AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,92

sur 297 notes
5
32 avis
4
37 avis
3
11 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Jean, la soixantaine a souhaité passer quelques jours sur l'île d'Ouessant avec quatre amis de jeunesse.
Sylvère, le narrateur, est le seul qu'il a continué à côtoyer.
Nous suivons l'histoire de Sylvère depuis sa naissance très chamboulée et petit à petit les autres personnages vont apparaître après l'école primaire. Jean, l'ami de toujours; Mara, la séductrice ; Lours le grand bouclé triste, Luce, la grande fille plus masculine.
Il faudra arriver à la moitié du livre pour voir les amis réunis et c'est très bien ainsi car le récit de Sylvère est craquant et relate bien la genèse de l'amitié entre ces cinq anciens ados dans les années 60, 70.
Et puis, dans les retrouvailles, je l'ai vécu dernièrement, on se parle toujours avec autant d'intimité mais la vie est passée par là et a eu le temps de semer ses différences. Alors, les blancs surviennent vite dans les conversations comme l'auteur le souligne très bien au début de leur rencontre à Ouessant. C'est dans l'action que les liens reviennent.
J'ai admiré la grande place faite aux vraies valeurs, les moments forts vécus dans leurs vies personnelles et partagées entre eux dans leur jeunesse.
Durant son adolescence, Sylvère découvre les différences de milieux qui empêchent un amour de continuer mais pas l'amitié.
Le ton employé est une juste distance par rapport aux évènements mais il n'empêche que j'ai été plusieurs fois très émue. Il faut dire que Jean-Claude Mourlevat est juste un tantinet plus âgé que moi. Il parle donc d'une époque proche de celle de ma jeunesse avec tellement de sincérité que je le répète: c'est craquant, très humoristique et bien écrit.
Les titres des chapitres annoncent les éléments principaux de ceux-ci. Je revenais chaque fois en arrière pour relire l'intitulé.
J'ai connu ce livre grâce à Sabine que je remercie bien sincèrement. Grâce à elle, j'ai presque fait un bond dans le temps.
Commenter  J’apprécie          6710
Jean-Claude Mourlevat !
Un nom qui m'était inconnu, il y a encore quelques semaines...
Et que je ne suis pas prête d'oublier maintenant !

Cet auteur m'avait déjà bien conquise avec son précédent livre, Et je danse, aussi, écrit à quatre mains avec Anne-Laure Bondoux.
Lors de notre rencontre au salon Etonnants voyageurs de St Malo, je lui ai dit combien j'avais apprécié cette magnifique amitié épistolaire, combien il m'avait touchée avec chacun des personnages...
... Oubliant complètement de m'intéresser au roman qui trônait juste devant lui pourtant... Mes amis devenus... Tout juste sortie depuis quelques jours...
Je me suis rendue compte de ma bêtise très vite après avoir quitté le salon. L'émotion redescendue et une fois le cerveau reconnecté. Et quel regret !
Erreur (en partie) réparée une semaine plus tard et qui me donnera une bonne excuse de le revoir à une prochaine occasion.

Aussitôt entre les mains, aussitôt dévoré.
Un vrai et sublimissime régal !

Je suis passée par une multitude d'émotions.
Celle qui domine est vraiment la nostalgie.
Un récit de souvenirs, simple, sincère, truffé d'humour et de tendresse.

J'ai beaucoup ri. Mais j'ai aussi pleuré... En plein milieu du livre !
J'en suis encore toute retournée...
Une scène qui m'a émue comme ce n'est même pas croyable !
Pleurs d'un trop plein d'émotions qui ce sont terminés sur un éclat de rire. C'était tellement fort !

Les personnages sont juste magnifiques.
Chacun apporte énormément à l'histoire.
Jean-Claude Mourlevat a vraiment le don de rendre ses personnages "vivants". Je l'avais déjà constaté dans son précédent roman.
On les voit, on les vit, on les aime, on s'y attache, ils nous touchent, on les connait !
Ce sont nos proches,nos potes, nos voisins, nos anciennes connaissances...

Tout un éventail d'émotions, donc, avec cette lecture.
J'ai orné mon livre d'une vingtaine de "petits retours", pour pouvoir revivre à n'importe quel moment, quand je le souhaite, un de mes passages favoris, une jolie et forte émotion, etc.

J'ai vibré ! J'ai plané !
Comme c'était fort ! Comme c'était bon !

Mon plus grand coup de coeur depuis le début de l'année !

Embarquez sur le ferry qui vous ramènera au temps de votre enfance, de votre adolescence.
Revivre vos plus belles amitiés, vos premiers amours, vos plus beaux souvenirs, mais aussi vos regrets... avec tendresse et nostalgie !

Commenter  J’apprécie          5711

Cher Monsieur Mourlevat,

C'est à bord du ferry qui m'emmène de Livorno à Bastia, que je referme votre livre avec beaucoup d'émotions.

Dans le sillage de ce géant blanc des flots, les formes douces et sombres de Capri se dessinent derrière moi, telle une île mystérieuse qui semble glisser sur l'horizon au fur et à mesure que nous fendons les vagues, tandis que la mer de Ligurie nous offre son scintillement d'azurs à perte de vue...

Assis sur le pont arrière du bateau, tout de bleu et blanc vêtu, mes pensées sont encore embrumées de vos mots, la faute également, je dois bien le reconnaître, à une nuit bien trop courte (c'est fou comme la climatisation est particulièrement bruyante sur ces gros navires !).

L'endroit m'est apparu parfait pour profiter de votre second roman en littérature adulte, mes yeux encore humides d'embruns marins que nous livre le Libeccio, ce vent du Sud, mêlés aux douces émotions océanes que vous m'avez occasionnées durant cette traversée.

Certes, ce n'est pas Ouessant qui m'attend comme vous au bout du débarcadère, mais qu'elles soient du Sud comme du Nord, toutes les mers du monde possèdent en elles cette même force tranquille qui nous poussent à nous questionner sur notre passé, sur notre vie, nos joies, nos doutes, nos regrets, nos amis devenus...

Les vôtres, ces amis devenus, c'est sur le ponton de l'île d'Ouessant qu'ils se retrouvent, quarante ans après, leur jeunesse derrière eux, pour se questionner et partager une dernière fois leurs souvenirs, effleurer leurs vies du bout des doigts et leurs amours d'un battement de cils, évoquer leurs regrets ou au contraire, tenter de les exorciser...

« On se racontera ce qu'on est devenus. En réalité, nous n'en faisons rien. C'est plus subtil que ça : nous procédons par petites touches qui finissent par dessiner le paysage de chacun. »

Tels les cinq doigts de la main, il y a là Lours', grand et fort mais aussi mélancolique ; Luce l'électron libre un peu fofolle ; Jean le guide, sage et rassembleur, Sylvère le pilier au coeur tendre et la jolie Mara, celle qui les unit finalement tous...

Avec eux, c'est une palette émotionnelle forte que vous avez tissée pour nous, dans un style drôle, tendre, dramatique et simple à la fois... comme devraient toujours l'être de belles retrouvailles entre vieux amis.

Après avoir adoré Et je danse aussi, vos mots m'ont une nouvelle fois emporté.

Merci pour cette traversée maritime en votre compagnie et cet instant parfait, Monsieur Mourlevat.

Je vous laisse à présent... la Corse m'attend au bout de mon ponton à moi !
Commenter  J’apprécie          5030
Voilà une histoire que tous devraient lire en ce temps de Noël, une histoire qui met du baume au coeur, une histoire d'amitié, de fidélité, d'amour familial, pleine de tendresse et d'humour.
Vraiment, en ces temps troublés, Jean-Claude Mourlevat apporte sa contribution afin de nous apaiser, car il nous montre que malgré les tempêtes, malgré les disputes et les jalousies, l'amour et l'amitié triomphent.

A la faveur d'une réunion d'amis plus vus depuis 40 ans, le narrateur, Sylvère Benoit, se remémore son enfance et son adolescence en compagnie de Jean, l'ami le plus cher. Mais aussi son grand amour avec Mara, écourté et disloqué par celle-ci. Luce et Lours complètent la petite bande.
Sylvère parle également de son père qu'il adore, ainsi que de Suzanne, sa maman de remplacement qui l'a élevé comme une vraie maman.

Beaucoup d'anecdotes racontées de manière cocasse, même si le sujet souvent est grave. Et puis après les trois quarts du livre, nous voyons arriver les amis au lieu du rendez-vous, une maison sur une île bretonne, où Sylvère, les mains moites, le coeur en bandoulière et l'esprit vagabond, les attend. Cinq jours se passeront, les souvenirs affleureront, l'amour reviendra faire un tour, et l'amitié, toujours, triomphera.

C'est ce que je souhaite à chacun d'entre vous pour les jours qui viennent et pour l'année qui se profile.
Commenter  J’apprécie          393

"Une belle histoire , une histoire sans méchants , sans trahison , sans réglement de comptes , sans conflit ! Dans un roman , ça ne passerait pas"
Et pourtant si.

Avec la voix de son narrateur , écrivain et principal personnage Silvère Benoit ; Jean - Claude Mourlevat semble ainsi résumer son propre livre , comme un avertissement au lecteur avide de suspense et d'action.

C'est l'histoire de cinq amis , plus ou moins perdus de vu , et qui se retrouvent quarante ans plus tard - alors agés d'une soixantaine d'années - l'espace de quelques jours.

C'est surtout l'histoire de Silvère qui nous confie ses souvenirs d'enfance et d'adolescence. Ses joies , ses doutes , ses peines , ses rencontres. Les différents points d'orgue de sa jeunesse qui l'auront construit , transformé , et qui mettront souvent en scène ses quatre amis prochainement retrouvés ou sa famille.

A première vue ça ne parait pas bien passionant à lire tout ça. Pour ma part je ne suis absolument pas habitué à ce type de littérature , sans enquête policière ni créature d'outre tombe. Il me rappelle juste de loin l'élégance du hérisson , avec lequel il partage plusieurs thématiques. A moins que ce ne soit à cause du dernier chapitre ?

En tout cas j'ai adoré "Mes amis devenus".

D'abord pour l'écriture de Mourlevat , que je trouve magnifique. Soignée , élégante , jamais pompeuse.

Ensuite parce que la lecture a permis à mes propres souvenirs ( y compris enfouis ) de revenir , de dévaler en très grand nombre la pente de ma mémoire. La mort de mon premier chien , mon professeur de philo qui m'accuse d'avoir triché , mes amours d'adolescent et les chagrins qui vont de pair , les mariages et autres évènements festifs durant lesquels je m' éclipsais une heure ou davantage pour bouquiner plutot que faire la chenille , le coup de fil annonciateur de mauvaises nouvelles qui a bouleversé ma vie. Et au moins une dizaine d'autres , parfois très intimes et personnels , qui n'ont pas forcément leur place ici.

Ce n'est pas un livre très gai. Même s'il m'a permis de me remémorer de très bons moments , pas de nostalgie vraiment heureuse pour moi ici mais davantage de regrets ou de tristesse. Comme si l'auteur avait su appuyer exactement là où ça fait mal.

Mais la grande force de ce roman à mon sens , c'est que chaque personne qui lira ces 220 pages pourra se rappeler. Ce sera d'autres passages et d'autres personnages qui créeront ces échos , ce seront bien évidemment d'autres souvenirs ; mais je suis convaincu que chacun pourra parfois s'y reconnaître au vu du très large éventail de sujets abordés.

Merci pour ce conseil de lecture émouvante , parfois éprouvante également.
Commenter  J’apprécie          207
Je ne sais pas si c'est du vécu pour l'auteur.
En tout cas c'est fichtrement bien raconté.
Les souvenirs d'enfance et d'adolescence m'ont rappelé tant de choses :
- Zappy Max (émission de radio)
- le gros poste de radio en bois verni qui trônait en bonne place dans tous les foyers,
- le calendrier des postes accroché à un clou,
- ce fameux compliment que l'on adressait à une jeune fille "avoir les capacités de devenir institutrice"
- les premiers émois amoureux,
- la découverte du corps de l'autre et celle du plaisir.
- le monde des parents vu par le regard de l'enfant
Monsieur Mourlevat vous avez tout bon et vous m'avez emmené avec vous au pays de la nostalgie où j'aime me replonger parfois.
Vous avez retrouver vos amis d'enfance 40 ans après et c'est exactement les mêmes sentiments que je ressens quand nous faisons nous aussi nos retrouvailles avec ma classe.
Et le plaisir de se redécouvrir et de partager des souvenirs inoubliables qui ne font rire que nous.
Les nostalgiques seront comblés et un brin triste que cela soit aussi court.
Commenter  J’apprécie          150
Retrouver Mourlevat c'est toujours un plaisir. J'ai lu et fait lire certains de ses romans comme La rivière à l'envers ou Terrienne qui sont plutôt destinés à des ados mais que l'on peut apprécier quelques dizaines d'années plus tard !
J'ai découvert ces jours-ci que cet auteur écrivait aussi pour les adultes. J'ai ouvert "Mes amis devenus" à la première page et je l'ai posé... à la dernière, un peu abasourdi par l'excellent moment que je venais de poser. Je me suis retrouvé, comme à la lecture de Jacques Poulain ou de Paolo Cognetti, dans un habit si confortable que je n'avais plus envie de le poser.
D'autres ont fait une critique si remarquable de ce livre qu'ils m'ont un peu coupé l'herbe sous les pieds. Je n'aime guère commenter les ouvrages qui sont déjà encensés par de multiples lecteurs, ou alors j'essaie de le faire dans les premiers. Mais là, j'avais envie de joindre ma voix au concert de louanges. Aucune mièvrerie, aucun mélo dans le récit de cette tranche de vie. L'auteur a su nous conter cette belle histoire d'amours et d'amitiés avec le ton qu'il fallait, réalisme, délicatesse, humour... J'avoue aussi que la fin m'a agréablement surpris par sa finesse, mais je n'en dirai pas plus...
Commenter  J’apprécie          122
Silvère attend sur l'île d'Ouessant pour des vacances improvisées, l'arrivée en ferry de ses 4 amis de jeunesse qu'il n'a plus revus depuis 40 ans.

La machine à remonter le temps s'enclenche pour nous faire profiter de moments ordinaires que l'auteur sait rendre extraordinaires.
De sa naissance dans un contexte pour le moins perturbé à ses souvenirs de jeunesse, Silvère a rendez-vous avec son passé : son premier et éternel amour Mara, son fidèle ami Jean, sa complice Luce et l'inébranlable Claude dénommé « Lours ».

Si je devais choisir un seul mot pour qualifier ce roman, je dirai qu'il est tout simplement « savoureux ».
On passe du rire aux larmes sans transition quelques fois grâce au don de conteur hors pair de l'auteur.
Ce roman n'est pas qu'une simple chronique, un suspense s'installe au fil de la narration si bien qu'on attend avec impatience l'arrivée de ses amis.

Si certains passages sont légers et anecdotiques comme les déboires de jeunesse, d'autres au contraire, abordent des thèmes graves comme la mort d'un proche ou le suicide.
Jean-Claude Mourlevat, tel un magicien des mots, manie aussi bien l'autodérisition et l'humour que la simplicité et la délicatesse nécessaires à certains passages bouleversants d'émotions qui ne laissent pas indifférents.

Véritable coup de coeur pour ce livre qui fait du bien au moral, qui fait l'apologie de l'amitié, de l'amour, de la vie finalement et nous rend un brin nostalgique.

Avec ce brillant opus, Jean-Claude Mourlevat qui excelle dans la littérature jeunesse élargit son public aux adultes avec talent !
Commenter  J’apprécie          110
Le temps d'un week-end, une bande d'amis de longue date, certains pourtant perdus de vue, d'autres encore présents après toutes ces années, se retrouvent et font resurgir les souvenirs de leur enfance. Un pitch déjà vu, ça pullule en littérature et dans le cinéma français. Mais force est de constater qu'ici, Jean-Claude Mourlevat sublime son sujet.
Car rapidement, il y a un charme qui se crée, on est enveloppé dans une bulle, l'émotion est là, affleure, à fleur de peau. On se dit que ça va être un bon texte. La suite ne détrompe pas.

Le seul reproche qui m'est venu au cours de ma lecture, c'est qu'il était dommage que ces retours à l'enfance ne soient pas faits de manière plus organique à mon goût, c'est-à-dire par flashbacks qui reviendraient par moments au cours du weekend de retrouvailles, et non pas comme ici en un gros bloc juste après l'introduction.
Puis on lit, et arrivé aux retrouvailles, on se rend compte qu'en fait ça marche très bien comme ça. Vraiment très bien. Peut-être même mieux.
Mais dès le début, on est touché par la mort d'un vieux chat, remué profondément par la mort d'une mère, il y a quelque chose dans l'écriture qui nous parle directement au coeur, au creux du ventre, et à un coin de la tête. le combo parfait.
La plume est délicate, sonne toujours vraie. Elle peut nous toucher un instant puis nous faire sourire l'instant d'après, nous rendre nostalgique ou plein de tendresse. le texte résonne en nous. Mais pas dans du creux, pas dans du vide. C'est plutôt comme l'écho d'une chauve-souris, il révèle des choses enfouies dans l'obscurité de notre mémoire. Des souvenirs. Il nous renvoie à notre propre enfance, à notre propre vie, à nos amitiés perdues ou qui perdurent. Parce que cette bande de potes, c'est la nôtre. C'est nous.
Autant vous dire que j'ai eu les larmes aux yeux à plusieurs moments.

Comme je le disais plus haut, tout du long on est dans une bulle intemporelle, car elle convoque en fait toutes les temporalités sans nous laisser voir le temps qui passe à mesure qu'on lit. C'est une bulle dont on a le plus grand mal à s'extraire, les mots et sentiments restent et nous imprègnent, laissent une trace. le retour à la réalité à chaque fois qu'on pose le livre se fait lentement, comme la mer qui se retire d'une plage.
Et puis la dernière page tournée, on souffle un coup, lentement. Puis on prend son téléphone et on appelle ses amis. Un week-end ensemble, ça vous dit ?
Commenter  J’apprécie          102
Impossible de ne pas penser à Patrick Bruel et sa Place des grands hommes en lisant ce roman ! Et à ma grande surprise j'ai beaucoup aimé ! Pourquoi surprise? Parce que ma meilleure amie adore cet auteur et qu'elle a moins aimé ce roman que les autres. Moi je suis rentrée dedans tout de suite, et ai même versé quelques larmes ! Midinette... ;)

Silvère, homme d'une soixantaine d'années, part sur l'île d'Ouessant, pour attendre 4 amis du collège et lycée qu'il n'a pas revus depuis longtemps, excepté Jean, qui est son ami depuis toujours, et qui a eu l'idée de sces retrouvailles.

L'essentiel du roman, ce sont les souvenirs qu'il a avec chacun, j'ai beaucoup aimé ces/ses tranches de vie. C'était émouvant, c'était drôle, beau, agréable et bien écrit !

Pas tout à fait un feel good, j'ai beaucoup plus pensé au style de Jean Anglade. Cela ne pouvait donc que me plaire.
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (529) Voir plus



Quiz Voir plus

L'enfant océan

combien y a il d'enfants ???

5
6
7
9

6 questions
407 lecteurs ont répondu
Thème : L'Enfant Océan de Jean-Claude MourlevatCréer un quiz sur ce livre

{* *}