La République du bonheur

La lecture de ce livre est aussi douce que la vie à Kamakura.
Ogawa Ito est une formidable messagère du bonheur. Comme souvent dans les romans japonais, le livre est parsemé de recettes de cuisine alléchantes. Certaines pages sont imprimées en caractères hiragana ou en kanji pour souligner la merveille qu'est la calligraphie japonaise.
La légèreté avec laquelle sont racontées les histoires, même les tragiques, démontre un talent affirmé pour l'écriture d'un "feel-good book".
A lire pour remonter le moral d'automne.

Un moment de douceur japonaise, on prend le temps, on regarde les fleurs s'ouvrir puis les feuilles tomber, on se régale de mille plats inconnus aux noms évocateurs, on retrouve les personnages de la papeterie Tsubaki (tome 1) avec leurs joies, leurs soucis. Les choses se règlent en douceur, certaines grâce à une lettre soigneusement calygraphiée. Lecture apaisante !

Ce roman est la suite de la Papeterie Tsubaki de la même autrice. On retrouve Hatoko dans sa petite boutique où elle exerce comme écrivain public. A Kamakura, la vie est encore plus douce… Je ne vous en révèle pas trop pour ne pas vous spoiler 😉 Cette lecture est très agréable et réchauffe le coeur. QP est toujours aussi mignonne, les personnages sont si attachants. Je vous conseille La Papeterie Tsubaki et La République du bonheur si vous aimez la littérature japonaise, les romans contemplatifs (il n'y a pas d'intrigue particulière) et si vous adorez les ambiances très cocooning !
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Coup de coeur!

👨‍👩‍👧 Passionnée plus largement de littérature asiatique, je me suis lancée avec bonheur dans ce roman japonais. Sachez qu'il existe un avant à cette histoire. le roman s'intitule La papeterie Tsubaki. Mais pas de panique car on peut très bien lire ce roman comme un one shot sans problème 😉.

⛩ La république du bonheur c'est une intrigue empreinte d'émotions, de couleurs, de saveurs. C'est l'histoire d'une rencontre qui va tout changer. Les perspectives d'avenir de son héroïne, Hatoko, vont changer radicalement grâce à une petite fille mise sur son chemin. On s'attache très facilement à tous ces personnages qui tont une passé qui, bien souvent, aura un impact émotionnel sur Hatoko. J'ai aimé la sensibilité de cette femme et le courage ainsi que la résilience et la bienveillance dont elle fera preuve tout au long du roman. Elle ne cessera de tirer des leçons de son quotidien, de ses rencontres, des événements.

🇯🇵 J'ai particulièrement été touchée par cette histoire parce qu'elle traite de beaucoup de sujets susceptibles de tous nous parler au plus profond de nous-mêmes. Une véritable ode à la vie et ses petits plaisirs. Une intrigue qui prouve que l'essentiel est bien souvent autour de nous. Il nous suffit d'ouvrir les yeux ou tendre la main pour que le bonheur pointe le bout de son nez.
Des sujets plus délicats mais non moins essentiels y sont également abordés comme la maladie, le deuil ou encore l'abandon. Mais même dans ces pénibles moments Ogawa Ito nous montre à travers son histoire que rien n'est insurmontable. Même dans la douleur il est possible de trouver du beau, de la joie. J'ai été très sensible à cela car c'est une philosophie de la vie que je partage complètement. Il suffit de peu de choses pour que notre vie s'en voit positivement impactée.

Je suis sur le point d'abandonner ce livre ! attention pour ceux qui n'aurait pas lu la papeterie Tsubaki. En fait ça se suit trop, je n'avais pas vu que c'était une suite...ce n'est pas d'une évidence folle en même temps !
mais du coup quand on commence le livre c'est comme si on continuait l'autre ! il n'y a pas vraiment de début ! ça fait bizarre !!
j'aimais bien le titre et j'ai déjà lu deux trois de ses livres que j'aime bien en général. Dommage.

Pas super convaincue par les 50 premières pages, que j'ai trouvé un peu gnan-gnan, j'ai fini par me laisser portée par le rythme apaisant du récit.

Dommage que la traduction abuse de clichés français, cela dessert, à mon avis, le dépaysement apporté par l'auteure japonaise et sa culture.

On retrouve Poppo, et QP ainsi que son père Mitsuri.
Poppo se marie et continue son travail d'écrivain publique.
Elle découvre avec plaisir la vie de famille.
Il y a toujours Madame Barbara
Patty et le Baron qui vont avoir un enfant.
Et on fait connaissance de Lady Baba la mère de Poppo.
Mais aussi de la famille de Mitsuri.

Le temps s'arrête à nouveau, posément quoique on remarque qu'avec une famille, les tâches à accomplir sont plus nombreuses.
Le thé est sacré, la préparation des repas aussi bien que cela soit présenté simplement

On découvre un aveugle qui va écrire sa lettre…
Des lettre de deuil,
Des lettres qui vont partir pour les morts, notamment la première femme de Mitsuri.

PQ est un don du ciel pour Poppo qui a été donné par Myuki.
Tout est dans le respect, la délicatesse, l'écoute...

LA REPUBLIQUE DU BONHEUR, Ito Ogawa, éditions Piquier

Hatoko tient une petite papeterie où elle exerce le métier d'écrivain public. Ses journées sont rythmées par le plaisir de préparer des mets pour ravir le palais de sa nouvelle fille et de son nouveau mari, et les rencontres avec des inconnus qui lui livrent la part la plus intime d'eux même. Hatoko humblement ouvre son coeur pour mieux recevoir la part des autres et transcrire le plus fidèlement possible leur requête.
A l'heure où on ne communique plus que de façon très impersonnelle, en tweetant, likant les mots des autres, le sujet de ce roman est une pépite de mots choisis, de petites intentions, comme le choix du papier, un parfum évocateur, une enveloppe empreinte de poésie pour parler au coeur d'une personne unique.
Amis des mots à vos pinceaux, stylos, papiers. Pensez au bonheur d'ouvrir une enveloppe et de découvrir, qu'au bout du monde ou de votre rue, quelqu'un a eu cette petite attention...

J'ai peut-être fait une erreur en enchainant ce livre directement après "La Papeterie Tsubaki"...

Je pensais être heureux de poursuivre la lecture du quotidien d'Hatoko, mais l'histoire d'amour centrale ne m'a pas plu du tout.
Je l'ai vraiment trouvé étrange, presque forcé en quelques sortes et cela m'a fait décroché de ma lecture.

Pour autant, le style reste agréable à lire et j'ai bien aimé les moments avec la petite QP.

Je conseille aux personnes qui souhaitent vraiment le lire d'attendre un petit peu si vous avez lu au préalable " La Papeterie Tsubaki". La nostalgie de Kamakura rendre peut-être votre lecture meilleure.

La suite de ‘La Papeterie Tsubaki' de la même autrice, que je l'ai lue dans la foulée du premier au début de l'année 2022 et j'ai été aussi touchée que pour le premier tome. La saga n'est en outre pas indiquée comme terminée, ce qui me laisse beaucoup d'espoir de lire une suite dans un futur plus ou moins proche …
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Hatoko poursuit sa vie dans sa papeterie et en-dehors, j'ai aimé la douceur de cette histoire, les aventures de cette nouvelle famille, ceux qui sont partis qui nous manquent et que pourtant on ne connaît pas. Il y a une chaleur, une intimité délicieuse qui se dégage des ‘petites' histoires de ce quotidien extraordinaire.
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Une lecture tendre, émouvante et chaleureuse.
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Résumé
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La vie est douce à Kamakura.
Hatoko continue son activité d'écrivain-calligraphe, les amis et les clients se pressent dans la petite papeterie. Tendres, drôles ou tragiques, les destins se croisent sous son pinceau.
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Hatoko s'est mariée et découvre, en compagnie de Mitsurô et de sa fillette QP, les joies d'être mère au sein de cette famille recomposée.
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La famille est au coeur de ce second livre : le mariage, la parentalité, les liens avec la belle-famille, ou la propre mère de Hatoko, qui fait ici son apparition, le souvenir de l'épouse défunte de Mitsurô.
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On retrouve dans ce roman toute l'alchimie des romans d'Ito Ogawa : l'amour, le partage et la cuisine.
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