout, pour le personnage de Qaanaaq en proie avec ses démons du passé et une révélation finale absolument bouleversante.
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Les corps déchiquetés de quatre ouvriers sont retrouvés au camp de base de la compagnie pétrolière Green Oil à Nuuk au Groenland. Il pourrait s'agir de l'oeuvre d'un ours, si toutefois certains indices contradictoires ne venaient contrecarrer cette hypothèse.
Pour aider la police locale, Qaanaaq Adriensen, un flic de Copenhague, est affecté, bien malgré lui, à l'enquête...
Mais au delà de sa mission, il y trouve aussi une occasion unique d'enfin percer le secret de ses origines inuites.

Mo Malø, c'est Frédéric Mars, un français pur jus, qui, pour donner corps et crédibilité à son enquête, a choisi un pseudonyme à consonnance nordique.
Malgré quelques longueurs, l'écriture est fluide et claire, l'enquête est soignée, le récit justement documenté, Qaanaaq est attachant et son coéquipier Inuit, Appu, sympathique et souvent drôle.
Un polar nordique de plus, certes, mais un polar qui fonctionne plutôt bien !
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Mo Malo écrit dans ses remerciements : « Un roman c'est toujours une alchimie subtile entre un univers, l'envie d'en rendre compte, et une ou plusieurs rencontres ». Et il a tout à fait raison.
« Un univers, l'envie d'en rendre compte »
Sur ce point, Qaanaaq est parfaitement réussi. Mo Malo vous envoie pour un aller simple dans l'atmosphère glacée groenlandaise. Les descriptions sont sublimes et s'imposent dans cette lecture d'ambiance.

Le dépaysement est absolu et l'immersion dans les croyances inuites captivante. D'ailleurs, je crois que c'est ma première lecture qui s'articule autour de ce thème. C'est donc une très agréable surprise de sortir un peu des sentiers battus.

« Une ou plusieurs rencontres »
Et là, c'est le grand écart entre les deux rencontres majeures de ce polar. Avec d'un côté, notre personnage central Qaanaaq qui est d'une froideur inhumaine et de l'autre, son « adjoint » Apputiku qui est la chaleur incarnée.

S'il y a une chose d'indispensable pour moi, c'est de ressentir quelque chose pour les personnages de mes lectures. Dégout, horreur, empathie, tendresse, n'importe quoi. Mais avec Qaanaaq, c'est impossible. Il ne laisse absolument rien filtrer.

Franchement, entre le mur de Game Of Thrones ou la personnalité de Qaanaaq, je ne sais pas lequel des deux est le plus infranchissable. On apprend des points essentiels de sa vie personnelle, mais lui, il est juste hermétique.

Alors qu'en face, nous avons Apputiku, un gentil flic inuit. La bonhomie et le dévouement total : lui a su gagner toute ma tendresse.

« Une alchimie subtile »
Entre moi et Qaanaaq, cette alchimie est plutôt fragile, voire instable.

Mon ressenti sur cette lecture est comme un mélange en éprouvette d'une solution potentiellement explosive. Peut-être que ça prend, imaqa (que) non.

À dire vrai, dans ce polar à deux vitesses, j'ai toujours eu l'impression d'être une simple spectatrice, coincée dans une bulle de glace. Si l'enquête sur les meutres des ouvriers de la plateforme pétrolière est très intéressante, je ne me suis pas sentie concernée par la quête personnelle de Qaanaaq.

Mais en même temps, j'ai apprécié l'atmosphère obscure distillée par l'auteur, à la limite du roman noir par certains aspects.

« Une ou plusieurs rencontres »
En définitive, je ne suis pas déçue, mais plutôt indécise. Et je pense qu'il me faudra une seconde rencontre avec Mo Malo pour que je puisse réellement savoir si l'alchimie est là ou pas.
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Deuxième livre lu dans le cadre du Jury Points Polar et ce roman n'a rien à voir avec le précédent.
Ici, nous suivons Qaanaaq, flic danois, dans une enquête se déroulant au Groenland. Les difficultés auxquelles il va être confronté sont nombreuses : tout d'abord, le climat rien moins qu'accueillant et ensuite l'attitude de la population, en pleine revendication d'indépendance. Malgré cela, Qaanaaq est tenace et tient à résoudre son enquête. Accompagné d'Apputiku, un policier inuit, il mettra tout en oeuvre pour découvrir qui tue des hommes en laissant les traces d'un ours sauvage.
Si j'ai aimé l'atmosphère glaciale et tout ce qui touchait au Groenland, j'ai un peu moins accroché sur les personnages. Qaanaaq, malgré un physique imposant et une histoire personnelle atypique, ne m'a pas vraiment intéressée, il m'a paru un peu vide, sans substance. Quelques détails de son passé sont distillés ça et là, sa relation avec son père, avec ses enfants, mais à mes yeux cela manquait de détails et d'explications pour prendre vie. Peut-être l'auteur a-t-il en tête une suite à ce roman et souhaite-t-il garder cela pour plus tard ?
En revanche, j'ai beaucoup apprécié la peinture qui est faite du Groenland, j'ai appris beaucoup sur ce pays, sur ses ressources, son histoire, ses velleités d'indépendance. Les intrigues politiques secondaires m'ont également paru très réussies.
Un avis légèrement en demi-teinte sur ce roman.
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On enfile ses moufles, on met son bonnet et sa parka et direction le grand nord et son froid polaire dans ce roman policier signé Mo Malo.

Le lecteur va suivre Qaanaaq, enquêteur danois aux origines groenlandaises un peu troubles, qui est envoyé dans son pays natal afin d'enquêter sur une série de meurtres particulièrement sanglants.

Je vais le dire tout de suite, j'ai trouvé ce roman très prenant et j'ai apprécié cette enquête. Elle est bien ficelée, ne traîne pas en longueur, les phases d'actions / dialogues / réflexion sont bien réparties et bien sûr on retrouve un tas d'ingrédients annexes qui donnent de la profondeur à l'ensemble, je pense notamment au contexte de débat sur l'indépendance du Groenland vis à vis du Danemark ou encore au passé de l'enquêteur qui va venir, sans grande surprise, se télescoper à l'enquête.

La résolution de l'enquête est assez complexe pour que le lecteur ne puisse pas tout deviner. On a des doutes, des suspicions, parfois des éléments qui se révèlent juste, mais la résolution complète du problème est difficile à anticiper avant la fin du récit.

C'est donc pour moi un bon roman policier, très bien maîtrisé et qui fait passer un agréable moment au lecteur. L'écriture est agréable et sans fioriture. Effectivement, comme j'ai pu le lire dans certaines critiques, l'auteur n'est pas groenlandais mais français, il n'empêche qu'il arrive parfaitement à nous dépayser que cela soit dans la description des paysages ou encore avec l'omniprésence des rites locaux. Dans le fond, cela m'a un peu rappelé un certain Yeruldelgger...

Une belle découverte que je recommande aux lecteurs appréciant les romans policiers dépaysants avec une enquête bien ficelée et maîtrisée de bout en bout. Pour ma part, je lirai avec plaisir le deuxième volet des enquêtes de Qaanaq !
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