La réalité se fait sensorielle ou idéelle à proximité de la créature au cœur de ce premier livre d’une respiration et d’une liberté absolues.
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"Dans la neige le faune devient le magasin du yin et du yang des cristaux. Il marche du pas constitué du refus du volume, fait toujours de son profil un maître, la vitrine des flocons l'affirme dans la vraie multitude. Il est toujours contraint, comme au premier jour, ficelé, son absence de naturel éclairée par la neige. Cette absence de naturel devient naturelle à l'averse."