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EAN : 9782070352722
282 pages
Gallimard (20/06/1972)

Note moyenne : /5 (sur 0 notes)
Résumé :
Au moment où l'Asie est en train de vivre un chapitre important de son histoire et accède au premier rang de la politique mondiale, Pierre Mendès France rapporte ses impressions du Japon, de Chine communiste, de Hong Kong et Macao, de Malaisie, de l'Inde. La visite du président Nixon en Chine, la crise du dollar et ses répercussions au Japon, la guerre indo-pakistanaise et la naissance du Bangladesh, le nouveau tournant de la guerre d'Indochine, autant de sujets de ... >Voir plus
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Pierre Mendès France : “Ne plus gouverner, c'est encore choisir.” Décembre 1973, Jacques Chancel reçoit Pierre Mendès France pour l'émission Radioscopie. Sa carrière en quelques lignes : Il s'initie à la vie politique dès 1924 dans les mouvements étudiants d'opposition à l'extrême-droite puis est élu député de l'Eure en 1932, à 25 ans. Radical-socialiste, il participe à la coalition du Front Populaire. Il est membre de l'éphémère second gouvernement Blum en mars et avril 1938. Pendant la Seconde Guerre mondiale, après avoir été incarcéré par le régime de Vichy, il parvient à rejoindre la Résistance et s'engage dans les Forces Aériennes Françaises Libres. Il est commissaire aux Finances puis ministre de l'Économie nationale dans le gouvernement provisoire du Général de Gaulle de septembre 1943 à avril 1945. Nommé Président du Conseil par le Président René Coty, en juin 1954, il cumule cette fonction avec celle de Ministre des Affaires Étrangères. S'il parvient à conclure la paix en Indochine, à préparer l'indépendance de la Tunisie et à amorcer celle du Maroc, ses tentatives de réforme en Algérie entraînent la chute de son gouvernement, cible à la fois de ses adversaires colonialistes et de ses soutiens politiques habituels anti-colonialistes. Il quitte alors la présidence du gouvernement en février 1955, après avoir été renversé par l'Assemblée Nationale sur la question très sensible de l'Algérie française. Ministre d'État sans portefeuille du gouvernement Guy Mollet en 1956, il démissionne au bout de quelques mois en raison de son désaccord avec la politique du Cabinet Mollet menée en Algérie. Il vote contre l'investiture de Charles de Gaulle à la présidence du Conseil en juin 1958, puis abandonne tous ses mandats locaux après sa défaite aux élections législatives du mois de novembre de la même année. Élu député de la 2e circonscription de l'Isère en 1967, puis battu l'année suivante, il forme un "ticket" avec Gaston Defferre lors de la campagne présidentielle de 1969. Bien qu'il n'ait dirigé le gouvernement de la France que pendant un peu plus de sept mois, il constitue une importante figure morale pour une partie de la gauche en France. Au-delà, il demeure une référence pour la classe politique française, incarnant le symbole d'une conception exigeante de la politique.
Source : France Inter
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