La Datcha

Une histoire simple, une écriture fluide et amour, voilà le tiercé gagnant pour se changer les idées, ajouter une ambiance terroir provençal et le tour est joué. Par contre, amateur d'intrigue, passez votre chemin, tout est prévisible dans cette histoire et cousu de fil blanc comme on dit.

La Datcha - Agnès Martin Lugand


Hermine, personnage principal, erre depuis pas mal de temps et décide de descendre dans le Luberon. 

Elle y rencontre Jo qui l'embauche avec sa femme dans leur luxueux hôtel. 

Hermine y verra sa vie totalement transformée grâce à la bienveillance des maîtres des lieux. 

L'histoire débute avec l'arrivée d'Hermine dans le Luberon et ensuite nous alternons entre cette période et 20 années plus tard. 

Ce lieu où elle sera établie sera un véritable havre de paix pour lequel elle se donnera corps et âme afin de conserver la prestigieuse maison au sommet de son succès.

On alterne avec plusieurs sujets comme l'abandon, les liens forts que l'on peut avoir avec des personnes inconnues, l'amitié, l'amour, le deuil…

La fin m'a semblé avoir été un peu bâclée alors que tout au long de la lecture, j'ai trouvé qu'il y avait trop de longueurs…


Agnès Martin Lugand a longtemps été mon auteure préférée seulement même si ses romans ont souvent des sujets qui me touchent, je commence à ne plus lui trouver de fluidité dans sa manière de nous conter ceux-ci.

Ce roman manque d'action et les événements prévisibles rendent l'histoire peu captivante.
Heureusement que cette histoire se passe sous le soleil d'une belle bâtisse provençale où le chant des cigales accompagne les cocktails du bord de piscine.
Je quitte Agnès Martin Lugand pour un moment

Hermine a 20 ans et son sac à dos pour seule maison lorsqu'elle est accueillie à l'hôtel La Datcha, tenu par le couple Jo et Marcha. Veritables âmes du lieu, ils lui offrent un métier, des perspectives et une famille, jusqu'à ce que vingt ans plus tard …

Je n'en dis pas plus. En ouvrant ce livre, je m'attendait à une histoire de réinsertion, Agnès Martin-Lugand m'a emmené ailleurs.
Les personnages sont attachants, l'histoire est touchante, même si un peu trop cousue de fil blanc.

En résumé, ce livre a tous les bons ingrédients, bien que ceux-ci aient été cuisinés de façon un peu trop évidente à mon goût.
Cela reste néanmoins une lecture très agréable pour l'été, avec de beaux moments d'émotion.

J'étais impatiente de découvrir cette histoire dont beaucoup d'avis étaient positifs.
Si le lieu m'a envoûté, je suis passée à côté de l'histoire.
Hermine m'a profondément agacé avec ses questions et turpides en boucle. Même si je comprends ses interrogations, sa peur viscérale de l'abandon, j'ai eu beaucoup de mal à la supporter. La répétition de ses angoisses, étirées en longueur, a pesé sur ma lecture.
Je dois reconnaître que le secret familial m'a permis de continuer le roman. Et une fois levé, il reste peu de chapitres donc j'ai pu finir le livre, même si à plusieurs reprises je me suis demandée si je n'allais pas l'abandonner.
Donc un peu déçue mais pas découragée par l'auteure dont j'ai apprécié déjà plusieurs autres romans.

La Datcha est un ouvrage publié en mars 2021 aux éditions Michel Lafon.
Il s'agit d'un roman proposé par Agnès Martin-Lugand.

L'auteur nous plonge dans une ambiance particulière. L'histoire se passe essentiellement dans un hôtel sans qu'on puisse parler malgré tout d'un huis-clos.

L'héroïne de cette histoire, Hermine, une jeune fille SDF se voit proposer un emploi de dame de chambre dans un charmant petit hôtel familial. Au fil des ans, elle fait sa place auprès des propriétaires des lieux et reprend petit à petit confiance en elle pour finir par voler de ses propres ailes.

J'ai trouvé cette lecture très récréative. le style de l'auteur est plutôt simple et délicat ce qui fait que j'ai passé plutôt un bon moment.

Sans vouloir trop cataloguer cet ouvrage, je pense qu'il est surtout à destination du lectorat féminin. le thème principal est l'histoire d'amour. Je ne suis pas spécialement adepte de ce type d'écrits mais La Datcha fait à mon sens partie des réussites dans le genre.

J'aurais néanmoins aimé des personnages un peu mieux creusés. Je regrette également que l'auteur n'ait pas mieux insisté sur l'atmosphère des lieux. Je n'ai pas réussi à m'immerger totalement en les murs de l'hôtel.

Agnès Martin-Lugand nous livre là une histoire d'amours.
Un amour quasi filial, d'abord, qui sert de socle à cette histoire, celui de l'amitié, aussi, et enfin celui qui rapproche deux êtres faits l'un pour l'autre.
Les personnages sont enchaînés dans la pudeur liée à leur histoire ; vont-ils réussir à se libérer ?

Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas accroché avec un livre qui semble mettre tout le monde d'accord et qui est quand même écrit par un monument de la littérature française contemporaine. Après avoir adoré son tout premier roman et sa suite, j'étais ravie de me plonger dans sa dernière parution en date. Pourtant j'ai l'impression d'être complètement passée à côté.

Est-ce que j'ai lu trop récemment la même autrice ? Je ne sais pas. Toujours est-il que j'ai trouvé l'histoire trop similaire à celle de son roman « Les gens heureux lisent et boivent du café« . On retrouve en gros, la même trame que la dernière fois et du coup, ça n'a pas fonctionné pour moi.

Si vous aimez l'autrice ou que vous ne l'avez encore jamais lu et que vous aimez le genre, vous allez sûrement adorer. C'est une plume sensible qui écrit comme on brode de la dentelle : c'est délicat. Elle prend son temps pour nous raconter la Datcha et l'histoire des gens qui la font vivre. Je suis plutôt une adepte des romans qui bougent dans tous les sens alors qu'ici tout se met en place doucement pour placer au fur et à mesure les intrigues.

On va suivre Hermine, la protagoniste et le livre est découpé entre le présent et le passé, vingt ans en arrière. Agnès Martin-Lugand compose une fresque que l'on imagine sans peine. Pour le coup moi, la recette n'a pas donné l'effet escompté et je n'ai pas été réceptive.

En bref, c'est loin d'être mauvais mais je n'ai pas réussi à accrocher. Je suis tout de même contente d'avoir pu le découvrir en livre audio.
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Le roman débute par l'arrivée d'Hermine dans un petit patelin du Sud de la France, au gré de ses errances. Embauchée par Jo, le patron de la Datcha, un hôtel géré avec son épouse,  Macha.
Vingt ans plus tard,  la jeune fille sur la défensive a cédé le pas à une femme aguerrie, épanouie dans son travail, mère séparée de deux enfants, et gérant le domaine de main de maître...Mais le décès de Jo va faire s'écrouler la vie paisible et protégée qu'elle menait.

Certes, l'ambiance de la Datcha est magique, on visualise très bien le coté idyllique  du lieu, mais j'ai eu le sentiment de voir perpétuellement une très belle scène de cinéma
J'ai eu l'impression de survoler certains éléments, qu'on nous résume brièvement parce qu'il le faut, tels que la génèse de l'hôtel de Jo et Macha.
Certains passages sont émouvants, certes, mais j'ai plusieurs fois eu l'impression que l'histoire aurait pu être plus fouillée, les personnages sont présentés un peu trop abruptement.
L'histoire a été aussi trop prévisible pour moi....c'est vrai que ce n'est pas mon genre de lecture habituel,  mais à moins d'un tiers du roman, j'ai vu s'esquisser toute l'histoire, autant dire que la suite ne m'a pas livré beaucoup de surprises,  donc je me suis ennuyée. Il y a du beau sentiment, mais cela a peu résonné en moi.

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C'est la première fois que je lis un livre de cette auteur, et je suis mitigée.... L'histoire est belle, mais ça tire sur la longueur. On a envie de vite le finir et de passer à autre chose. C'est dommage car l'histoire aurait pu être approfondie et être moins ennuyeuse au fil des pages.