On appelle cela un « page-turner », je déteste ce nom mais je dois avouer que
Silver Water est tellement haletant qu'il convient de le qualifier ainsi.
Une belle découverte pour moi qui ne connaissais pas du tout
Haylen Beck. J'ai cherché un peu qui « il » était : je croyais qu'il s'agissait d'une dame (Haylen pour moi étant l'équivalent d'Hélène) !
Eh bien non ! D'ailleurs il s'agit d'un pseudo, son véritable nom étant Stuart Nevile.
En quelques heures j'avais terminé le roman, et quelle émotion ! Certains diront que le scénario était convenu, peut-être, n'empêche, le déroulé de l'histoire est plus que réussi. Frissons, peur, dégoût, soulagement, retournement de situation, colère, on trouve de tout dans ce roman. Une histoire de fous ou qui rend fou, torture psychologique…
Il faut avoir les nerfs solides pour vivre ce que cette maman subit : on vous vole vos enfants et personne ne vous croit, pire, on vous accuse !
Je ne raconterai pas une fois de plus l'histoire, certains le faisant systématiquement dans leur critique. Perso j'ai trouvé ce livre excellent, le note 4,5 et je sens que je vais alourdir encore un peu plus ma PAL en me procurant d'autres romans d'Hayden Beck ! :o)