Impeccable.
Rien du roman policier, mais de la philosophie et une certaine vision du colonialisme et de la Chine.
Un régal
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Wallender, reviens! Vivi, la policière, ne t'arrive pas à la cheville et la juge Birgitta Roslin a avalé son parapluie ou quoi?
(J'exagère car le côté thriller m'a tenue en haleine et le côté "espionnage" axé vers la Chine a remis mes vieilles pendules maoïstes à l'heure.)
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Les 19 habitants d'un petit village du nord de la Suède sont massacrés au couteau et au sabre. La police patauge. Une juge remonte l'histoire et aboutit à une piste chinoise. Prétexte à parler de la Chine et de ses orientations économiques, ce polar de Mankell est râté. Mal écrit. Pas crédible. Bouffi de clichés, de leçons. Indigeste à lire. Une énorme déception pour une fan de longue date des enquêtes de Wallander. Ici, on n'accroche pas, ses personnages sont pénibles. Pourtant l'idée d'alterner le passé et le mystère du meurtre était une bonne idée. Cela reste seulement une idée. A croire que dès qu'un auteur est connu et gagne de l'argent, on n'exige plus de lui une qualité d'écriture de sa part, à moins qu'on ne
nous refile un texte ancien. Cela s'est déjà vu.
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Tout d'abord, il ne faut pas s'attendre à une enquête policière du style "Wallander". le début du roman commence par un carnage dans un village au Nord de la Suède. Puis, très vite, le lecteur fait un grand écart pour suivre le récit de deux chinois dans les années 1860 qui quittent la Chine pour les États-Unis, puis Londres, pour, enfin, retourner chez eux. Quel lien avec les meurtres de 19 personnes en 2006 en Suède ? Je vous le laisse découvrir. Personnellement, je me suis ennuyée lorsque Mankell décrit l'action politique de la Chine avant et après Mao...
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