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3,84

sur 3324 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Très grosse déception pour moi que ce roman qui ne m'aura pas séduit, loin de là . Norek , c'est un écrivain qui est " dans mon fichier " comme on dit , et pour qui j'ai une grande admiration tant ses précédents ouvrages m'ont séduit. Sa connaissance du " métier " , son expérience, son vécu, donnent à ses romans une extraordinaire authenticité. Ajoutons - y une écriture maîtrisée et fluide et on a la promesse de se voir transporté au milieu d'enquêtes passionnantes .
Là, je ne sais pas , mais je crois qu'il a voulu écrire un livre " politique " pour lancer un cri d'alarme sur la situation désastreuse de la planète, sur l'indécence et le mépris des puissants de ce monde protégés par des élus soucieux de conserver leurs postes et donc " prisonniers " d'un système qui les " enferme " dans un atroce carcan . Et comme il n'est pas un essayiste , il relie les éléments épars de ce cri du coeur par une enquête policière qui se noie dans une marée ( noire ) de condensés d'articles de presse assez rébarbatifs et plutôt indigestes .
Alors , soyons clairs : Olivier Norek utilisé ses grandes compétences pour dénoncer un sujet lourd et inquiétant. Sujet qui inquiète nombre de gens dont je fais , du reste partie , comme la plupart d'entre vous . Oui , la planète est en grand danger . Non , on ne peut accepter " après moi le Déluge ". Oui , chacun de nous est responsable . Oui ,chacun de nous doit apporter sa pierre , aussi minime soit - elle , à l'édifice. Aucun doute là - dessus . Hélas, comme il est dit du reste , nos petites actions personnelles ne sont que des coups d'épée dans l'eau , les amendes " punitives " ne servent à rien . Tant que certains n'auront pas ...
Est- ce alors la solution que de proposer la violence comme seul moyen ? Je crois avoir lu que non dans ces pages .
Bien entendu , Norek est flic mais dans ce " plaidoyer " est - ce le flic ou l'homme qui parle ? le choix de mélanger les genres n'a pas eu pour moi , l'IMPACT auquel je m'attendais .
J'ai lu une enquête policière assez terne concernant un sujet incroyablement inquiétant, stressant , anxiogène qui ne peut se régler par la violence physique . Certes ,vous me direz que le rôle du flic est de " neutraliser " un individu , pas de sauver la planète . Nous sommes bien d'accord .
Oui , c'est un" livre - déception", comme quand il m'arrivait de corriger le devoir décevant d'un brillant élève. Sachant que l'intelligence du jeune concerné lui permettrait de réfléchir et de rapidement " remettre l'eglise au milieu du village " , je ne m'inquiétais pas le moins du monde . TOUS les grands auteurs , cinéastes , compositeurs n'ont pas réalisé QUE des chefs d'oeuvre . ....mais ....donc...
Et puis , sans doute certains et certaines d'entre vous ont ils aimé ce roman et tant mieux .
Pour ma part , je ne suis qu'un modeste lecteur qui donne son sentiment mais qui est loin d'avoir RAISON et qui attend , avec impatience le prochain Norek , vous savez , ce flic qui " est dans mon fichier perso " .A bientôt.
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2020 : Virgil Solal dirige une opération d'évacuation d'un village nigérian victime de la pollution pétrolière. Il rentre à Paris pour assister à l'accouchement de sa femme ; une fille mort-née.
2022 : le PDG de Total est enlevé. Nathan, capitaine de police, et Diane, psychologue, sont chargés de négocier sa libération. En vain. L'otage est tué.

Il y a 4 ans et quelques mois, j'avais eu le plaisir de rencontrer Olivier Norek à propos de son dernier ouvrage, Entre deux mondes. J'en avais tiré une chronique (qu'on peut lire ici) dont je retiendrai trois mots, « idéaliste (un peu), engagé (beaucoup), désabusé (un peu) », et une citation « il y a deux choses auxquelles je ne crois pas : la transition écologique et l'arrêt des migrations. Nous sommes condamnés à finir dans des bulles pour riches, entourées de murs et protégées par des milices… »
Entre deux mondes traitait des migrants ; Impact nous parle de transition écologique.

Pour dire la vérité, j'ai connu l'auteur plus inspiré, plus crédible. Qu'on relise l'ouvrage déjà cité, ou Territoires et Surtensions dans la trilogie Coste (qui s'est enrichie depuis)...
L'écriture n'est pas en cause : elle est toujours vive, riche, précise, rythmée. La lecture est un vrai plaisir.
Si l'on excepte Virgil Solal, quand même un peu caricatural, et le jeune avocat Attal, les personnages manquent de caractères. Ils subissent les événements, et quand ils décident de les affronter on ne comprend pas trop pourquoi. Leur évolution est assez prévisible...
Mais le plus décevant est bien l'intrigue. Qu'un homme blessé se rebelle, on veut bien le croire. Qu'il constitue en deux ans l'organisation qui est la sienne dans le roman et suscite aussi rapidement l'intérêt médiatique qui nous est présentée, on en doute. Mais qu'il réussisse à mystifier à ce point la police, puis la justice, on n'y croit plus...
Qu'importe, on retrouvera un intérêt dans le plaidoyer de Maître Attal ; plaidoyer à travers lequel Olivier Norek exprime sans doute ses opinions intimes.
Un sujet intéressant, traité sans doute de façon un peu trop caricaturale...


Lien : http://michelgiraud.fr/2022/..
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Le dernier roman d'Olivier Norek, Impact, est un texte engagé, angoissant, questionnant. Par le biais de Virgil Solal, son héros, L'auteur ne s'embarrasse pas de circonvolutions, il dévoile, explique, accuse. Il nous met face à nos responsabilités d'habitant d'une terre que nous maltraitons, dépouillons pour toujours plus de profit. L'enquête policière, même si elle est présente, n'est pas vraiment le coeur de l'histoire. Elle est surtout le prétexte pour dénoncer. C'est moins subtil que d'habitude, plus manichéen et attendu, mais c'est un texte efficace, étayé, qui a le mérite de poser les bonnes questions. Qu'attendons-nous pour faire bouger les choses ? Et quelle terre allons nous laisser à nos enfants ? D'un polar mené tambour battant, Olivier Norek fait un plaidoyer pour l'écologie ! A lire, assurément (ainsi que les références de fin d'ouvrage, particulièrement intéressantes).
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Je n'aime pas être pris en otage !
Et c'est malheureusement mon ressenti à la lecture de ce roman.
Quand j'ouvre un Norek c'est en pleine confiance et je m'attends à trembler.
Et là j'ai tremblé de colère car ce roman est un plaidoyer pour l'écologie.
Alors oui, c'est un vrai sujet, oui le monde est confronté à une réalité climatique complètement déréglée qui perturbe tous les équilibres.
Oui, le capitalisme à outrance se fiche de l'intérêt de la planète pour préserver ses actionnaires en leur versant toujours plus de dividendes et aux dépends de millions de gens qui meurent chaque jour.
OK OK.
J'en suis conscient, je suis au courant, je m'y intéresse et je fais ce que je peux à mon humble niveau pour ne pas en rajouter.
MAIS..
Quand j'ouvre un bouquin c'est pour prendre du plaisir et pas pour recevoir une leçon.
Alors Olivier Norek en mode militant, c'est non pour moi !
D'accord, on retrouve sa plume et son modèle de construction littéraire qui a fait tant d'émules.
Mais ici le semblant de thriller qu'il nous propose n'est que prétexte pour passer son message.
Alors si vous n'êtes pas au courant du réchauffement climatique en cours et de toutes les conséquences inhérentes, lisez ce livre vous prendrez peut-être conscience du problème.
J'ai quand même mis la moyenne par respect pour l'auteur et ses précédents bouquins qui m'ont ravi.
Pour l'heure c'est carton jaune !
Et j'espère être en mesure d'oublier cet épisode malheureux pour retrouver rapidement le capitaine Coste.

Bien à vous tous amis babéliens !
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Je ne parviens pas à avoir un avis tranché après lecture de ce roman d'anticipation. La lecture a été attrayante, intéressante et riche de citations et de messages importants. Mais en fermant le livre beaucoup de points négatifs me restent.

D'abord trop proche de la réalité, on perd du romanesque lors du procès, on a davantage une diatribe sur le sujet brûlant de la société d'aujourd'hui face à l'avenir de l'humanité et de la planète.

Puis, je regrette les personnages forts que l'auteur développe habituellement même si ici l'accent est mis sur la cause à défendre, l'incarnation des personnages reste secondaire comme si tout un chacun pouvait être la figure du combat (Virgil) celle de l'engagement (Diane)...

Et pour finir, la violence des faits. Les actions de Virgil ne me paraissent pas appropriées. Quel est le messeage: doit-on en arriver à menacer et tuer des individus pour que les politiques environnementales changent ?

Donc beaucoup de ressentis contraires, de la confusion pour moi entre forme, fond. Peut-être que pour porter de tels messages Oliver Norek devrait abandonner le roman ou revenir au roman comme dans ces précédents écrits.
Pour finir sur une idée, un voeu: mais que devient Victor Coste ? Il est reposé maintenant...
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A la page 34 du roman, le lecteur médusé apprend que "Une dizaine de bouteilles d'eau en plastique, une machine à café à capsules et des sandwichs triangles sous blister avaient été disposés en ordre sur une longue table collé contre un mur."
La machine était-elle une Nespresso (What else) et les sandwich triangles des Daunat poulet crudités, tomates séchées mozarella ou des Suédois Saumon sauvage ? Ces informations ne sont pas communiquées.
J'aime bien Olivier Norek, mais qu'allait-il faire dans cette galère ?
Impact hésite sans arrêt entre l'essai philosophique sur le réchauffement climatique et ses conséquences prévisibles et une enquête policière pour débusquer un terrorriste dont l'objectif est de faire comprendre (par la violence) à des chefs d'entreprise influents, qu'ils contribuent au développement mortifère des énergies fossiles en donnant seulement le change sur leurs supposés engagements écolos...qui répondent aux mieux à du Green Washing à visée marketing...
Le thème est d'actualité !
Nathan Modis un capitaine de police et Diane Meyer une profileuse reconnue sont chargés des négociations avec le kidnappeur.
Ce dernier est vite identifé "Je crois que notre désobéissant a d'abord été un obéissant. Un militaire très certainement."
Bingo se dit le lecteur, il s'agit certainement de Virgin Solal ce commandant qui est passé dans le Delta du Niger quelques pages auparavant pour une mission de sauvetage d'une jeune humanitaire française.
Le roman s'appuie sur plusieurs faits réels et documents officiels démontrant la duplicité des grands de ce monde sur la question du réchauffement.
De la page 281 à 298, Norek produit toutes les références des documents qu'il a utilisés pour bâtir son récit. Articles de presse, émissions de TV, Rapports officiels des agences d'état et d'ONG, débats de l'Assemblée Nationale,
On lui doit d'avoir su mettre dans la bouche de ses personnages des arguments fondés et sûrs et d'avoir mis en scène de façon crédible plusieurs événements avérés.
De ce point de vue le roman est réussi.
La découverte de la mer de plastique par un équipage de l'US navy est un épisode particulièrement réussi.
Ce qui l'est moins est la façon dont l'enquête se conclue et la chute qui sombre dans une parabole libertarienne dont la survenance semble très improbable, mais vous me retorquerez qu'il s'agit d'une fiction. Soit !
Avec ce roman Norek a voulu apporter sa contribution au débat sur le désastre écologique dont nous sommes à l'origine et que nous ignorons.
« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs » avait dit Jacques Chirac, en ouverture de son discours devant l'assemblée plénière du IVe Sommet de la Terre le 2 septembre 2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Et depuis quoi ?
Sans dire que le roman est à jeter, je reste sur un sentiment mitigé à la fin de la lecture.
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J'ai découvert cet auteur à l'occasion d'un challenge, ma lecture de la semaine portait sur un auteur dont le prénom commence par la lettre O. J'aime beaucoup ce jeu qui permet de sortir des livres de nos pals ou de découvrir de nouveaux auteurs. J'avoue avoir un avis mitigé sur ce roman, qui commence comme un polar et finit en dystopie.

Virgil Solal est mercenaire ou soldat, on ne sait pas très bien, en Afrique où il doit protéger les exploitations pétrolières, il rentre en France pour la naissance de sa petite fille, mais celle-ci ne vit que quelques secondes, ses poumons sont collés. le pédiatre annonce aux parents effondrés que c'est la pollution qui l'a tuée, comme de nombreux autres bébés. Virgil crée Greenwar et prend en otage le patron de Total. Il annonce qu'il le tuera si l'entreprise ne verse pas une caution de vingt milliards, récupérable si Total soutient enfin la transition écologique. Diane, une psychocriminaliste, autrement dit une profileuse, et Nathan, capitaine au 36 sont chargés de négocier avec Virgil pour obtenir la libération de l'otage.

Cette partie polar commence vraiment bien et m'a beaucoup plu, mais j'ai moins aimé la suite, notamment le procès de Virgil, avec une très longue plaidoirie de son avocat qui ne tient pas vraiment la route, même si l'intention est louable. D'ailleurs le verdict confirme cet échec. Et le dernier chapitre forme une utopie naïve et peu convaincante. L'auteur aurait dû s'en tenir à la partie polar et la développer tout au long du roman à mon humble avis. Les policiers sont bien campés et réussis, tout comme Virgil.

Le thème de l'écoterrorisme est au centre du roman, entrecoupé de passages décrivant des conséquences catastrophiques du réchauffement climatique comme des orages avec de très gros grêlons, des incendies terribles dans le bush australien, la montée des eaux etc. Tous les faits cités se sont vraiment passés, les références sont données en fin de livre et l'auteur a fait un très grand travail de documentation. Il s'y trouve des références à des articles de presse ou des rapports scientifiques, je fais confiance à l'auteur, je n'ai pas étudié de près ces citations. Il se demande si une grande cause peut justifier des actes extrêmes. On voit que quatre vingt pour cent des Français, et même au-delà soutiennent Virgil et essaient de le protéger, notamment lors de son arrestation. Mais si tout le monde sait que la pollution menace la survie de l'humanité, et pas de la planète, qui continuera de tourner une fois que notre espèce se sera éteinte, la majorité n'est pas prête à faire des sacrifices concrets. Il y a deux ou trois ans, nous avons eu une votation en Suisse sur une initiative qui proposait d'augmenter l'essence de cinq centimes le litre et de verser cette nouvelle taxe pour des projets d'énergie renouvelable, et sans surprise, les deux tiers des électeurs l'ont rejetée, durant la campagne, on parlait d'une initiative extrémiste qui allait ruiner le pays. Tout le monde connaît le danger, mais il est évidemment plus urgent de s'occuper des centrales à charbon en Chine que de notre propre pollution. On annonce des problèmes d'approvisionnement énergétique pour cet hiver et le même débat est reparti.

Les faits cités sont vrais et inquiétants, semble-t'il mais je n'ai pas du tout aimé le côté manichéen et sans nuance du roman. On a les gentils, tout blancs, même s'ils commettent des meurtres et les méchants, tout noirs et coupables de tout les maux de notre société à qui on ne permet même pas de s'expliquer. sans compter que l'écoterrorisme, même s'il défend une cause juste, comme c'est souvent le cas des terroristes d'ailleurs en dehors des crimes de haine purs et durs, reste un comportement inadmissible dans une société civilisée, de même que tuer le patron d'une entreprise polluante ne sert à rien pour empêcher la destruction de la nature. C'est cet aspect à l'emporte pièce que je n'ai pas aimé, tout comme le dernier chapitre qui se passe dans vingt-cinq ans et se révèle une utopie naïve à la quelle on a peine à croire.

Un autre aspect intéressant est la manipulation de la justice, qui fonctionne visiblement à deux vitesses, le pouvoir exécutif n'hésitant pas à s'en mêler quand ça l'arrange au mépris de la séparation des pouvoirs, mais ce n'est pas un scoop.

Donc un roman inégal très bien pour la partie polar jusqu'à l'arrestation de Virgil et beaucoup moins convaincant pour la suite, un avis mitigé comme je le disais au début. Il faudra que j'essaie la fameuse trilogie de Norek, pour voir si j'ai un avis plus favorable. Merci à Callie pour cette suggestion qui m'a permis de découvrir un nouvel auteur en validant ma case de la semaine.
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Je n'ai pas lu les autres critiques avant d'écrire mon commentaire.
Mais j'ai tout de même vu le nombre d'étoiles accordées.

Je ne pense pas avoir vu de "Moyen".
C'est excellent ou mauvais selon les perceptions et les attentes.

Je crois qu'on a ici une sortie de la zone de confort de Norek.

J'ai vu ce livre comme critique sociale et environnementale, bien plus qu'on polar.
Les faits et statistiques semblent être vérifiés, surtout que 10% du livre sert à énumérer les références.

Je vais donc y aller d'un Moyen 2.5 car je ne sais vraiment pas où le situer.
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Je reste mitigée en refermant "Impact".
Le style reste agréable et cela se lit facilement.
La première partie m'a plu, son rythme, la chasse pour trouver un ravisseur certes animé par un idéal mais ravisseur quand même, les phobies de la profileuse, etc.
Mais la seconde partie devient trop moralisatrice voire grotesque parfois. Un polar qui se transforme en essai sur l'écologie, cela ne match pas.
J'ai eu également la sensation que l'auteur s'était, à certains moments, inspiré de la Casa de papel ; cela m'a gênée.
Cela reste un roman qui se laisse lire mais qui est loin du plaisir que m'avaient procuré les précédents Norek.
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UNE DIALECTIQUE ÉCOLOGISTE.
Thèse : si ça continue, on va dans le mur. Antithèse : le libre échange sans régulation trouvera son juste équilibre avant la catastrophe. Synthèse : seul un écologisme radical pourrait créer un électrochoc pour réveiller les consciences et sauver la planète.
Ce roman nous confirme la catastrophe écologique vers laquelle on va, cri d'alarme bien documenté, qui présente la pollution comme un serial killer. En face de ces meurtres, un assassinat peut-il représenter une réponse appropriée ? le crime peut-il passer dans le camp du bien ? Plus qu'un thriller, il s'agit cette fois-ci d'un cri d'alarme lancé par Olivier Norek, ancien policier, qui nous avait déjà séduits par ses romans... policiers. Un homme blessé se sacrifie pour sauver le monde ; Don Quichotte ou messie ? L'assassinat du patron de Total fera-t-il changer la course à l'enrichissement des 7 milliards d'habitants de la planète terre, ou accentuera-y-il encore le transfert des richesses de l'Occident vers l'Orient en ne pénalisant que les sociétés « responsables » ? le lecteur est placé en position de juré dans le procès du radicalisme. Tout le monde est contre l'utilisation des énergies fossiles, mais quand on veut augmenter le prix de l'essence pour en limiter la consommation, les gilets virent au jaune ! Ce plaidoyer écolo arrive sans doute à point quelque temps avant les prochaines présidentielles.
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