Je ne sais pas quoi penser...
C'est mon troisième Nishimura et encore une fois j'en sors perplexe.
Il y a de la poésie, un discours sur la masculinité ambiante qui va à brider les émotions d'une jeune fille. Mais il y a une forme d'absurde dont j'ai du mal à comprendre la présence.
J'ai le sentiment d'avoir lu un titre avec beaucoup de profondeur mais malheureusement je n'arrive qu'à y rester en surface
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Les rencontres insolites d'une jeune femme oppressée par ses routines. Du style et de la sensibilité pour un ensemble de scènes urbaines aux espaces menaçants.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Traduit une première fois en 2019 avec Eisbahn, Tsuchika Nishimura, 36 ans, revient avec Au revoir Mina, rêverie pop urbaine sur la folie du monde et la domination masculine.
Lire la critique sur le site : FocusLeVif
Un regard espiègle sur l’adolescence, comme scrutée à travers un miroir déformant. Un voyage fantasmagorique, grisant et déroutant...
Lire la critique sur le site : MangaNews
Le Grand magasin (2023) - Bande annonce HD VOST