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EAN : 9782490151349
499 pages
Snag (01/10/2020)
4.11/5   63 notes
Résumé :
Si l'air devenait toxique, jusqu'où seriez-vous prêt à aller pour respirer ?
Suite au succès de Cendres, Johanna Marines revient avec Oxygen, un roman d'anticipation futuriste. L'auteure décrit les conséquences des dérives de l'humanité en imaginant un monde où les nouvelles technologies sont indispensables à la survie.
2216, la montée des eaux et la pollution ont transformé le monde actuel et augmentent les clivages entre la population. Elle ne doit s... >Voir plus
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Comme beaucoup de gens désormais, je suppose que vous avez un smartphone - ou du moins vous côtoyez des personnes qui en possèdent un (enfant, petit-enfant, frère, soeur, grand-mère ou voisin). Et comme moi, même sans être très branché/e réseaux sociaux ou autres joyeusetés, je suppose que vous l'utilisez beaucoup, au point de devoir le recharger au minimum une fois par jour (ah comme il semble loin désormais le "bon vieux temps" où on ne faisait que téléphoner avec son appareil dont la batterie tenait sans problème quatre ou cinq jours).

Et bien imaginez qu'ici, dans le monde post-apocalyptique décrit dans ce roman, ce n'est pas votre téléphone mais vous-même que vous devez recharger régulièrement pour ne pas tomber à court d'oxygène. Imaginez ce que votre vie deviendrait si vous deviez vous rebrancher régulièrement pour continuer à (sur)vivre. Votre vie ne pourrait plus qu'être métro, boulot, dodo (bon, c'est à peu près ce que l'on vit depuis quelques temps désormais mais on espère tous que cela aura une fin prochainement).
Et comme toute bonne société qui se respecte, il existe aussi des "catégories" de gens comme il existe des catégories de produits. Selon que vous appartenez à telle ou telle caste, vous avez une autonomie plus ou moins grande, allant d'à peine quelques heures à deux jours.
C'est sur ce postulat de départ que Johanna Marines a construit son roman où nous suivons Maïa, appartenant à une catégorie intermédiaire, dans sa quête de liberté et de vérité, épaulée par son meilleur ami, Naos, qui lui appartient à la caste des mieux lotis.

Il s'agit d'un roman Young Adult - genre que je n'ai pas l'habitude de lire - et je dois admettre que l'auteure a réussi à m'embarquer avec elle.
L'idée de départ était très intéressante, les personnages bien construits, la narration rythmée et suffisamment complexe pour que je ne trouve pas le tout médiocre et sans grand intérêt. Johanna Marines a réussi à mener son histoire d'un bout à l'autre et j'avoue, en prime, avoir été très agréablement surprise par le parti pris qu'elle a choisi dans la résolution finale, le pourquoi du comment, je ne m'y attendais pas et j'ai d'ailleurs trouvé que c'était assez culotté de sa part de prendre ce chemin. C'est en grande partie grâce à ce choix que je trouve l'ensemble du roman très réussi.

En résumé, une histoire qui se lit vite et bien mais qui ne s'oublie pas de sitôt pour autant.
Une belle découverte et une jolie plume dans le genre roman post-apocalyptique Young Adult (et je rappelle que je ne suis pas du tout la cible visée à la base).

Lu en février 2021

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Johanna Marines, Oxygen, éd. Snag, 2000, 499 p.


Résumé :

« 2216, la montée des eaux et la pollution ont transformé le monde actuel et augmentent les clivages entre la population. Elle ne doit sa survie qu'à la transplantation de bombonne d'oxygène avec différente autonomie selon la catégorie sociale à laquelle on appartient. Mais comment vivre ses rêves quand l'air lui-même se vend et s'achète comme un vulgaire bien de consommation ? À Toronto, la rébellion commence. Maïa et Naos, en quête de vérité, devront choisir entre y participer ou subir le diktat de la société. »

Compte rendu :

Déjà paru en 2018 chez le même éditeur mais sous un autre titre, Airstronomy, bénéficiant d'un nouvel écrin (la couverture ainsi que la mise en page, agrémentée de dessins tracés par la main de l'autrice elle-même, sont un réel plaisir ajouté à la lecture), l'ouvrage de Johanna Marines a réussi le pari d'allier une écriture fine et simple, sans être simpliste, à une intrigue riche mais toujours limpide. La lecture est fluide, captivante, et le choix de courts chapitres fait de ce livre un réel « page turner ».
Sans verser dans une mièvrerie romantique légère, le style de l'autrice dégage une touchante poésie par le jeu des images convoquées. J'ai particulièrement aimé les évocations nombreuses au monde de l'astronomie, comme des références multiples à l'éternité face à un monde ayant sombré dans le chaos. Pour exemple, le calendrier dans lequel se situe l'intrigue se divise en différentes ères astronomiques, l'ère présente étant baptisée l'ère Cassiopée, du nom de la constellation éponyme. de plus, le nom des personnages relève lui aussi de références au monde des astres et de la mythologie – mais tous deux ne sont-ils pas intriqués, après tout, dans ce commun souci de renvoyer à l'éternité au travers de la figure du mythe, la dénomination des constellations, planètes et étoiles étant fréquemment une reprise de la mythologie (grecque, latine, égyptienne, chinoise, amérindienne, etc.) ? Ainsi retrouvons-nous notre héroïne, Maïa Irzland (dont le prénom renvoie à l'une des étoiles des Pléiades, et dont le nom, nous semble-t-il, pourrait être une référence subtile au nom de l'autrice lui-même, Marines), Altaïr, dénomination de la plus brillante des étoiles de la constellation de l'Aigle, Orphée, dont la lyre parvenait à faire pleurer les pierres, Sélène ou encore Hélios, homonyme grec pour désigner la Lune et le Soleil chez les Romains.
Concernant la forme donnée au récit, j'ai également été sensible au choix d'intituler chaque chapitre d'une référence musicale. En plus de tomber à chaque fois étonnamment juste, l'autrice permet au lecteur de mobiliser d'autres images et impressions au cours de sa lecture. C'est une manière de faire que j'avais déjà entr'aperçu chez un autre auteur, Bernard Werber. Ce dernier citait en exergue de son texte une liste des musiques écoutées durant son travail de rédaction. Ici, la référence musicale apparaît directement en tête de chapitre et peut ainsi s'inviter directement pendant le temps de la lecture, ce qui rend la chose beaucoup plus agréable. Afin de bénéficier de cet atout synesthésique, je conseille d'ajouter en toile de fond de chaque chapitre la mélodie proposée par l'autrice. C'est ce que j'ai fait et je vous garantis que l'expérience de lecture s'en trouve être enrichie !
Il s'agit d'un récit très habile, mêlant le roman d'anticipation à un environnement dystopique (à plusieurs reprises il nous a fait songer à la saga Hunger Game), et s'enracinant autour de problématiques écologiques et sociétales très actuelles. En cela, Johanna Marines réussit là une belle prouesse, celle de nous alerter avec pertinence sur les liens étroits qui allient enjeux écologiques et questions sociales. Car, en effet, penser le vivant revient toujours à penser les conditions de possibilités de survivances des écosystèmes, et réaliser une enquêter sur les biotopes revient à s'intéresser de près à la façon la plus authentique du « vivre », de l' « habiter », c'est-à-dire permettant à tout être vivant quel qu'il soit, animal ou végétal, de vivre pleinement la vie qui est la sienne. Or, la crise écologique face à laquelle l'humanité du XXIIe siècle est confrontée l'a conduite à adopter des comportements délétères pour sa propre subsistance. L'homme, après avoir réifié les écosystèmes, a fini par se réifier lui-même et le reste du règne animal.
L'intrigue globale est très bien ficelée et l'on est surpris par les rebondissements multiples qui jalonnent la fin du texte. Je ne m'attendais pas à cette fin, elle saura vous surprendre vous aussi à n'en pas douter ! Et je referme le livre avec le sentiment étrange d'avoir partagé un moment privilégié avec une plume nouvelle et pleine de promesses de la littérature « young adult ».
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--- Une seconde chance pour un premier roman ---

L'an dernier, j'ai eu la chance de découvrir Johanna Marines grâce à ma lecture de Cendres. Bien que ce one-shot ne m'ait pas totalement convaincue, j'ai eu un réel coup de coeur pour la plume de l'auteure. C'est pourquoi Airstronomy, son roman précédent, se trouve depuis lors dans ma wishlist.

Ce roman a toutefois été réédité sous le titre Oxygen par les éditions Snag, qui m'ont gentiment fait parvenir un exemplaire. Je les remercie donc pour l'envoi !

--- Parce que le synopsis n'est pas très explicite… ---

Il met surtout en avant l'univers post-apocalyptique dans lequel le lecteur s'apprête à plonger. Mais Oxygen, c'est aussi l'histoire de Maïa, jeune médicinaute bien décidée à percer le mystère qui entoure le décès de son père, scientifique de renom. S'agit-il vraiment d'un suicide ? Dans ce cas, pourquoi sa mère refuse-t-elle de la voir fouiner dans ses affaires ?

En compagnie de son ami Naos, Maïa mènera l'enquête au sein de l'Unité Technologie Santé, le service hospitalier dédié aux dysfonctionnements de l'oxycaptor – cette machine qui permet de réguler le flux d'oxygène dans le sang. Bien vite cependant, la réalité la rattrape ; au dehors, le mécontentement est partout, la rébellion gronde. Les citoyens de Toronto exigent un monde plus juste !

--- Un futur dans lequel l'air se monnaie ---

C'est avec un soin tout particulier que Johanna Marines décrit les répercussions environnementales, sociales et économiques liées à l'absence d'oxygène dans l'air. Elle revient ainsi sur les raisons qui ont poussé l'humanité à se greffer des bonbonnes dans le dos pour pouvoir respirer et ce, dès la naissance.

Alors, surtout, rassurez-vous : elle ne nous noie pas sous un flot d'informations scientifiques, bien au contraire. Les indications sont facilement compréhensibles et disséminées dans le récit de manière à le rendre fluide. Et que c'était crédible !

Lorsque je lisais ces passages, je ne savais plus si j'avais envie de poursuivre ma lecture ou de m'arrêter afin de fermer les yeux sur cet avenir plausible. Certes, il ne s'agit que d'une possibilité parmi tant d'autres, mais elle m'a fait froid dans le dos.

--- Quand l'intrigue s'éparpille ---

Pour moi, il s'agit d'un inconvénient, mais cela devrait plaire à d'autres lecteurs.

Au départ, je pensais simplement suivre Maïa, tandis qu'elle se renseigne discrètement sur son père en vue de comprendre les raisons de son suicide. Mais, rapidement, elle se jette à corps perdu dans d'autres batailles, toutes très différentes les unes des autres.

Bon, je me doutais que les chemins empruntés par l'intrigue finiraient par se rejoindre. Mais un tel procédé est généralement mis en oeuvre par le biais de plusieurs points de vue. Ce n'est pas le cas ici, puisque Maïa fera toutes les découvertes. Et… cela m'a semblé trop ! J'ai même eu l'impression que Johanna Marines usait de raccourcis afin de permettre à son héroïne de faire le lien entre les événements, au point de rendre la toile générale légèrement floue.

Autre conséquence : comme l'auteure n'hésite pas à explorer plusieurs pistes à la fois, j'ai ressenti comme des longueurs. Toutefois, je doute de ce dernier point. Je crois que j'ai été frustrée de ne pas avoir de fil rouge, tout simplement !

Enfin, et c'est le plus dérangeant, Johanna Marines ne va pas toujours au bout de ses révélations, se précipitant bien trop souvent vers la suivante.

--- Une héroïne prête à tous les combats ---

Maïa est une jeune femme que l'on ne peut qu'admirer pour sa détermination. Certes, elle commettra des erreurs, mais se relèvera toujours. le hic, c'est que je l'ai parfois trouvée trop forte, justement. C'est comme si elle s'intéressait à toutes les causes, comme si elle prenait la responsabilité de tous les malheurs du monde. Et, surtout, c'est comme si elle savait naturellement quel camp choisir, alors que la frontière entre Bien et Mal est floue. Résultat : elle a un peu perdu en crédibilité à mes yeux, même si elle a bien joué son rôle.

Quant à Naos, son compagnon de toujours, il m'est apparu geignard et inconstant, du moins dans la première partie. Par exemple, il changera trop rapidement d'avis au sujet des cryogénisés, ces personnes que l'on réveille après un sommeil de plusieurs siècles, car elles ont décidé de fuir la réalité qui était la leur. Ce sujet passionnant prend d'ailleurs forme grâce à Jade, une jeune fille qui a expérimenté cette approche. Cependant, Johanna Marines a rapidement délaissé ce personnage. Quel dommage !

Dernier bémol : la romance qui survient au plus mauvais moment, sans même s'annoncer. Heureusement, cela ne dure que le temps d'un chapitre, et j'ai bien vite oublié ce désagrément.

--- Un final qui va crescendo ---

Même si l'intrigue se disperse sans cesse, elle réserve suffisamment de surprises pour entraîner le lecteur durant les 100 dernières pages. En dépit de quelques facilités, j'ai grandement apprécié le dénouement. Il m'était impossible de m'arrêter avant de tourner la dernière page ! J'ajouterai également que Johanna Marines nous offre toutes les réponses, et même plus encore, ce qui est appréciable.

En conclusion, comme pour Cendres, j'ai adoré les idées de l'auteure, mais un peu moins leur réalisation.
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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Je découvre l'auteur avec ce roman (et j'espérais bien qu'il allait me plaire car j'ai également Encens, du même auteur, dans ma PAL) et malgré une petite appréhension car j'avais eu des retours mitigés, j'ai vraiment énormément apprécié ma lecture.
L'histoire se déroule 200 ans dans le futur.
L'air est devenu si irrespirable, si toxique, que pour survivre, la population a dû se faire implanter des respirateurs artificiels qui se rechargent à des bornes oxy.
Le capitalisme étant toujours bien là, lui, l'air est payant (et de plus en plus cher, d'ailleurs) et la population se divise en trois classes:
- les pauvres, qui n'ont que 8 heures d'autonomie
- la classe moyenne, qui dispose de 16 heures d'autonomie
- l'élite, qui eux, sont tranquilles pour 48 heures.
Maïa, étudiante en médecine, classe moyenne, n'avait jamais vraiment remis le système en cause. Mais à présent qu'elle souhaite élucider le suicide ou le meurtre de son père (les causes de la mort de ce dernier ne sont pas bien claires), elle ouvre plus les yeux sur les inégalités de la société dans laquelle elle vit.
Épauler de Naos, qui n'est rien de moins que le fils du Président, et qui lui aussi se pose de nombreuses questions, notamment sur son identité, elle s'engage sur une pente qui se révèle de plus en plus dangereuse.
Dans un monde où il n'y a pas assez d'air pour tout le monde, la révolte ne peut que finir par gronder.
Maya n'a rien d'une super héroïne, elle se trompe souvent, et ses motivations première sont plutôt égoïstes (trouver la vérité sur la mort de son père) même si elle finit par vouloir sauver tout le monde.
J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur et je suis impatiente de lire Encens, que j'ai déjà dans ma PAL, Cendres, que je dois me procurer, et Écailles qui est encore en cours d'écriture.
De nombreuses heures de lecture en perspective.
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On se retrouve aujourd'hui avec le nouveau roman de Johanna Marines, Oxygen, paru chez Snag le mois dernier. C'est ma seconde excursion dans l'univers de cette jeune autrice, mais je n'avais pas été tout à fait convaincue par Cendres, ses petites incohérences et ses clichés. Pas de quoi me décourager, cela dit, d'autant que le quatrième de couverture d'Oxygen m'a tout de suite intriguée. Alors d'emblée, merci à Babelio et aux éditions Snag pour cette découverte !

L'histoire se déroule dans le futur, notre futur. Après plusieurs cataclysmes, l'air n'est plus respirable sur la Terre alors ce qui reste de l'humanité s'est rassemblé dans une enclave autour de la ville Toronto. Dès la naissance, on implante dans le dos des nourrissons, sous la peau, des genres de bouteilles de plongée rechargeables censées grandir avec eux et leur permettre de respirer normalement. Une vraie prouesse technologique et médicale sauf que, bien sûr, la capacité de ces réserves d'air est fonction de la position sociale. Un point de départ qui m'a beaucoup plu par son originalité.

On suit les pas de Maïa, jeune étudiante en médecine, qui appartient à la classe moyenne et vit avec sa mère et une petite soeur malentendante. Son père, médecin lui aussi, est décédé quelques années plus tôt dans des conditions mystérieuses. Accident ou suicide ? Elle aimerait en avoir le coeur net mais elle sent bien que sa mère lui cache un certain nombre de choses. Alors que la révolte gronde en ville face aux inégalités d'accès à une ressource aussi vitale que l'air, Maïa et son ami Naos vont mener l'enquête et découvrir un complot à l'envergure inattendue.

J'ai beaucoup aimé ce roman, vraiment ! Johanna Marines évoque un futur effrayant où le simple fait de pouvoir respirer est conditionné par l'argent. Les questions environnementales mais aussi sociales sont très bien mises en valeur, créant un univers tout à fait passionnant. Je me suis très vite attachée à Maïa. C'est une jeune femme consciente de ses responsabilités envers sa famille, sa petite soeur en particulier, mais aussi ses patients et ses concitoyens en tant que futur médecin. Traumatisée par la disparition de son père, elle est en quête de vérité et elle est prête à tout pour l'obtenir, quitte à se mettre en danger.

Elle a une façon de se jeter dans la bataille avec les meilleures intentions qui m'a beaucoup touchée. On lui reprochera sans doute de prendre toute la misère du monde sur ses frêles épaules et c'est un peu vrai, mais j'ai trouvé que c'était très cohérent avec son caractère et cela ne m'a pas gênée. J'ai aimé ses failles, la manière dont elle se trompe, encore et encore, jusqu'à ce que ça lui pète vraiment au nez. Les personnages secondaires m'ont beaucoup plu aussi, de Sélène à Naos en passant par Jade, la proscrite.

En somme, c'est un roman truffé de bonnes idées que Johanna Marines nous propose là. Un univers riche et bien construit, une intrigue complexe et bien menée, des personnages attachants et une plume parfaitement fluide. de quoi passer un excellent moment de lecture !
Lien : http://etemporel.blogspot.co..
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Ces pages sont mes derniers écrit, l'unique trace de mon passage sur cette Terre, alors prenez-en soin.
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Si l'air devenait toxique, jusqu'où seriez-vous prêt à aller pour respirer ?
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Vidéo de Johanna Marines
La montpelliéraine Johanna Marines nous présente son deuxième livre : "Cendres", une enquête policière dans Londres de la fin du XIXe siècle. Meurtres, drogues et pauvretés, un mélange détonnant.
Retrouvez l'ouvrage en magasin ou sur notre e-shop : https://bit.ly/2Xl0H9g
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