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3,2

sur 82 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un grand "bof bof" pour ce livre, j'ai trouvé que c'était mal écrit, brouillon, long. le lecteur est tenu en haleine pour pas grand chose, c'est décevant et alors, la fin : je crois ne pas avoir compris tellement le livre me tombait des mains et d'être impatiente de le finir.
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En Grèce c'est encore l'été, ce roman était parfait à lire entre deux siestes au soleil sans trop me prendre la tête !
Parce qu'en réalité ça se laisse lire mais c'est assez moyen. Je viens de le finir et je l'ai déjà oublié...

Encore une fois, un chapitre "il", un chapitre "elle", un chapitre "avant" un autre "aujourd'hui", ça fini par devenir un formatage des plus ridicules même si l'idée au départ est sympathique, TOUS les romans ou presque suivent désormais ce schéma, moi perso je n'aime rien de plus qu'un narrateur qui nous raconte une (bonne si c'est possible) histoire dans l'ordre chronologique !
Voilà c'est dit !!!
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Les nouveaux voisins, reprend la recette qui avait bien marché dans Big Little Lies. Les chapitres alternent donc récit dans le présent où les personnages se préparent pour aller témoigner au tribunal suite à un accident qui a eu lieu dans le quartier. Dans quelles circonstances ? Qui est la victime ? le coupable ? On ne le sait pas encore et le récit dans le passé va nous aider à rassembler les pièces du puzzle pour découvrir l'enchainement d'événements qui a conduit au drame.
Si ce procédé fonctionne à merveille dans Big Little Lies en soulignant intelligemment les contradictions des personnages, entre leurs actes et leur déclaration à la police, ici ça n'a pas grand intérêt, cela apporte tout juste un peu de suspens. La partie la plus intéressante se situe donc avant l'incident, quand on se glisse dans l'intimité des deux couples de voisins.
L'intrigue n'est pas vraiment palpitante, mais ce qui m'a tenue en haleine, c'est cette part d'ombre que cache Julie. Quelle est la part d'autobiographie dans le Jeu de l'Assassin ? Et bien, je préfère vous le dire direct histoire de vous faire gagner du temps, vous ne le saurez jamais ! Parce que l'auteure a fait le choix de la "facilité scénaristique pour écrivain peu inspiré" avec une fin ouverte sous couvert de réalisme : puisqu'au final tout le monde a toujours une part de responsabilité dans l'histoire ...
Quant au dénouement de l'intrigue principale, même si l'identité de la victime et du coupable est tenue secrète jusqu'à la fin, c'est sans surprise.
Lien : https://wereallmadaboutbooks..
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Après la sortie de son premier livre « le jeu de l'assassin », Julie a été menacée à de nombreuses reprises par une femme.

Pour échapper à ce harcèlement Julie et sa famille ont déménagé à Cincinnati dans un quartier qui d'apparence avait l'air tranquille.
Julie qui recherchait calme et anonymat est vraiment mal tombée ! Dans ce quartier tout se sait notamment grâce à un site « ivoisins » qui relatent les moindres faits et gestes des habitants. de quoi susciter un sentiment d'oppression chez Julie qui reçoit de nouvelles menaces.

J'ai commencé cette lecture avec beaucoup d'enthousiasme. L'histoire en elle-même m'intriguait et je pensais avoir entre les mains un très bon thriller psychologique.

Mais plus j'avançais dans ma lecture plus mon enthousiasme s'est dissipé.

L'histoire s'étale sur deux périodes "aujourd'hui" et les 10 mois qui ont précédé. On sait qu'il s'est passé quelque chose mais on ignore quoi avant les toutes dernières pages ce qui fait qu'au bout d'un moment on commence à trouver le temps long.

On est donc sur une lecture mitigée.
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Quand Julie Prentice emménage à Pine Street, elle espère retrouver l'équilibre qu'elle a perdu à la sortie de son premier roman. Un roman parfois discuté, dont on l'accuse de ressembler un peu trop à l'héroïne, et qui lui a attiré les foudres d'une lectrice.

Mais rien ne se passe comme prévu.

Le quartier est régi par la poigne de fer de Cindy Sutton, qui a les yeux partout et sait tout mieux que tout le monde. le genre de mé(na)gère qu'il ne vaut mieux pas se mettre à dos. Autant dire que son « courrier de bienvenue » n'est pas du goût de Julie, qui refuse d'être contrainte à pointer à la fête des voisins, et encore moins qu'on lui dise à combien d'apéros elle a droit.

Mais Pine Street est une petite communauté qui n'aime pas être dérangée, et les Prentice sont vite pris pour cible. Seul John, le plus proche voisin, se rapproche de Julie. Bon père de famille, la quarantaine seyante, tous deux aiment courir et partagent leur parcours chaque matin. Jusqu'au jour où…

De Julie à John, d'aujourd'hui à l'année passée, l'auteur nous amuse, ne distillant que très peu d'indices sur le drame qui a brisé la vie de ces bons citoyens. Tous jouent plus ou moins double jeu, et se retrouvent disséqués par une plume entraînante.

Mais quel gâchis !!

Une construction efficace, des personnages travaillés, de bons moments de suspense: on était en droit d'attendre une fin digne de ce nom. Mais tout est bouclé en 3 pages! On revient en arrière, on se dit qu'on a dû louper quelque chose… Ce qui aurait dû être le climax du roman est discrètement inséré dans les derniers chapitres, le dénouement bâclé. L'exemple même du roman qui vous appâte, et vous plante là.

Parfois, on est un peu déçu, d'autres fois, on se dit qu'on a carrément perdu son temps.

Merci aux éditions Michel Lafon.
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Page Facebook : Pascale Bookine
blog : pascalebookine.eklablog.com

Les nombreuses critiques enthousiastes d'Amazon.com et Amazon.uk m'avaient donné envie de découvrir Catherine McKenzie mais je dois reconnaître qu'après un début plutôt plaisant, je n'ai pas tardé à m'ennuyer, ne poursuivant ma lecture que pour découvrir le "grand secret" auquel il était fait allusion tout au long du livre.
L'intrigue en quelques mots: un écrivain à succès, Julie Prentice, déménage avec sa famille pour échapper à un harcèlement dont elle est victime suite à la parution de son livre, "The Murder Game". L'installation dans le quartier ne se passe pas très bien -notamment en raison du comportement intrusif de la responsable du comité de quartier- et une relation ambiguë s'établit entre elle et le voisin d'en face, John Dunbar. Dès le début, le lecteur sait qu'un drame s'est produit et l'auteur construit son puzzle en alternant les points de vue -ceux de John et de Julie- et les époques. A priori, une intrigue et une technique séduisantes, qui ont souvent été efficaces, mais malheureusement, tel n'était pas le cas ici, en tout cas en ce qui me concerne: je n'ai pas eu de réelle empathie pour l'un ou l'autre personnage, l'écriture est ordinaire et surtout, les attentes relatives à la révélation des événements -ceux du récit principal et ceux du roman de Julie (basés ou non sur des faits réels?)- ont été déçues: pas de véritable mystère à élucider, simplement des faits qui ne nous sont révélés que progressivement, ce qui en réduit fortement l'intérêt puisque le mystère ne réside que dans la dissimulation des événements par l'auteur.
Rien de transcendant donc, un roman qui fait penser par moments à Liane Moriarty mais en moins bien, et en tout cas pas un incontournable de la littérature à suspense.
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