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3,91

sur 630 notes
Je viens au livre après avoir découvert la série, dont je garde de très bons souvenirs de la première saison.
C'est donc avec un joyeux entrain que j'ai ouvert ce manuscrit, rassurant au départ de lire que support textuel et visuel demeurent très proches, puis heureuse ensuite de voir que les deux médias ont pris des chemins différents dans cette enquête pour recomposer ce qui a conduit au meurtre ou au suicide de l'employeur du héros.

Différents chemins quant aux enquêtes, personnages, liens entre eux.
Mais l'essence reste la même. La vie dans un monde où l'homme a gagné contre le Diable et se rit de la mortalité. Un monde qui n'a rien changé des écarts entre ceux qui sont ou non privilégiés. Un schéma de lecture qui pourrait au final sembler bien classique, mais la rythmique fait qu'on est vite happé par l'histoire, qui exploite surtout on ne peut mieux l'idée d'être stocké dans une puce électronique et d'incarner à l'envi ou par contrainte, différentes enveloppes.

J'en viendrai presqu'à enchaîner sur le deuxième tome, si ce n'est que la version télé m'a lourdé profond, je redoute un peu de déchanter en lecture également.
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Un roman brouillon, au style très plat, avec un héros quasi identique à celui de Thin Air, que j'ai lu juste avant. L'intrigue est un vrai fouillis, avec des révélations faites au lecteur de manière à l'embrouiller (très réussi) et des dialogues qui ne rehaussent guère les caractères très linéaires des différents personnages. Une grosse déception.
Lien : https://lauryn-books.blogspo..
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Je remercie les éditions Bragelonne pour cette lecture. Une histoire intrigante, mais dans laquelle j'ai eu du mal à rentrer durant le premier tiers de ma lecture !

On se retrouve plongé dans le monde de Takeshi. Il vit dans un monde futuriste, dans lequel la mort n'existe presque plus. En effet, on peut sauvegarder sa conscience et ses souvenirs, afin de les réimplanter dans un nouveau corps en cas de mort !

Pourtant, un riche magnat va contacter Takeshi. Il veut l'aider à retrouver le coupable de la mort de ce dernier. En effet, la police a conclu à un suicide, ce qui est complètement absurde, car il continuait régulièrement de sauvegarder sa conscience. Pourquoi essayer de se suicider dans ce cas, si cela était pour revenir ensuite ? C'est ainsi que Takeshi va essayer de retrouver celui qui lui a fait ça et surtout, pourquoi ?!

L'histoire était prenante. On se retrouve dans un petit thriller à suspense bien sympathique, avec une écriture fluide et plaisante à lire qu'est celle de Richard Morgan.
Pour autant, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire, ce qui pour moi, était un gros défaut de ce dernier. Il m'a fallu un peu plus du tiers de ma lecture, avant de réellement commencer à prendre plaisir dans cette lecture.

En bref, l'histoire était prenante et intéressante, mais difficile à rentrer dedans. Est-ce que je continuerais à lire la suite ? Je n'en ai aucune idée ! Je ne suis pas spécialement curieuse de la suite, mais peux être que j'envisagerais de lire la suite un de ses jours. En tout cas, c'était une découverte intéressante !
Lien : https://lapommequirougit.com..
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Il y a une semaine environ, suite au visionnage du dernier épisode de la série Netflix "Altered Carbon", je débutais la lecture du roman éponyme.

Je ne lis pas de SF (sauf celle de Maxime Chattam) donc je n'avais aucune attente particulière. Et d'habitude, je préfère lire avant de regarder l'adaptation mais bon, dans le cas présent c'est la série qui m'a lancée sur le livre et pas l'inverse. Mais trêve de bla bla...

"Carbone modifié" est un thriller futuriste et assez sombre. J'ai même lu quelque part, qu'il s'agissait d'un thriller cyberpunk.

Comment résumer ce roman ? Sexe, drogue & violence !

Globalement on retrouve les classiques du genre : un détective borderline, un flic assidu (de préférence une demoiselle qui cédera aux avances du détective), des ripoux, des hommes de mains violents et des riches qui se croient au dessus des lois et qui profitent des braves gens qui constituent, pour eux, la lie de la société.
Dans le monde futuriste de ce roman, les consciences des humains sont chargées sur des piles qu'on implante sur des corps synthétiques, ou non, au fur et à mesure des décès des enveloppes corporelles. Ainsi, il n'est pas rare, si le sujet n'a pas les moyens, d'être réimplanté dans un corps différent du sien. Seuls les riches, appelés Math, bénéficient d'un réenveloppement dans un clone de leur corps d'origine.
Takeshi Kovacs, ancien membre des Corps diplomatiques, se retrouve réimplanté dans le corps de Ryker, un flic tombé pour, entre autre, corruption et activités borderline. Sa mission est alors d'enquêter sur la mort d'un Math extrêmement riche : Laurens Bancroft.

Le roman est extrêmement immersif. Dès les premières pages, et malgré la "pollution mentale" par la série, on plonge aisément dans l'univers assez complexe et détaillé de ce que sera notre monde du futur. L'enquête, sans être originale, est suffisamment prenante pour qu'on veuille arriver à la fin afin de connaître le fin mot de l'histoire. le contexte de digitalisation, qui soulève aussi la question de l'immortalité, de l'éthique aussi puisque la question de l'argent sera toujours au centre des activités de conservation de la vie humaine. Il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi.
Là où le bas blesse, et c'est ce qui m'a fait préférer la série au livre (eh oui !), c'est que j'ai trouvé que certains passages manquaient de transition entre eux. L'auteur semble s'être laissé submerger par trop de complexité. Cela laisse apparaître des "vides" qu'il tente de raccomoder grâce aux souvenirs enfouis de l'ancienne vie diplo de Takeshi Kovacs... Beaucoup plus "bourrin" que dans la série, le héros manque de tact ce qui réduit un peu le charisme du personnage. Quant à l'intrigue, bien que similaire à celle de la série, elle est un peu plus "brouillon" et moins bien exploitée. C'est dommage.
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Mise à jour après une deuxième lecture :

C'est étrange comme on peut avoir un ressenti totalement différent sur le même livre à quelques mois d'intervalle. J'avais essayé de lire ce roman au début de l'année et j'avais renoncé après en avoir lu la moitié. Cette fois, j'ai été captivé par le récit dès le début et malgré une petite baisse d'intensité au milieu, j'ai tenu bon et j'ai pris dans cette deuxième lecture un plaisir que je n'avais pas connu la première fois. Comme quoi, il est parfois bon de laisse une seconde chance à un roman qui nous a déçu mais dont on perçoit un potentiel à côté duquel on est peut-être passé la première fois. C'est bien le cas ici, sans que je comprenne bien pourquoi. Sans doute une question d'état d'esprit au moment de la lecture.

Première critique après une première lecture :

Altered Carbon est le premier tome d'une trilogie de romans de l'écrivain britannique Richard K. Morgan. J'ai découvert cette oeuvre à travers son adaptation en série TV par Netflix : j'avais trouvé cela sympathique sans en garder non plus un souvenir inoubliable. Malgré tout, la lecture récente du jeu de rôles Eclipse Phase, inspiré notamment de l'imaginaire décrit par Richard K. Morgan dans Altered Carbon et ses suites, m'avait donné envie de plonger dans la trilogie.

Il faut d'abord avoir conscience d'une chose : Altered Carbon est un polar dans un univers de science-fiction transhumaniste. Dans ce futur imaginé, l'esprit d'un être humain peut être numérisé et transféré d'un corps à un autre : la mort n'est vraiment réelle que si on efface toutes les sauvegardes de l'esprit d'une personne. Les plus riches passent sans cette d'un corps à un autre et peuvent ainsi vivre jusqu'à trois siècles, quand les plus pauvres doivent travailler toujours plus dur pour disposer d'un corps correct.

Je dois également faire une remarque sur la structure du livre : contrairement à de nombreux romans parfaitement calibrés avec des chapitres de taille quasiment identiques, généralement entre 10 et 15 pages, celui-ci varie les plaisirs : certains chapitres atteignent tout juste 10 pages quand d'autres dépassent les 20 voire 25 pages. C'est déroutant quand on est habitué aux productions littéraires récentes où tout est finement calculé pour plaire au plus grand nombre, et c'est suffisamment notable pour que je le signale ici.

Malheureusement, un polar dans un univers de science-fiction reste un polar, et c'est un genre qui ne m'a jamais vraiment plu. Si j'ai aimé certains romans policiers old-school (Agatha Christie a bercé mon adolescence), j'ai toujours du mal avec les polars, leurs ambiances sombres et poisseuses, et les enquêtes qui avancent péniblement avec un détective plus ou moins antipathique.

Après avoir tenu plus de la moitié du livre, j'ai fini par renoncer. L'univers décrit par l'auteur est passionnant, il donne envie d'en savoir plus, mais le récit m'a littéralement ennuyé. J'ai tenté péniblement de passer outre en poursuivant ma lecture mais j'ai fini par me résoudre à abandonner, constatant avec amertume que ce livre n'est pas fait pour moi.

Je ne peux même pas dire que c'est un livre raté, ou de mauvaise qualité. Je suis bien incapable de juger s'il s'agit ou pas d'un bon polar. Par contre, je peux dire que le décalage – sans doute voulu par l'auteur – entre l'univers très inventif et le récit très classique n'a pas produit chez moi les effets désirés.
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Un thriller cyberpunk ou "l'âme" humaine tient dans une puce transférable selon le bon vouloir de son propriétaire ou de ceux qui en ont le pouvoir, et ou la hiérarchisation de la société se résume à ce que nous connaissons déjà, les différences étant encore plus exacerbées par cette nouvelle donnée.

Le concept de départ et les idées qui en découlent sont passionnants et ouvrent sur tellement de possibilités nouvelles. Malheureusement j'ai trouve que beaucoup d'entre elles n'étaient pas assez approfondies au détriment de scènes d'actions omniprésentes. le système mis en place par l'auteur reste prenant malgré tout et l'ambiance et les décors cyberpunk sont très bien rendus, même si le trop plein de personnages dont on finit par ne plus se souvenir et le côte fouillis voire incompréhensible de certains délires ou rêves, gâche un peu l'ensemble.
C'est un roman dont j'attendais beaucoup, trop peut-être. L'imagerie cyberpunk m'a toujours fascinée (merci Blade Runner, Akira, Matrix et consorts), et je ressors de cette lecture plutôt déçue même si je l'ai appréciée car elle n'a pas répondu a mes attentes. Maintenant je suis curieuse de savoir ce qui en a été pris pour la série du même nom et qui sait, peut-être que ce format me conviendra mieux. Pour ce qui est des romans je n'ai pas encore decidé si je lirai les volumes suivants.
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Après avoir regardé la série sur Netflix et l'avoir beaucoup appréciée, j'ai eu besoin de savoir d'où l'histoire était tirée. Ça n'a pas été une déception : le livre est bon, et les scénaristes ont très bien bossé. La série est fidèle, tant pour l'atmosphère que pour l'action, même si certains faits ont été modifiés pour rendre le tout plus visuel et un peu plus... manichéen. J'ai toutefois préféré la série. Pourquoi ? Eh bien parce que si je ne l'avais pas eu en tête durant ma lecture, j'aurais probablement décroché. La principale raison étant le point de vue à la première personne qui limite parfois la compréhension de certains concepts. Je pense notamment au Construct, qui n'est pas très bien expliqué, ou difficile en tout cas à appréhender quand on ne l'a pas rencontré dans d'autres lectures. Comme on est presque constamment plongé dans l'action, il y a finalement peu de moments où l'auteur s'embarrasse de précision. Ça peut être gênant si, comme moi, on préfère le point de vue omniscient afin d'avoir accès à toutes les infos. Cependant, ça reste bien écrit et très sympa à lire, pour peu qu'on aime le Cyberpunk et le sordide (encore que, je ne trouve pas ce livre trash comme le disent certains avis sur le net).

Au-delà de l'univers Cyberpunk assez bien ficelé, ce sont surtout les questions soulevées sur l'immortalité, au plan spirituel et sociétal, qui m'ont convaincu de poursuivre ma lecture. Nous sommes donc projetés au vingt-sixième siècle, dans un monde où l'être humain est digitalisé, sa conscience stockée dans des « piles » que l'on insère dans la nuque dès la naissance. La « vraie » mort ne survient que si la pile est détruite, et on comprend assez vite que pour vivre éternellement, dans une enveloppe choisie et qui vous correspond, il vaut mieux avoir un paquet de crédits sous le bras et une influence dans les hautes sphères, dirigées par les Math. Laurens Bancroft, le riche magnat qui sort Takeshi Kovacs de sa « suspension » deux cent cinquante ans après sa mort, est de ces gens-là.

Grâce à cette avancée technologique, les distances en années lumière ne sont plus un obstacle à la conquête de l'espace intersidéral. L'humanité a colonisé des mondes au-delà du système solaire, certains humains n'ont même jamais vu la Terre. C'est le cas de Kovacs, originaire d'Harlan, unique biosphère habitable du système de Glimmer, à quatre-vingt six années lumière de là. À Bay City, il découvre les coutumes du plus ancien des mondes civilisés, sa police débordée par une forte criminalité, les Catholiques qui refusent de perdre leur âme dans la digitalisation, la corruption des Math et l'obscénité qui règne dans les grandes villes. de quoi compliquer son enquête afin de retrouver l'hypothétique meurtrier de Bancroft. L'homme est persuadé d'avoir été victime d'un assassinat et si Kovacs réussit à élucider ce crime, le reste de sa peine – cent dix-sept ans et quatre mois – sera annulée. Il sera ainsi transférée sur Harlan, dans l'enveloppe de son choix, avec un bonus de cent mille dollars NU crédité sur son compte, ou il pourra choisir de rester sur Terre et d'être naturalisé comme citoyen des Nations unies. C'est notamment grâce à Kristin Ortega, un lieutenant de la police de Bay City qu'il rencontre dès sa sortie de suspension et avec qui il lie une relation ambiguë, qu'il parviendra à découvrir la vérité.

N'étant pas fan de thriller ou de polar, je ne suis pas spécialiste, mais l'enquête m'a semblé un peu bâclée sur la fin. C'est la raison pour laquelle j'ai préféré l'intrigue de la série, plus commerciale, c'est vrai, mais beaucoup moins bancale. Les concepts exploités tout au long du livre ne sont pas nouveaux, toutefois Richard Morgan a le mérite de les rendre accessibles au non-initié. Les puristes ne les trouveront pas assez poussés, les lecteurs comme moi qui aiment la SF pour le voyage s'en contenteront largement.
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Un récit de cyberpunk efficace et prenant, où l'auteur ne prends pas de gants. La pile corticale est bien approchée, le coté social lié à cette dernière est abordée d'une manière assez dérangeante. Un vrai thriller de SF qui décoiffe et ne se perd pas dans des réflexions métaphysiques.
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J'ai vu la série avant de lire le livre. Et comme rarement, j'ai adoré les deux, avec une subtile préférence pour la version de Netflix. Pour la version adaptée du scénario, bien sûr. Parce que ce livre est ce qu'on attends d'un livre digne d'être adapté : il est riche, il est visuel, il est psychologique, il est complet.
Nous suivons les mésaventures de Takeshi Kovacs, un guerillo terroriste qui a été enfermé dans une prison virtuelle pendant plus de deux-cent ans, avant d'être réenveloppé dans le corps d'un flic ripoux pour enquêter sur la mort d'un richissime immortel… qui est également son contractant. Oui, ça donne le ton : un futur technologiquement avancé, mais toujours aussi sordide. Et c'est ainsi qu'on peut résumer toute cette histoire : technologique et sordide. Parfois un peu trop à mon goût, ce qui explique cette étoile en moins. Dans la surrenchère d'absurde, l'auteur va parfois un peu trop loin et sème des sous-intrigues totalement inutiles. Dont une qui a d'ailleurs été rattrapée par la série, autour des synthétiques. Bien joué.
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Hier, j'ai terminé le premier tome d'Altered Carbon, du cycle de Takeshi Kovacs, par Richard Morgan. En vrai, j'aurais aimé assimiler cet univers un peu plus longtemps, mais je pense que les deux tomes suivants m'aideront davantage à comprendre les tenants et les aboutissants de ce futur assez pessimiste. Dit comme ça ce n'est pas très vendeur, mais le développement de ce monde reste très très convainquant par la richesse de ses détails et de ses réflexions sur ce que la société peut potentiellement devenir.

Je ne lis pas énormément de Science-Fiction, ni de triller, mais ce cocktail ci est assez détonnant. Nous sommes quelques siècles après ère, dans une société hyper technologisée, la Terre est partie à la conquête des autres planètes. Maintenant, il est possible de ressusciter dans d'autres enveloppes corporelles, autant que l'on le souhaite, si l'on est riche, où si on arrive à se faire les « bons amis ». Takeshi Kovacs, ancien membre des Corpos, un corps militaire d'élite chargé de faire la police dans la galaxie, va lui aussi se retrouver dans le corps d'une autre personne, sur Terre, afin de mener à bien une enquête commanditée par un Math, autrement dit, un des hommes les plus influents que l'on puisse rencontrer.

L'intrigue est complexe, il faut s'accrocher pour ne pas perdre le fil emmêlé par l'auteur. J'ai énormément apprécié le caractère des personnages, arrivant à me faire oublier les termes que je ne comprenais pas. Rien n'est entièrement blanc, ni entièrement noir dans ce premier tome, à commencer par le protagoniste, qui est la figure même de l'anti-héros. Manipulateur et prêt à tout pour mener à bien sa mission, on apprend avec lui sans ménagements les lois de ce nouveau monde assez cruel. Chaque personne qui va croiser sa route possède son propre caractère et sa propre histoire, bien définie, malgré leurs défauts, on peut aisément s'y attacher, car il est facile de se dire que bien souvent, ils n'ont pas le choix.

La réflexion de fond sur le fait de pouvoir revenir à la vie s'égrène ici au fur et à mesure des chapitres, et Kovacs, comme le lecteur, va nourrir cette réflexion auprès de certaines personnes dont il va croiser le chemin. Une action extrêmement rapide, à la hauteur du personnage, et finalement de ce futur dans lequel on se bat pour rester humains. Peut-être un message de la part de Richard Morgan, pour nous avertir du danger d'une évolution toujours plus rapide, dans laquelle la loi du plus fort l'emporte le plus souvent. Pourtant, le texte a été publié en 2003.

En finalité, je pense que ce roman, « techno-polar » méritera une seconde lecture dans quelques années… J'apprécie toujours autant les petits chapitres, mais aussi que l'histoire soit découpée en 5 parties, un peu comme un « niveau suivant » dans un jeu-vidéo. de plus, j'ai envie d'appréhender ce vocabulaire très riche afin de comprendre davantage les spécificités du futur. Une série Netflix du même nom a vu le jour, je pense que m'y mettre lorsque j'aurais terminé la trilogie, et je pense que le tome 2 ne tardera pas à atterrir au dessus de ma pile-à-lire.
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