Une forme de vie

Ce livre est un échange épistolaire entre Amélie Nothomb et Melvin, soldat américain originaire de Baltimore.

L'auteure traite d'un sujet brûlant aux États-Unis, l'obésité, avec ses mots, ses formules bien a elle. le regard de la société qui juge et condamne les personnes obèses.

Roman court à la fin surprenante.

J'ai eu ma période afficionada d'Amelie Nothomb, et quelques livres en dessous avaient fini par m'en éloigner. Je suis ravie d'être revenue à cet auteur par ce livre, qui se lit vite, mais se savoure aussi avec de belles pensées à réfléchir sur le sujet de l'epistolaire. Très moderne par ailleurs, avec cette question, les liens épistolaires valent ils moins que des liens en réel? Alors même que la personne se livre tout autant, si ce n'est plus, que les mots sont davantage choisis. Cela résonne forcément avec les amitiés en ligne.

Comme toujours une excellente lecture, le style la fluidité et l'étrangeté des sujets des livres d'Amelie Nothomb me fascinent!
Un regard différent sur l'obésité à travers un échange de lettres où on déroule une histoire qui pourrait sembler banale mais avec des mots qui la rende extraordinaire.

On assiste à la naissance d'une amitié originale entre l'auteur et un soldat américain en poste en Irak. A travers leurs échanges épistolaires, on découvre le rapport de l'auteur à ses lecteurs (j'ai aimé me dire qu'il y avait une part autobiographique là dedans) mais aussi et surtout le personnage très énigmatique du soldat, Melvin Mapple. Je n'en dirais pas plus pour laisser un peu de surprise à d'éventuels futurs lecteurs, mais c'est un roman qui m'a beaucoup plût et par sa forme et sur le fond.

Je ne connaissais pas les livres d'Amelie Nothomb, j'ai choisi celui-ci un peu au hasard et bonne découverte. le livre se lit très vite car beaucoup de passage sont sous forme de correspondance et que l'on a toujours envie de lire la suite.
Je lirais d'autres titres d'elle c'est sûr.

Toujours aussi curieux, son style , son écriture unique, je ne lirais pas la série complete les uns à la suite de l'autre mais une chose est sûre .... Je les lirais tous. Chapeau Amelie .

Cela faisait un bon bout de temps que je n'avais plus ouvert un roman d'Amélie Nothomb, ses derniers ouvrages m'avaient laissé complètement de glace ! Et bien je suis contente de m'être laissée tentée par ce bouqin-ci, il m'a réconcilié avec Amelie Nothomb et son style. Pour moi c'est du bon Amélie Nothomb, c'est à agréable à lire, surpenant avec en toile de fond, comme d'habitude, des sujets qui amène à la réflexion. Seul bémol : la chute de l'hsitoire qui, selon moi, est un peu baclée...

Il s'agit donc d'une relation epistolaire suivie de l'auteure avec un soldat américain posté en Irak. Ce dernier vivant mal l'horreur et l'ennui qui l'entoure se réfugie dans la nourriture et décide d'écrire à Amélie afin de donner un sens à son existence.



Le dernier Amélie Nothomb c'est le rituel de ma rentrée, un bonbon qui m'assure la plupart du temps deux heures (oui je prend le temps de déguster ;) ) de plaisir éphémère. Cette année n'a pas dérogé à cette règle car pour 2010 l'auteure nous a gaté.

Et pourtant rien n'était gagné d'emblée, j'ai été perplexe par la mise en route où j'ai trouvé que Nothomb se la raconter un peu. Tout le monde sait qu'elle a du succés pas la peine de nous l'étaler sur des pages et des pages.

Mais trés vite je me suis laissée aller à sa magie des mots, sa capacité à décrire les relations humaines, à évoquer des thèmes d'actualités (obésité, monde virtuel, les addictions...) mais toujours avec sa fantaisie.

Un livre entre roman et autobiographie plein de surprises et d'humour...moi je valide !!!

c'est ma 1ere rencontre avec A. Nothomb que je croyais inaccessible au lecteur lamda. Or j'ai dévoré ce bouquin épistolaire qui parle d'un sujet plutôt tabou "l'obésité". J'ai beaucoup apprécié l'esprit de synthèse et la clairvoyance de cette femme. J'aurais enfin l'audace d'aller lire "la métaphysique des tubes".

Amélie Nothomb soulève toujours en moi une quantité d'émotions contradictoires : un petit goût de déloyauté (désolée Seb), l'espoir de trouver quelques unes de ces petites phrases assassines qui me font tellement rire, la crainte de me perdre dans un texte trop littéraire pour les deux neurones qu'il me reste, la peur de la déception après avoir lu d'elle autant de romans qui m'ont plu que de romans qui m'ont déplu...

Du coup, je reste toujours dans l'expectative face à ses nouvelles sorties.

Acheter ? Ignorer superbement ? Non, ça je ne peux décidément pas. Voyons voir la quatrième de couv...
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