AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Jefferson tome 1 sur 3
EAN : 9782075090254
272 pages
Gallimard Jeunesse (01/03/2018)
4.16/5   755 notes
Résumé :
Le pays où cette histoire commence est peuplé d'animaux qui marchent debout, parlent, peuvent emprunter des livres à la bibliothèque, être amoureux, envoyer des textos et aller chez le coiffeur. C'est justement ce que fait le hérisson Jefferson en ce matin d'automne radieux. Il part se faire rafraîchir la houppette et cela suffit à le mettre en joie. Mais en arrivant au salon Defini-Tif, Jefferson découvre une scène horrible: le blaireau Edgar, son coiffeur, est au ... >Voir plus
Que lire après JeffersonVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (264) Voir plus Ajouter une critique
4,16

sur 755 notes
C'est un hérisson qui s'enfuyait
Et voulait découvrir un meurtrier...
"Oh, qu'est-ce qu'y pique, ce hérisson !
Oh, qu'elle est triste sa chanson !"

Jefferson le hérisson, se rendant chez le blaireau coiffeur, pour une coupe à la brosse, euh "rafraîchir sa houppette", est accusé du meurtre d'Edgar, le patron du Défini-Tif.....

Aidé par son ami Gilbert le cochon, Jefferson va mener son enquête, afin d'être disculpé. Ados, ils avaient bu, fumé et écouté du "rap-sanglier" le meilleur ( copains comme cochons!)...
Ils vont découvrir l'entraide entre animaux, l'amitié et la naissance de sentiments amoureux., pour Jefferson!

Mais aussi l'effroi et la peur... Car il y a plusieurs catégories d'êtres vivants:
"...Tout en haut, les humains, pas peu fiers de leur supériorité. En dessous, il y a nous, que les humains regardent de haut, mais bon, on a la parole, on peut se défendre, un peu. "

"En dessous encore, les animaux de compagnie, qui n'ont pas la parole mais que les humains ont choisis, à qui ils donnent des noms et qu'ils protègent. Et en dessous, tout en bas, il y a la sous-catégorie des animaux d'élevage, des animaux de boucherie, quoi… Et alors là, mon ami, ça craint !"

"ils peuvent manger tout ce qu'ils veulent : des spaghettis au basilic, du gratin dauphinois, des pizzas quatre saisons.. et ça leur suffit pas ! Ils trouvent que c'est pas assez, alors ils tuent les animaux pour les bouffer ! Je comprends pas..."

"Et on continuerait à faire croire aux gens que les animaux étaient fous de joie à l'idée de se sacrifier pour eux, il n'y avait qu'à voir les bouilles réjouies des cochons dessinées sur les vitrines des boucheries. Ce serait un très long combat et il faudrait sans doute encore quelques décennies, un siècle peut-être, avant qu'on se demande comment on osait faire ça avant."
Gilbert le cochon était choqué...
Une fable féroce avec des sujets d'actualité, comme la maltraitance animale.
Commenter  J’apprécie          10316
Je l'ai déjà dit ici. Jean-Claude Mourlevat est mon auteur jeunesse préféré. Je me devais donc de lire ce dernier roman, mi-polar, mi-fable , qui connait actuellement un grand succès auprès des jeunes. En effet, on ne compte plus les prix jeunesse que ce roman a reçu en l'espace d'une année !
Et c'est amplement mérité !
Voilà un roman policier trépidant et tendre à la fois. Une fable féroce et pleine de bons sentiments. Un roman qui aborde des sujets d'actualité qui ne manqueront pas d'émouvoir nos jeunes ados.

Il s'agit ici de rendre compte de notre rapport aux animaux, de notre façon de les traiter.
Le héros de ce roman est un hérisson nommé Jefferson très sympathique qui vit tranquillement au pays des animaux. Un jour, alors qu'il se rend chez son coiffeur pour se faire rafraichir la houppette, il trouve celui-ci étendu raide mort au sol une paire ciseaux fichée dans le torse. Pauvre Jefferson ! le voilà accusé à tord et obligé de fuir...
Seule échappatoire et promesse de rémission : le pays des êtres humains.

On suit les aventures de Jefferson et de son copain Gilbert le cochon avec plaisir. Et même si les polars ne sont pas ma tasse de thé, j'avoue que ce moment de lecture fut agréable.
Lorsque les humains agissent de façon bestiale et qu'on prête des sentiments humains aux personnages animaux, il y a sans nul doute matière à réfléchir...
Je le recommande fortement aux jeunes ados ( CM2-6ème)
Commenter  J’apprécie          7010
Reçu en spécimen, j'ai eu envie de lire tout de suite ce roman jeunesse niveau 6ème, car j'aime beaucoup l'auteur, y compris ses livres pour adultes. Les élèves apprécient de lui " La rivière à l'envers"( tome1). Je constate que " Jefferson" a obtenu aussi de nombreux prix. Ce qui ne m'étonne pas!

Parti gaiement pour se faire rafraîchir la houppette ( je pensais plutôt à une coupe en brosse😉) Jefferson le hérisson découvre avec horreur que son coiffeur a été assassiné d'un coup de ciseaux. Un malentendu va le désigner coupable, et il est obligé de fuir et de mener sa propre enquête avec Gilbert, son copain le cochon, afin de prouver son innocence. Pour cela , il faut franchir la frontière et se rendre chez les humains...

L'histoire pourrait paraître bien gentillette, mais il n'en est rien. Des problèmes sociétaux très actuels sont abordés, et bien sûr en premier lieu la souffrance animale, le mépris et la cruauté de certains humains envers les bêtes, ainsi que les belles notions de solidarité et de tolérance.

Les touches d'humour, la fantaisie apportent de la légèreté au propos, sans rien enlever à la gravité des thèmes mis en jeu. C'est vraiment fort réussi!

J'ai adoré suivre les péripéties de Jefferson, Gilbert et de leurs nouveaux amis, et j'espère que ce livre divertira les élèves et les fera aussi réfléchir...
Commenter  J’apprécie          616
Dans ce livre, les protagonistes sont des animaux. Ils parlent, conduisent, se cuisinent des petits plats, vont boire des verres, partent en voyage organisé ou...se font assassiner. C'est ce qui arrive à Edgar, le blaireau-coiffeur, retrouvé mort avec ses ciseaux plantés dans le coeur.
Et malheureusement, c'est Jefferson, le sympathique petit hérisson, qui va être accusé, car tout l'accuse.
Commence alors une intrigue policière dans ce monde des animaux. Jefferson et son ami Gilbert, le cochon, vont tenter de trouver les vrais coupables, et vont ainsi passer la frontière pour aller chez leurs voisins, les humains. Pour le meilleur mais aussi pour le pire!

Ce livre est un petit bijou. J'aime beaucoup les livres de J.C. Mourlevat et c'est sans crainte que je me suis lancée dans les aventures de Jefferson. Toutefois, j'avais compris grâce à la 4ème de couverture qu'il s'agissait d'une intrigue policière, mais j'ai été heureuse de découvrir que derrière celle-ci il y a un message émouvant et d'actualité sur le massacre des animaux dans les abattoirs.
Ce dernier opus de Mourlevat évoque un sujet sensible pour beaucoup mais reste empreint de douceur et de tendresse. L'amitié est une valeur qui domine et les personnages sont tout simplement adorables!
Bravo et merci Monsieur Mourlevat pour ce livre qui, en plus de peut-être faire devenir certains lecteurs végétariens, fait passer un excellent moment de lecture!
Commenter  J’apprécie          590
Jefferson le hérisson est soupçonné du meurtre de son coiffeur, monsieur Edgar, blaireau de son état. Mais c'est une terrible erreur judiciaire. Et pour prouver son innocence, il va devoir mener l'enquête lui-même, aidé pour cela de son ami de toujours, Gilbert le cochon. Mais le plus difficile à faire comprendre à sa communauté, c'est que le meurtre a été commis par des humains. Pourquoi ?

Dans le monde de Jefferson, les animaux côtoient les humains. Ils se fréquentent à l'occasion mais leurs relations ne sont pas franchement amicales. Ils vivent donc côte à côte, mais dans deux mondes séparés par une frontière. Déjà toute une symbolique mise en place par l'auteur.
De plus, ce texte est une vraie dithyrambe contre l'élevage industriel des animaux de boucherie et les abattoirs.
Le message est donc donné aux jeunes lecteurs pour les faire réfléchir sur la cause animale, les conditions d'exploitation des animaux de boucherie et notre alimentation.

Alors si l'histoire prend le tournant du roman policier, elle est loin d'en maîtriser les atouts. C'est long, poussif, verbeux. Et j'ai eu bien du mal à accompagner mon petit Théo dans cette lecture. Pourtant, je garde en mémoire des romans éblouissants de cet auteur de littérature jeunesse, plusieurs fois primé, comme « L'enfant océan » ou « La rivière à l'envers ». Mais il faut croire ici, qu'emporté par son fougue pour la défense animale, Jean-Claude Mourlevat ait oublié son lectorat et se soit tourné vers une harangue qui manque foncièrement de subtilité.
D'aucuns diront qu'il a fait le job, il a enfoncé le clou ! Soit ! Mais le prosélytisme n'est pas une méthode de vente que j'affectionne, même si ici il peut trouver sa place.

Cependant, je vous dois un aveu :
Si cette lecture ne m'a pas enchantée, il n'en a pas été de même pour Théo (onze ans). Il a beaucoup aimé cette histoire pour son suspens et surtout pour la solidarité qui a émané du groupe pour sauver le présumé-coupable.
C'est difficile de ne plus avoir onze ans !
Commenter  J’apprécie          494


critiques presse (2)
Ricochet
30 septembre 2018
Jean-Claude Mourlevat signe une fiction aux accents documentaires très actuels, prétexte à réflexion pour tous les juniors dès 11 ans
Lire la critique sur le site : Ricochet
Actualitte
02 mai 2018
Roman jeunesse ou fable sur le vivre-ensemble, Jefferson fait rêver et penser. L'on voyage avec ces animaux rigolos, à plumes, à poils, à cornes, dans l'inhospitalière contrée humaine. Mais attention au miroir. C'est celui qui le dit qui y est ! Et le voyage se poursuit en soi-même.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (67) Voir plus Ajouter une citation
(parlant des abattoirs)
- Je ne peux pas tout te raconter, gargouilla t-il, c'est pas racontable : des décharges électriques pour les faire avancer, des coups de bâton sur les reins, derrière la tête, sur le groin, les cochons qui titubent, qui hurlent de douleur, et qui encaissent, qui encaissent sans pouvoir se défendre.
C'est injuste, c'est .... dégueulasse.
Et puis, ils les font passer entre deux barrières, comme dans un couloir, toujours en les frappant, et tu les vois plus.
Mais tu t'en doutes, d'où ils vont hein ? On va les égorger vivants, plus ou moins étourdis, les uns après les autres, avec méthode.
Le seul souci des humains, c'est comment tuer le plus de bêtes possible dans le moins de temps possible.
.... Y en avait plein de bêtes parquées en attente.
.... ça puait l'angoisse...
Commenter  J’apprécie          173
Le jeune hérisson Jefferson Bouchard de La Poterie acheva de ranger son logis en chantonnant des petits pom… pompom… pompom… à la façon des gens qui sont de très bonne humeur. Quand tout fut parfaitement en ordre, la balayette époussetée à la fenêtre et la pelle à ordures raccrochée à son clou, il programma son four pour que ses pommes de terre à la crème soient cuites à point pour son retour. Puis il enfila son veston, le boutonna au milieu, notant par la même occasion que cela faisait des plis dans le tissu à cause de son petit bedon qui poussait vers l’avant. Il faudrait qu’il freine un peu sur les gâteaux secs.
Il se vaporisa de parfum Sous-bois, laça dans l’entrée ses chaussures parfaitement cirées en posant tour à tour son pied droit puis son pied gauche sur le tabouret prévu pour cela, attacha son sac-à-dos sur ses épaules et sortit. Ce qui le mettait en joie ce matin-là était peu de chose : il avait décidé de se rendre chez son coiffeur. Ça lui avait sauté aux yeux alors qu’il faisait sa toilette : sa gracieuse houppette était en bataille. Or, il détestait avoir l’air négligé. Voilà : il irait en ville se faire rafraîchir la houppette !
Commenter  J’apprécie          100
Je peux pas tout te raconter, gargouilla-t-il, c’est pas racontable : des décharges électriques pour les faire avancer, des coups de bâton sur les reins, derrière la tête, sur le groin, les cochons qui titubent, qui hurlent de douleur, et qui encaissent, qui encaissent sans pouvoir se défendre. C’est injuste. C’est... dégueulasse. Et puis, ils les font passer entre deux barrières, comme dans un couloir, toujours en les frappant, et tu les vois plus. Mais tu t’en doutes, d’où ils vont, hein ? On va les égorger vivants, plus ou moins étourdis, les uns après les autres, avec méthode. Le seul douci des humains, c’est comment tuer le plus de bêtes possible dans le moins de temps possible.
Commenter  J’apprécie          174
"Edgar, le patron, était un blaireau placide et débonnaire qui possédait aux yeux de Jefferson, ou plutôt à ses oreilles, une qualité rare et inestimable chez un coiffeur : il était capable de vous couper les cheveux en silence." (p.17)
"C'était digne d'une tragédie classique: le héros (Jefferson) est accusé à tort d'avoir tué l'oncle (Edgar) de celle qu'il aime (Carole), mais il apprend le lendemain, déguisé en fille, qu'elle n'est pas insensible à ses charmes." (p.62)
"M.Edgar militait depuis plusieurs années contre l'élevage, le transport et l'abattage industriel des animaux de boucherie. Comme moi. Nous sommes qqs centaines de personnes actives dans le pays. Nous filmons en cachette dans les abattoirs pour que les gens sachent comment ça se passe vraiment derrière les murs." (p.141)
"Il avait éprouvé un brin de culpabilité. Après tout, c'est eux qui auraient dû être en première ligne, en tant qu'animaux, or ils laissaient à des humains toute la responsabilité du combat." (p.148)
"Je peux pas tout te raconter, gargouilla-t-il, c'est pas racontable : des décharges électriques pour les faire avancer, des coups de bâton sur les reins, derrière la tête, sur le groin, les cochons qui titubent, qui hurlent de douleur, et qui encaissent, qui encaissent sans pouvoir se défendre. C'est injuste. C'est ...dégueulasse." (p. 167)
Commenter  J’apprécie          60
c’est comme s’il y avait plusieurs catégories d’êtres vivants, tu vois, avec une hiérarchie bien claire. Tout en haut, les humains, pas peu fiers de leur supériorité. En dessous, il y a nous, que les humains regardent de haut, mais bon, on a la parole, on peut se défendre, un peu. En dessous encore, les animaux de compagnie, qui n’ont pas la parole mais que les humains ont choisis, à qui ils donnent des noms et qu’ils protègent. Et en dessous, tout en bas, il y a la sous-catégorie des animaux d’élevage, des animaux de boucherie, quoi… Et alors là, mon ami, ça craint !
(p. 148-149, Chapitre 10).
Commenter  J’apprécie          100

Videos de Jean-Claude Mourlevat (40) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Claude Mourlevat
Chaque mois, un grand nom de la littérature française contemporaine est invité par la BnF, le Centre national du livre et France Culture à parler de sa pratique de l'écriture. L'auteur Jean-Claude Mourlevat est à l'honneur de cette nouvelle séance.
Cette vidéo ne sera accessible que durant la durée de la conférence.
Né en 1964, Emmanuel Guibert fréquente les Arts Déco de Paris. En 1994, il fait deux rencontres importantes ; celle d'Alan Ingram Cope, un ancien soldat de la Seconde Guerre mondiale, retraité sur l'île de Ré, et celle de David B, qui l'introduit dans un cercle de jeunes auteurs cherchant à renouveler les pratiques de la bande dessinée. Il rejoint un atelier collectif que fréquentent Joann Sfar, Christophe Blain, Emile Bravo, Marjane Satrapi et bien d'autres, où il travaille pendant cinq ans. Sa collaboration avec la maison d'édition l'Association marque une évolution vers un style épuré au service des récits vécus de son ami Alan Cope. Dans cette série biographique, toujours en cours, on trouve La guerre d'Alan (3 volumes), L'enfance d'Alan et Martha & Alan. Il poursuit dans cette veine avec le Photographe (chez Dupuis), d'après des entretiens avec Didier Lefèvre, reporter-photographe en Afghanistan dans les années 1980. Cette trilogie, traduite en 20 langues, vaut à ses auteurs (Guibert-Lefèvre-Lemercier) des récompenses dans le monde entier. Puis il crée plusieurs séries ou albums uniques, notamment Sardine de l'espace (14 volumes) et Les Olives noires (3 volumes). Avec Marc Boutavant, autre camarade rencontré à l'atelier, il lance la série Ariol, chez Bayard, qui totalise à ce jour 20 volumes traduits en de nombreuses langues. Il crée également des chansons en partenariat avec le guitariste Dominique Cravic. Son intérêt pour la musique de jazz lui fait élaborer, avec le graphiste et producteur Philippe Ghielmetti, toutes les pochettes du label Vision Fugitive. En 2007, il est lauréat de la Villa Kujoyama. de cette récompense naîtra l'album Japonais en 2008, recueils de peintures, dessins et nouvelles. Avec un collectif d'amis auteurs, il visite des grottes préhistoriques ornées en France. de cette expérience naissent le volume collectif Rupestres chez Futuropolis et la réalisation de fresques pariétales dans une grotte du Parc Régional des Causses du Quercy. En 2017, il est lauréat du prix René Goscinny pour l'ensemble de son oeuvre de scénariste au festival d'Angoulême. Il mène depuis quinze ans une activité discontinue mais fidèle de visiteur hospitalier et a rejoint Christine Géricot à l'association Sur un lit de couleurs, qu'il vice-préside. Cette association installe et supervise des ateliers d'arts plastiques animés par des enseignants dans les hôpitaux en France. Emmanuel Guibert a reçu le Grand Prix de la ville d'Angoulême lors du Festival international de la bande dessinée en 2020.
Animés par des producteurs et productrices de France Culture, les entretiens du cycle « En lisant, en écrivant » sont réalisés en public à la BnF, puis diffusés dans la grille d'été de France Culture et disponibles en podcast. Genèse des oeuvres, sources d'inspiration, aléas de la vie quotidienne d'un auteur ou d'une autrice, édition et réception des textes – autant de sujets que ces rencontres permettent d'aborder, au plus près de la création littéraire.
Rencontre animée par Arnaud Laporte, producteur chez France Culture
En savoir plus sur les Master classes : https://www.bnf.fr/fr/agenda/masterclasses-en-lisant-en-ecrivant
+ Lire la suite
autres livres classés : abattoirsVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus


Lecteurs (1527) Voir plus



Quiz Voir plus

Défi Babelio : Jefferson

Qui est Jefferson ?

un cochon
un humain
un hérisson

8 questions
80 lecteurs ont répondu
Thème : Jefferson de Jean-Claude MourlevatCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..