Une rentrée littéraire sans
Amélie Nothomb n'est pas une rentrée ordinaire : la dame a fait d'une tradition sa présence sur les étals de librairie pour la rentrée et ce, depuis 1992 et la parution de son premier ouvrage,
Hygiène de l'assassin. C'est un peu comme voir une tante excentrique amatrice de chapeaux au réveillon de Noël. Car celle qui déclare écrire quatre romans par an pour n'en faire paraître qu'un seul cultive cette excentricité qui est devenue sa marque de fabrique, au milieu des controverses qui l'entourent, tout en restant à l'écart des médias. Loin de ces débats qui ne nous concernent pas,
Amélie Nothomb rempile cette année encore avec un nouveau roman, le crime du comte Neville, toujours fidèle aux éditions Albin Michel.
En s'inspirant ouvertement de la nouvelle d'
Oscar Wilde, le Crime de Lord Arthur Savile,
Amélie Nothomb donne le ton d'une histoire qu'elle veut absurde et dans la veine du dramaturge irlandais, une sorte d'hommage aussi.
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