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sur 2229 notes
Un monument biensur que je découvre bien tard....sans vraiment savoir de quoi il était question....Ecriture dense, profonde, réflexions sur le sens de la vie et l'appréhension de sa mort et de celle de nos proches...Et tout cela par quelques personnages attachants et dans un environnement géographique et historique bien particulier ( soulèvements communistes et répression à Shanghai) ....Cela m'a forcé ( merci Mr Malraux) à visiter wikipedia pour mieux comprendre les enjeux politiques et économiques de l'époque....ca m'a beaucoup aidé!
A lire forcément....
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La condition humaine, évidemment c'est du lourd.

Shanghai 1927. A l'image du voisin soviétique, les idées marxistes font leur chemin en Chine. Le nouveau parti communiste tente de mener à bien la révolution qui émancipera le peuple chinois. Les nationalistes du Kuomintang conduits par Chang Kaï-Shek leur mènent la vie dure. C'est le contexte choisi par André Malraux pour développer sa réflexion sur la condition humaine. Ses personnages donnent leur voix à cette réflexion.

Comment ne pas s'enfoncer à son tour soi-même - lecteur d'un autre temps, mais peu importe, ce qui est dit est universel – dans une profonde introspection existentielle après un ouvrage d'une telle densité. Un ouvrage qui juxtaposent à quelques pages d'écart l'épouvantable fin de ceux que Chang Kaï-Shek fait précipiter vivants dans la chaudière d'une locomotive, tandis que d'autres, dans leur confort parisien, s'interrogent sur leur niveau d'engagement au soutien du consortium français en Chine pour financer la construction du réseau ferroviaire.

Que vaut la vie de l'un ou de l'autre selon l'imminence de l'échéance ultime, selon le caractère banal ou monstrueux de cette échéance ?

"Ô résurrection" est le terme que Malraux place dans la bouche de celui qui a retrouvé son ampoule de cyanure. Il va pouvoir se donner la mort plutôt que subir celle que ses geôliers lui auraient infligée. Résurrection. Pour celui qui va mourir ? Vivre ne serait donc que la faculté d'agir. Fut-ce pour se donner la mort ? Quand la passivité serait la mort, avant la mort.

La guerre offre un contexte propice à la révélation de la condition humaine. Malraux le choisit plutôt que toute autre circonstance pour développer ses thèses. Car la guerre place les individus dans la confrontation directe, prématurée, délibérée ou non, avec la souffrance et la mort. Elle donne l'occasion à tout un chacun qui serait resté dans l'attente passive et angoissée de sa propre mort, de devenir un homme. Enfin !
Car un homme n'est autre que la somme de ses actes. Et choisir de mourir, pour ses idées, c'est encore agir, c'est forger cette personnalité qui fera de celui qui aura vécu un homme. "Qu'eût valu une vie pour laquelle il n'eût accepté de mourir ?"

Quoi qu'il en soit "tout homme est fou". le communiste, le nationaliste, qui se battent. Le français qui finance. Celui qui soutient l'un ou l'autre. Tous. "Mais qu'est-ce qu'une destinée humaine sinon une vie d'effort pour unir ce fou à l'univers".

Evidemment c'est du lourd. Prix Goncourt 1933. On ne m'a pas attendu pour reconnaître le chef-d'oeuvre. Un ouvrage exigeant, d'une consistance rare, qui demande une concentration soutenue pour ne serait-ce qu'approcher le sens de chaque phrase. Un livre qui force à l'élévation et dont on ne ressort pas indemne.
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Un livre que j'ai sauvé de la poubelle et que je devais absolument découvrir.

C'est une histoire très prenante qui se passe pendant la révolution en Chine, un petit groupe de révolutionnaire contre régime de Tchang-Kai-Chek.

Ce roman est vraiment excellent et il m'a fait réfléchir sur le pouvoir des banques, sur les guerres et sur la valeur des vies humaines. le pouvoir et l'argent sont souvent la cause de grands malheurs. Pour ces grands financiers qui veulent ramasser toujours plus, la mort de millions de gens ne les touchent pas. Les personnages de ce roman se battront pour leur cause jusqu'à la mort, pour changer le monde qui hélas est toujours aux mains des puissants.

André Malraux avait une plume passionnante et ses écrits dévoilent des vérités sur les profits qu'on fait les occidentaux pendant la révolution chinoise.

Quand le pouvoir monte à la tête des dictateurs, les hommes sont foudroyés par leurs folies. Souvent on m'a dit que l'argent c'est le diable.

En lisant ce très beau roman , j'ai bien compris que pour des diamants, de l'or où du gaz, on peut tuer beaucoup d'humains innocents et se regarder encore dans un miroir.

Jusqu'où la monstruosité humaine peut-elle aller ?

Je suis ravie d'avoir découvert ce roman qui reste toujours d'actualité et qui m'a emporté dans un tourbillon d'émotions intenses et tragiques.

Pour ceux comme moi qui ne l'ont pas encore lu, il n'est jamais trop tard.
Lien : https://sabineremy.blogspot...
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La lecture de ce livre de Malraux est une lecture qui remonte à plus de 35 ans à peu
prés . C ' était le deuxiéme ouvrage aprés l''Espoir que j ' essayais de lire .
Mais je n ai pas pu aller au delà d 'une quinzaine ou vingtaine de pages .Je n ' ai pas pu pénétrer ce livre ,ni le sentir , J ' ai essayer maintes fois et toujours la même
blocage .Donc je n ' ai pas pu le lire ni le finir .
Malgré cette difficulté de lecture ,je reconnais que Malraux est un grand homme de
culture . Un homme engagé sur pas mal de fronts durant le XXeme siécle et en
conséquence il mérite bien sa place au PANTHEON !
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Je connaissais « La condition humaine » d'André Malraux pour sa notoriété sans jamais avoir eu l'occasion de le lire. Et bien, c'est chose faite et ce roman couronné du prix Goncourt De 1933 est vraiment un chef d'oeuvre. Les prix Goncourt plus récent, bien que souvent très bons, font quand même pâles figures. Car c'est vraiment un roman excellent et très bien écrit.

Malraux est un écrivain aventurier qui connaissait bien l'Orient. C'était un homme d'engagement, un homme de convictions et si ce roman est de prime abord un vrai roman historique sur l'insurrection de 1927 à Shanghai et les balbutiements d'une révolution communiste qui va se solder par un massacre orchestré par Chang-Kaï-Shek chef du Kuomintang, ce contexte est aussi un révélateur de la vie des acteurs de cette histoire, héros auréolés de leurs faiblesses mais aussi de leurs certitudes qui leur permettent les actes les plus fous, les plus héroïques.

Le roman attaque très fort, très visuel et très introspectif à la fois. Tchen, jeune révolutionnaire chinois, va commettre un meurtre, tuer un homme qui dort, à coups de couteau, et nous sommes là à l'observer, à observer les détails de la scène et les rouages de sa conscience au moment de basculer du côté des hommes qui ont tué pour une cause. Après le meurtre commis par Tchen, tout va s'enchaîner très vite et ce grand roman nous propose de capter le destin de quelques individus impliqués dans ce moment fort de l'histoire de la chine et leurs façons de donner un sens à leur existence. C'est aussi une grande oeuvre sur l'engagement politique et le dévouement aux autres.

Avec un titre comme « La condition humaine » Malraux a mis la barre très haute et il la passe largement.


Challenge Goncourt illimité
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L'un des chefs-d'oeuvre, voire le chef-d'oeuvre de Malraux. le sens de la destinée et des destins de certains hommes, un existentialisme sous-jacent, et surtout une écriture d'une ampleur peu égalée au XXème siècle et encore moins au XXIème. Il y a des longueurs qui servent à bien s'imprégner de la mentalité des personnages et de leur volonté qui évolue au fil du roman. Ce roman qui développe le sens ou le non sens d'une cause dite supérieure pourrait retrouver une certaine actualité dans le contexte du monde aujourd'hui.
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Il y a des livres qui vous font grandir , qui vous conduisent vers une compréhension exhaustive du monde et de çes particularités .
Cette œuvre en fait clairement partie .
Comment peut on aborder le communisme chinois ?
Cette croyance en un monde plus juste , plus humain , en confiant à l'état l'intégralité de la régence de la société .
Oui le communisme est aussi néfaste pour la société que le nationalisme .
Ici l'auteur plonge dans l'étude de cette doctrine au cœur du pays qui apres la Russie fut , et demeure encore aujourd'hui la patrie du communisme le plus radical .
Cette œuvre est une expérience , l'on en sort pas indemne .
Roman , étude de société , étude politique , étude philosophique , peut on réellement trouver ce qui convient le mieux à cette œuvre magistrale ?
Définitivement non.
Il y a des livres inclassables et celui ci en fait clairement partie.
Le style de Malraux est unique , l'usage des mots chez lui leur apporte une force que rien ne peut sembler arrêter , il n'écrit pas pour faire " joli" , mais pour exprimer des idées , une vision qui lui est propre certes , mais qui au fur et à mesure devient universelle ...
Il faut être un idiot pour ne pas comprendre qu'une œuvre comme celle la , avec l'urgence qui la constitue , l'impact qu'elle contient , merite davantage le Goncourt qu'un livre sympathique mais aux enjeux bien plus banals ....
Il faut être un idiot pour dire que André Malraux , l'écriture de çelui ci , sa pensée , s'avère " chiant ".
Ce n'est pas être élitiste que de considérer que çertaines œuvres sont plus importantes que d'autres , que des œuvres comme celle ci qui interroge le leçteur sur son rapport avec l'humante , doivent êtres mises en avant .
Il y a une nécessité à maintenir l'importance de la Litterature , il ne faut point banaliser celle ci , les lettres on une importance vitale pour la société , et même si la légèreté doit être présente , elle ne doit en aucun cas prendre le dessus .
Lire cette œuvre c'est au final , franchir le pont entre l'adolescence et l'âge adulte , sur le plan de la pensée relative au monde .
Si demain l'on veut céder le monde aux jeunes générations , il faut donner à celles ci les bonnes bases , pour que l'aveuglement du populisme , de la démagogie , comme il est decrit ici , ne soit pas une réalité ...
Partager la culture avec la jeune génération , la culture adulte s'entend , pas Casimir ou les comics , c'est apporter une pierre importante à la construction d'une société meilleure de manière effective , sans que les sirènes du populisme ou de la démagogie , de la pensée de masse , viennent parasiter la construction intellectuelle de la jeune génération .
Il est important de lire ce livre , de le faire lire , car la lecture de ce texte apporte des éléments cruciaux a la construction personelle de chacun ...
Une œuvre inestimable .
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Ce roman d'André Malraux de 1933, relate comment, en 1927, l'Armée révolutionnaire de Chang-Kaï-Shek, en marche sur Shanghaï, s'appuie sur les cellules communistes pour fomenter l'insurrection avant de les faire assassiner en masse par une société secrète criminelle. Il faut replacer ce livre dans son contexte ; l'avant-guerre, la montée et la répression du communiste, la fin des empires coloniaux et leurs louches tractations.
Dans ce roman, ce qui passionne l'auteur, c' est la réaction des personnages confrontés à des situations limites. Tout le livre semble écrit en état de transe, comme si les situations limite élevaient chaque homme au-dessus de lui-même pour rester à la hauteur de l'évènement.
Dans "La Condition Humaine" la rapidité des plans est servie par une écriture haletante où s'entrechoquent les conceptions du monde, les intérêts divergents. Et si les personnages se réduisent parfois à leurs idées, des consciences prises avec les forces brutes de l'Histoire, ils nous touchent par leurs faiblesses quand ils redeviennent des êtres de chair et de sang qui hésitent et sombrent mais avec grandeur.

Il n'est pas impossible que les questions posées par le jeune Malraux trouvent aujourd'hui un écho contemporain.

Un livre puissant de la littérature française !
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Ce troisième volet de la trilogie asiatique d'André Malraux se déroule au printemps 1927 à Shanghaï.
C'est le début de la guerre civile opposant l'Armée nationale révolutionnaire alliée aux triades aux militants du parti communiste chinois. Tchang Kaï Chek et le Kuomintang attaquent, submergent et massacrent leurs ex-alliés communistes dans la lutte contre les Seigneurs de la guerre du nord de la Chine, afin de les écarter du pouvoir. le Komintern laisse faire et même oblige les milices communistes à rendre leurs armes …
Au-delà d'un contexte historique complexe et bien oublié aujourd'hui, c'est une description féroce des combats internes inhérents à toute révolution. Les protagonistes sont des agitateurs professionnels. Chacun combat pour un idéal qui s'avère souvent en large décalage avec la réalité. C'est aussi l'abandon de soi au profit d'une cause, le fanatisme dressé contre l'humiliation de ceux qui n'ont rien, donc rien à perdre, les trahisons politiques, les petits arrangements entre corrompus.
Quelle inoubliable galerie de portraits ! Tchen, Kyo, Katow, le baron Clappique, le vieux professeur Gisors, May, le capitaine d'industrie Ferral, Hemmelrich. Tous aussi attachants, aussi courageux dans le sacrifice puisque la répression est inéluctablement au rendez-vous.
L'écriture est d'une sublime efficacité – la scène d'ouverture fantastique - avec des pointes d'humour comme cette façon dont Tchen termine ses mots avec un g comme nong … C'est aussi – entre autres réflexions philosophiques sur l'absurdité de la vie déjà abordées dans La Voie royale – une vision prophétique de la violence politique qui marquera les décennies suivantes, jusqu'à aujourd'hui.
Tchen prépare un attentat-suicide : « Il fallait que le terrorisme devînt une mystique. Solitude d'abord. Que le terroriste décidât seul, exécutât seul. Toute la force de la police est dans la délation. le meurtrier qui agit seul ne risque pas de se dénoncer lui-même. » Tout à fait d'actualité de nos jours …
Ce livre compte parmi les plus importants de la littérature du XXème siècle, et je suis d'accord avec ce jugement. On m'avait fortement incité à le lire quand j'avais 18 ans, mais je pense que je n'en aurais pas tiré le meilleur enseignement. Aujourd'hui, avec le recul de l'histoire et ce que nous savons de la victoire de Mao sur son rival nationaliste, je savoure la lecture d'un roman particulièrement bien construit, d'une beauté formelle évidente, avec à la fois la violence des combats et la psychologie subtile des héros.
Un classique à lire au moins une fois dans sa vie. Et quand je pense que ce livre dormait dans une édition de luxe achetée en 1970 et que je n'avais jamais ouvert ... Mais en édition de poche, c'est tout aussi délectable.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Ado, j'avais eu beaucoup de peine à entrer dans ce livre, et très vite, je l'avais laissé de coté, le style, me semblait lourd, l'action me paraissait confuse...Puis récemment, au hasard d'un vide grenier, j'ai retenté l'expérience.
Cet ouvrage fut couronné par le Prix Goncourt en 1933, il y a plus de quatre-vingt ans...rares sans doute sont ceux et celles qui s'en souviennent....
Impossible également de trouver un lecteur qui se souvient des événements dont Malraux nous parle....ils remontent à 1927.... et pourtant ce livre conserve une grand intérêt et par bien des points une singulière actualité.
Malraux écrivain aventurier, connait l'Orient qui sans doute l'a fasciné. Il eut des démêlés avec la justice après ses aventures Kmères. C'était un homme d'engagement, un homme de convictions qui épousa les idées communistes lors de la guerre d'Espagne et évolua beaucoup par la suite. Les soixante-huitards s'en souviendront sans doute.
Un grand intérêt historique tout d'abord : premiers soubresauts de la révolution chinoise, premiers attentats, premiers coups de feu, premiers crimes, premiers communistes, premiers terroristes ....premières répressions. Malraux qui par ailleurs connaît bien l'Orient est précis et pointilleux dans la mise en scène de son livre, trop sans doute car il m'a dérouté un peu m'a parfois perdu dans des détails.
Malraux met en scène 6 personnages principaux, chacun incarnant par ses pensées et par ses actes, une attitude face à la vie et la mort. Ils sont en quelque sorte le reflet de personnages ou de types de personnalités qui ont fait L Histoire,
Kyo est le héros engagé le meneur, prêt à donner sa vie pour ses idées,
Tchen, son compagnon de combat, est un homme d'action, tenté par le sacrifice de soi, par le terrorisme, il préfigure les kamikazes ou les terroristes fanatiques,
Katow quant à lui est le héros généreux et humble.
A coté d'eux, deux personnages moins charismatiques mais tout aussi importants,
Ferral, tout d'abord, il représente le colon, le monde de la finance, et des affaires. Il dirige un groupe d'entreprises prêtes à tout pour faire du fric, toujours plus de fric. le fric et les femmes qu'il utilise pour son plaisir sans les aimer...Il veut dominer le monde des affaires - les siennes pas toujours nettes - et les femmes. Fric et érotisme le font avancer. Il rejette toute idée de révolution.
Et puis il y Clappique, baron un tantinet bouffon, beau parleur, sans personnalité, qui ne fait rien pour sauver ses amis communistes
et Gisors, père de Kyo, il est l'ancien auquel on se confie, bien qu'il cède facilement aux mirages de l'opium.
Malraux l'aventurier, qui par ailleurs connaît bien l'Orient, nous fait partager quelques jours de combat, d'incertitude, et e répression de mars et avril 1927 . Quelques scènes de combat, mais surtout une réflexion sur l'humiliation source d'engagement pour certains et de passivité pour d'autres, le don de soi, le sens de la vie, la dignité, la condition des femmes en Chine, parfois avec humour...J'ai bien aimé l'image du bouchon et de la bouteille utilisée pour nous parler des relations hommes-femmes. C'est Malraux le penseur, engagé dans ses combats politiques...il ne laisse pas indifférent. Il nous engage à réfléchir sur les notions de combat en politique, l'éloignement des dirigeants politiques et du peuple, le terrorisme aveugle, l'idéal en politique...
Les plus anciens se souviennent de lui, de l'homme politique, de l'homme de culture, controversé parfois, de son discours lors de l'entrée de Jean Moulin au Panthéon, Jean Moulin qu'il rejoindra plus tard.
Alors que penser de la Condition humaine....J'ai apprécié le coté historique du roman, certains des personnages, les idées que chacun d'eux représente...L'écriture qui révèle la grande culture de l'écrivain et son engagement pour ses idées, m'a paru un peu lourde et parfois difficile....Il est important me semble t-il de replacer le roman dans son contexte historique, de se documenter avant cette lecture sur la période, sur la Chine d'avant Mao...cette lecture en sera facilitée.
Je n'avais pas apprécié certains des engagements de Malraux, ministre de De Gaulle. J'avoue que la lecture de ce livre me réconcilie en partie avec l'homme et me donne envie d'en savoir plus sur l'écrivain
Lien : https://mesbelleslectures.co..
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