Mercure

ce livre est une pure merveille le meilleur d'Amélie Nothomb

les deux fins sont toutes aussi extra ordinaire, je sais pas celle que je préfèrerais!
peut e^tre les dux?

Mon préféré de cette auteure, dont j'ai un peu de mal à lire ses romans

et si le fait d'être beau/belle ne faisait pas le bonheur?

J'ai acheté Mercure à la dernière Foire du livre de Bruxelles. J'adore la couverture de cette nouvelle édition. En plus, elle est tout à fait dans le ton. Je regrette un peu de l'avoir laisser trainer dans ma PAL car ce livre est un véritable coup de coeur.

Amélie Nothomb nous raconte ici l'histoire d'Hazel, une jeune fille qui ne peut pas voir son visage car tous les miroirs (vitres, objets brillants, etc.) sont interdits. Elle vit recluse sur l'île de Mortes-Frontières avec un vieux rabougri: Loncourt. La vie de ces deux personnages va basculer lorsque rentre Françoise, l'infirmière.

Mercure est un concentré de tout ce que je préfère de cette écrivaine : des dialogues intéressants, un sujet qui amène à réflexions et bien sûr des personnages haut en couleurs. J'ai adoré ce court roman du début à la fin. L'histoire est tout à fait singulière et je trouve qu'Amélie a très bien travaillé son intrigue (qui est un peu son grand handicap à mon coup). Ici, tout est parfaitement maitrisé, même la fin. Enfin, les fins, je devrais plutôt dire car l'auteure nous en propose deux. Je n'arrive d'ailleurs pas à choisir entre elles. Les deux sont tout à fait intéressantes !

J'ai également beaucoup apprécié cette ambiance glauche et le côté machiavélique de Loncourt. Je n'oublierai pas cette lecture de sitôt !

Je crois que c'est le meilleur Nothomb que j'ai lu jusqu'à présent. C'est celui que je vous conseillerai si vous souhaitez découvrir son oeuvre. Même si je l'ai terminé hier, ce roman me hante encore. C'est une véritable réflexion sur la beauté que nous propose Amélie Nothomb.

Bref, voici un roman court mais excellent, éblouissant même. Je vous le recommande vivement !
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ce livre se lit en quelques heures. La première partie étonne et hypnotise comme un conte. On reste suspendu aux mots, pressé de tourner les pages. Hélas, la fin se consumme autour d'un débat sur la beauté et le fait de vivre libre et mal aimé ou bien prisonnier et chéri. Ce roman a l'originalité d'avoir deux chutes, hélas, l'une comme l'autre n'ont pas su m'apporter de contentement.

Amélie Nothomb nous plonge dans l'univers d'un amour en cage, un roman enfermé dans une demeure spécialement construite pour y retenir la convoitise d'un homme, le Capitaine, loin de tout regard et du reste du monde.

Hazel, la convoitise, qui a vécu un demi-siècle de moins que son amant, ne peut plus jouir de son reflet, et reste seule jusqu'à la venue exceptionnelle, puis régulière de Françoise, une infirmière venue lui prodiguer des soins.

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La suite sur le blog!
http://blogoculture.com/2010/12/mercure/
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Premier pas dans le monde d'Amélie Nothomb, ma première année de Fac a au moins eu ça de bon! Action intrigue, psychologie, fluidité d'écriture... LA recette qui m'a rendu dépendante à cette auteure!

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L'histoire se déroule dans la Manche, dans les environs de Cherbourg, après la Première Guerre Mondiale. Françoise, infirmière, doit aller soigner une jeune fille de 23 ans, Hazel, qui vit sur une petite île avec comme seule compagnie un vieillard qui la considère comme sa fille. Celui ci interdit à Françoise toute questions déplacées à Hazel dans l'intimité de sa chambre. En effet, elle aurait été défigurée par un obus à la fin de la guerre, et supporterait très mal sa laideur… et c'est même pour cela que tout dans la maison est fait pour qu'elle évite de voir son visage qui la traumatise !
Va se nouer au fil des séances de soins une amitié entre Hazel et Françoise… qui au gré des confidences va en apprendre un peu plus sur les liens qui unissent le vieillard à la jeune fille…
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Lien : http://geekette.fr/2010/11/m..

Un livre très intéressant sur la perception de la beauté, sur l'amour, la confiance. Ce n'est sans doute pas un livre très gai, très palpitant ou très enrichissant, mais il n'en reste pas moins une parenthèse agréable à lire et à réfléchir.