Pour un voyageur comme Manganelli, irrémédiablement méfiant envers les «belles villes», les monuments et les musées («Un musée cache une machination, une arrogance, une fraude»), et plutôt attiré par «les lieux mineurs, les objets controversés, les mondes périphériques, les formes distraites ou fuyantes, l'image qui participe de l'erreur», il est difficile de faire face à l'Italie. Et plus encore à une «coopérative de chefs-d'œuvre» comme Florence, en apparence atem... >Voir plus