Je suis fils d'un homme de condition dont le père avait été contraint de s'anoblir parce que le roi avait besoin d'argent pour ses guerres et ses amours.
Mon aïeul, qui ne prisait rien tant que la qualité de bourgeois et d'être appelé « honorable homme », ne fut pas trop satisfait de devenir, de très bon roturier, assez médiocre gentilhomme.
Mais sitôt qu'il fut décrassé de sa roture et
noble sans en avoir d'obligation à ses parents, il com...
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