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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Michel Onfray analyse toutes les dérives intellectuelles, politiques, idéologiques, qui ces dernières décennies – particulièrement depuis les années 60 – nous ont amené progressivement à perdre le sens des mots et des choses…Plus on s'éloigne de la pensée des philosophes qui ont construit l'esprit français, Montaigne, Descartes, Voltaire, l'utilisation de la raison contre la croyance religieuse, du doute contre le dogme, du dialogue contre la pensée unique, plus on s'enfonce dans une dérive totalitaire. le monde qui est le nôtre ressemble de plus en plus à celui du roman d'Orwell, 1984, opposant, dans une novlangue qui ne laisse aucune place à la nuance, le noir et le blanc, le bien et le mal, le dominant et le dominé, pour imposer une vision manichéenne de l'histoire qui s'adapte aux convictions du moment.

Plus le langage se plie à cette idéologie nouvelle, plus les conséquences sur nos sociétés sont dangereuses : soumission à l'islam dans ses dérives les plus phallocrates et antioccidentales, hausse des violences et incivilités, baisse inquiétante du niveau scolaire, infantilisation de notre société qui idéalise l'enfant, auquel on ne peut plus rien imposer et se sert de l'addiction des jeunes et moins jeunes aux nouvelles technologies …
La situation est grave, mais le plus inquiétant d'après Michel Onfray, c'est l'avenir qui se dessine : la victoire du transhumanisme qui a pour but de façonner un homme entièrement nouveau grâce au développement de l'intelligence artificielle, la PMA, le transsexualisme, l'abandon des racines culturelles, l'oubli de l'histoire ou sa réécriture, enfin l'abolition de la mort, but ultime de cette tabula rasa.

Il est donc urgent de retrouver notre esprit critique, de prendre du recul et de réfléchir, oser aller à l'encontre de la pensée dominante et de la moraline mortifère, drogue sirupeuse qui empêche le vrai travail de la raison, de voir le monde tel qu'il est et donc toute action. Oser devenir véritablement humain loin de toutes les chimères qui nous éloignent de notre humanité. Retrouver en cela ce qu'il y a de meilleur dans l'art d'être français. Ne plus être dupe. Passionnant.
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Michel OnfrayL'Art d'être Français. Bouquins. Essais. 2021. 391 p. 4 étoiles
En italique des notes personnelles)
L'auteur a choisi de présenter ce livre comme une série de lettres. Il s'explique sur cette forme littéraire en dédicace. Ces lettres sont destinées aux 10 % de jeunes adultes qui pourraient s'intéresser à la chute civilisationnelle judéo-chrétienne en mettant en exergue ce qui fait l' « Art d'être français ».
Invitant le jeune lecteur à faire ses propres lectures, une « plume à la main » (noter, réfléchir, se questionner, proposer), remplaçant avantageusement le temps passé dans un amphithéâtre de cours à écouter un prof de philo débiter son cours.
Ce sont des essais, donc l'Auteur va rechercher l'origine des courants les plus déstructurants qui préparent la forme de gouvernement mondial en cours d'installation, voulue par les USA, La Chine, l'URSS, et l'Europe (contre l'avis de la plupart de ses concitoyens).
Note personnelle. Ceci n'est pas une chimère mais le programme établi depuis plusieurs décennies et diffusé, argumenté, … par le Forum Economique Mondial et le Groupe Bilderberg : « dépopulation et gouvernance mondiale et paix mondiale ». Instrument financier : Black-Rock (dont la Chine 10 milliards de dollars visant elle aussi la gouvernance mondiale est le second investisseur) et Vanguard – 10.000 milliards de dollars ensemble. Ingénierie sociale : Mc. Kinsey.
Depuis 2019-2020, ce programme se déroule au grand jour (crise covid,…) qui sape la culture française.
Qui sape avec l'aide de plusieurs courants que ce programme soutient : l'antisémitisme, la moraline, l'antispécisme, l'infantilisation,…le tout expliqué : ses origines, ses thuriféraires,…
Qui sape L'Art d'être français.
M.O. invite le lecteur à lire et étudier (ce que lui maîtrise déjà à la perfection vu sa méthode de travail):
Montaigne (Libre examen) https://www.youtube.com/watch?v=f7LP0XvvV7s
Descartes (réalisme), Rabelais (hédonisme), Voltaire (ironie), Marivaux (finesse de l'esprit).
Cela 20 ans que je suis cet auteur…il est honnête, recherche la vérité, l'exprime quelquefois avec ses tripes…Et cela ne plaît pas aux tenants du ron-ron quotidien. L'auteur m'horripile souvent quand il est dans ce genre d'exercice : l'essai. Mais je sais que c'est pour mon bien, pour mon éducation. J'invite tous ceux qui le souhaitent à mettre l'auteur en défaut sur l'un ou l'autre des FAITS qu'il avance…Oui, c'est irritant. Comment Sartre : un collabo ? Et de Beauvoir aussi ? Et m…Or tout est important pour comprendre la production d'un auteur qui n'est que le reflet de ses pensées, de ses engagements à l'époque de l'écriture.
Personnellement, je le remercie (c'est le seul philosophe qui m'a permis de sortir de la dépression il y a 20 ans) et aujourd'hui j'apprends à vivre ma vie en réfléchissant chacun de ses secteurs.
Onfray est là pour cela. Ce n'est cependant pas mon horizon.
Honnêteté, recherche de vérité (les faits), non-violence, maîtrise des désirs, non accumulation des biens au-delà du raisonnable. Je regrette que l'auteur évite de se lancer un grand défi exemple : la philosophie antique d'Inde dont la pensée grecque même si elle a brillé, n'est que le pâle reflet.
Voilà ce que je reproche un peu à M. Onfray : tourner sur des acquis. C'est très bien comme cela aussi…on a tant besoin que l'on nous répète les choses…mais c'est dommage.
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Magistral ! Comme d'hab avec Onfray. Chacun en prend pour son grade. Les icônes de toujours passent à la moulinette d'une intelligence qui manie avec un brio exceptionnel l'analyse, la compréhension, la démonstration par les faits et finalement la destruction totale de certaines de nos certitudes (en tout cas ce fut le cas pour moi). J'adore.
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L'auteur a choisi de structurer son livre sous la forme de lettres, comme il l'explique dans la dédicace. Ces lettres sont adressées à la tranche des jeunes adultes représentant environ 10 % de la population, susceptibles de s'intéresser à la décadence de la civilisation judéo-chrétienne et à ce qui constitue l'essence de "l'Art d'être français". Je fais partie de ce public ciblé. Ces lettres sont des essais où l'auteur explore les origines des mouvements les plus destructeurs qui préparent le terrain pour l'établissement d'un gouvernement mondial en cours, souhaité par les États-Unis et l'Europe, en dépit de l'opposition de la majorité de leurs citoyens. Ces mouvements sont soutenus par divers courants tels que la moraline, le néo-féminisme, le décolonialisme, l'islamo-gauchisme, l'antifascisme, la créolisation, l'infantilisation, et bien d'autres, chacun étant analysé dans ses origines, ses dérives et ses objectifs finaux. Ces mouvements sapent ce qui constitue "l'Art d'être français".

Il s'agit là d'une critique de ces tendances, largement initiées par le philosophe et cofondateur du journal d'extrême gauche "Libération", Jean-Paul Sartre, ses idées gangrène aujourd'hui notre société française, notamment par le biais du mélenchonisme. À ce propos, il convient de noter que contrairement aux assertions de Sartre, il était un collaborateur notoire qui n'a pas hésité à dénoncer et à vendre des Juifs aux nazis. Les actes parlent d'eux-mêmes. Effectivement, Michel Onfray démontre une remarquable capacité d'expression dans ce livre, abordant pratiquement tous les sujets de société avec clarté. Cependant, Pour le livre, j'aurais parfois préféré qu'Onfray aille un peu plus en profondeur dans ses idées.

Onfray explore dans son ouvrage la pensée existentialiste de Sartre, qui défend la notion que "l'être est libre", une liberté qui constitue le fondement de cette philosophie et qui est plus tard récupérée par le tiers-mondisme et de toutes les dérives sociétales actuelles (wokismes, lgbt+, islamisation du pays, créolisation...). Ce dernier mouvement promeut l'autonomie et la liberté des anciennes colonies, prônant leur développement indépendant, voire opposé à l'Occident. Sartre soutient ces idées et défend des mouvements de libération tels que le FLN algérien. Mouvement qui ont le rappel a participé activement à des attentats et à des tueries de masses contre les Français et surtout contre les Algériens voulant rester français. Cette adhésion inconditionnelle à des régimes autoproclamés "libérateurs" et à la destruction de l'ancienne puissance coloniale, y compris la France, va jusqu'à justifier des actes extrêmes, pour Sartre "Il faut tuer : abattre un européen, c'est faire d'une pierre deux coups, c'est supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : reste un homme mort et un homme libre", illustrant sa conception de la "liberté". C'est cette idéologie précise que les mélenchonistes, les communistes et ceux qui rejettent et haissent l'identité française utilisent pour promouvoir leurs idées, constituant ainsi le fondement du gauchisme contemporain. Ce sentiment de rejet envers la France est alimenté par cette pensée tiers-mondisme, une pensée qui pousse les traîtres à la soumission, à l'autodestruction et qui conduit des "français de papier" aux actes meurtriers et à l'islamisation du pays. Pour Sartre, "le fondement de l'existence humaine est la liberté, je dois être libre, je dois être libre pour être, je suis libre pour définir mon essence, je dois donc remettre constamment en cause toute les structures qui pourraient entraver ma liberté." Cela se traduit même dans des domaines aussi extrêmes que la pédophilie, un sujet qu'il a défendu en signant une pétition dans le journal de gauche "Le Monde" pour la dépénalisation des relations consenties entre adultes et enfants, arguant que cela mettait fin à des normes arbitraires qui entravent la liberté individuelle. En somme, toute forme de restriction est qualifiée de fasciste, une rhétorique qui résonne étrangement avec les discours actuels.


Il est parfois frappant de constater comment certaines personnes issues des banlieues adoptent une posture de victime tout en s'appropriant simultanément l'histoire et la critique. Cette attitude peut sembler paradoxale, voire déroutante. D'un côté, ils revendiquent une forme de victimisation, souvent en pointant du doigt des injustices passées ou présentes. D'un autre côté, ils tentent de s'approprier l'histoire et la critique, parfois en la déformant pour servir leurs propres intérêts ou revendications.

Cette dualité peut être observée dans divers contextes, que ce soit sur le plan social, politique ou culturel. Par exemple, certains individus peuvent invoquer des discriminations ou des difficultés rencontrées dans leur vie quotidienne en raison de leur origine ou de leur appartenance ethnique, tout en utilisant parfois des arguments historiques ou politiques pour justifier leurs revendications. Ils peuvent ainsi se présenter comme les défenseurs de leur communauté tout en rejetant toute critique extérieure, même si elle est fondée.

Ce ne sont pas les quartiers qui déterminent le comportement des gens, mais bien les gens qui forgent l'âme des quartiers. Si les banlieues sombrent dans la décadence, c'est parce que ceux qui y résident ont laissé ce déclin s'installer. L'essence d'un lieu réside dans la moralité de ses habitants, et non dans ses structures matérielles. Ainsi, c'est par leurs actions que les individus façonnent leur environnement, et non l'inverse."

Certains, tentent de réécrire l'histoire en s'appropriant des figures historiques majeures comme Jeanne d'Arc, Napoléon, Louis XIV, voire même Jésus, et en les déclarant noires, alors qu'elles sont clairement blanches. C'est une distorsion absurde de la réalité historique, où les demandes légitimes d'abolition de l'esclavage et de fin des discriminations systémiques sont détournées pour revendiquer des attributions historiques fantaisistes. Cette tentative de révisionnisme occulte la réalité selon laquelle les Noirs, victimes de l'esclavage et de discriminations, ne peuvent prétendre avoir créé nos pays.

Peut être que si les peuples orientaux cessaient de dépendre des Blancs, ils pourraient enfin créer leurs propres récits dans leurs pays au lieu d'attendre qu'ils leur soient données.

Un des nombreux problèmes avec l'extrême gauche, c'est qu'elle soutient ouvertement des individus et des organisations qui défendent le terrorisme. Un exemple récent dévoilé par le média Livrenoir concerne certaines associations pro-palestiniennes qui apportent leur soutien au Hamas. Or, ces associations sont connues pour leur soutien à des groupes terroristes et leur appel à la destruction d'Israël. Pour ces défenseurs, le Hamas est considéré comme un mouvement de résistance légitime, alors qu'en réalité, il promeut la violence et le terrorisme. Cette tolérance envers de tels groupes crée un climat de radicalisation et alimente des discours haineux. de plus, certains vont jusqu'à avancer des théories du complot, affirmant que les actions terroristes sont orchestrées par des agences telles que le Mossad, une organisation israélo-américaine. Ah oui, ça a vraiment du sens, évidemment. Parce que bon, on sait tous que les Américains adorent se balancer des avions sur la tête, pas vrai ? En voyant ça, franchement, on se demande qui sont les vrais fauteurs de trouble, pas vrai ? Cette vision des choses ignore les faits et détourne l'attention des véritables responsables de la violence, ce qui ne fait qu'attiser les tensions et les conflits. Ce qui est logique car ce sont eux les êtres les plus violents, défendus par les mélenchionistes.

Le néo-féminisme, dans son évolution récente, a souvent choisi de s'aligner avec l'extrême gauche et de soutenir des positions antisionistes radicales. Cette convergence peut sembler paradoxale au regard des valeurs fondamentales du féminisme, compte tenu du fait que l'islamisme, souvent associé à l'antisionisme, prône une idéologie clairement oppressive envers les femmes. Malgré cette incompatibilité apparente, ce néo-féminisme a adopté une posture de complaisance envers l'islamisme, minimisant parfois les réalités des discriminations, de violences, des violent commis par des OQTF subies par les femmes. Cette alliance peut être motivée par une vision commune de la lutte contre ce qu'ils perçoivent comme l'oppression occidentale ou impérialiste, ainsi que par une idéologie anticolonialiste qui trouve dans l'antisionisme une forme de résistance. le féminisme se met au service de l'antiracisme décolonial, sans toutefois se rendre compte qu'il finira par se faire dévorer.


Dans les cercles gauchistes, la cécité volontaire règne lorsqu'il s'agit de reconnaître le racisme anti-blanc. Leur argumentaire est simpliste : les Blancs, étant soi-disant les oppresseurs de la société, ne peuvent être victimes de racisme. Ils prétendent que seul le pouvoir et le privilège définissent le racisme, ignorant totalement les actes de discrimination individuelle. Pour eux, le racisme anti-blanc est une chimère, une invention pour détourner l'attention des "vrais" problèmes. Mais leurs diatribes ne trompent personne. Nier la réalité du racisme anti-blanc, c'est cracher à la face de ceux qui en sont victimes. C'est refuser de reconnaître que la haine raciale ne connaît pas de frontières, qu'elle peut toucher n'importe qui, quelle que soit sa couleur de peau. Mais la vérité est claire : le racisme, sous toutes ses formes, doit être combattu, peu importe qui en est la victime. Les gauchistes peuvent bien se voiler la face, mais nous, nous ne céderons pas devant leur hypocrisie.

Selon l'extrême gauche, un blanc antifasciste est perçu comme coupable de racisme, car il aurait hérité de la faute blanche, tandis qu'un non-blanc raciste ne peut être considéré comme raciste, car il est soit une victime directe, soit une victime indirecte du racisme des blancs. Ainsi, une personne comme Assa Traoré pourrait être considérée comme descendante d'une famille esclavagiste malienne en raison des actions de ses ancêtres, alors qu'un blanc n'ayant aucun lien direct avec l'esclavagisme serait jugé coupable de cette faute en raison de sa couleur de peau. Pour eux, le blanc doit être coupable, peu importe ses actions, même si des actes de violence sont commis contre lui par des non-blancs, car chaque incident est considéré comme un acte isolé et non comme une manifestation de racisme systémique. Ainsi, pour ces individus, les attaques, les agressions, les violent, les meurtres contre des blancs ne sont que des faits divers et non des problèmes sociaux, et par conséquent, ils refusent de reconnaître l'existence du racisme anti-blanc. Cela ne vous rappel rien ?

Onfray démontre avec pertinence dans son livre l'évolution des idées de gauche, avec Jean-Paul Sartre comme figure récurrente, permettant ainsi une contextualisation profonde et une meilleure compréhension des idéologies radicales et destructrices qui menacent la civilisation française. Il met en lumière le phénomène des Blancs de gauche qui, sous l'influence des médias, des étrangers et des extrémistes d'origine étrangère en France, se laissent manipuler et submerger par un sentiment de culpabilité. Cette culpabilité les pousse non seulement à s'auto-détruire, mais aussi à vouloir culpabiliser les autres Blancs. En faisant culpabiliser les autres, ils confirment ainsi leurs propres opinions et se soulagent de leur propre culpabilité. Ils adoptent ainsi le rôle du gentil bisounours qui souhaite tolérer tout le monde, y compris les islamistes, mais qui, ironiquement, cherche à faire taire ceux qui ne sont pas d'accord avec eux. Les héros incarnent tout ce que le progressisme contemporain ne songe qu'à effacer.


Je voudrais tout de même souligner que bon nombre de personnes de banlieue ne commettent aucun délit, aucun crime, et aspirent au bien-être de chacun. Ce sont des Français d'origine étrangère qui aiment la France, sa culture, son histoire et son peuple. Ces personnes d'origine maghrébine et/ou africaine sont des gens bien, ce sont des Français, bien plus français que des blancs de souche qui soutiennent l'islamisme et la mort de la France.


Oui, si vous ne vous identifié pas au discours de Sartre et à toutes les dérives les plus sectaires du gauchisme actuel alors vous êtes fascistes, vous êtes d'extrême droite.

Vous souhaitez que la France soit un pays, une nation, bénéficiant de son héritage culturel et cultuel millénaire, de son mode de vie, de ses traditions, de ses us et coutumes ?
Vous etes d'extrême droite.
Vous voulez continuer à fêter "Noël" le 25 décembre ?
Vous etes d'extrême droite.
Vous soutenez le patriotisme ou le souverainisme en voulant protéger les intérêts de la nation française ainsi que ceux de votre descendance ?
Vous êtes d'extrême droite.
Vous écoutez Europe 1, regardez CNEWS et faites du sport ?
Vous êtes d'extrême droite.
Vous voulez faire durcir l'immigration, idée soutenu par une majorité de Français ?
Vous êtes d'extrême droite.
Vous ne croyez plus que l'immigration est une chance pour la France et que le vivre ensemble a été largement survendu ?
Vous êtes d'extrême droite.
Les gens vous soutiennent lorsque vous dites le Maroc aux Marocains, l'Algérie aux Algériens, le Sénégal aux Sénégalais, mais dire la "France aux Français"
C'est d'extrême droite.
Vous votez pour Jordan Bardella ou Marion Maréchal qui oeuvrent à sauver ce qu'il reste de la France ?
Vous êtres d'extrême droite.
Vous n'acceptez pas que des Français de papier, sur le sol Français, imposent leur drapeau d'origine alors que l'on votre traite de raciste si vous brandissez le drapeau de la France ?
Vous êtes d'extrême droite.
Vous êtes contre la secte LGBT+++ qui va jusqu'à l'intrusion des idées "non-genré" dans les écoles que fréquentent vos enfants ?
Vous êtes d'extrême droite.
Vous d'hadérez pas à la thèse disant que les pillages, les agressions, les vols et les violences physiques ou sexuels car les jeunes s'ennuient ?
Vous êtes d'extrême droite.
Vous voulez faire taire vos adversaires politiques en leur interdisant le droit à débattre et à émettre leurs opinions ?
Pour le coup, là, vous êtes de gauche.

Les militants de gauche radicale se plaignent de la fragmentation du pays, mais ce sont eux qui ont voulu le multiculturalisme à l'américaine. Ce sont eux qui défendent l'islamisation du pays. Ce sont eux qui n'aiment pas la France et le christianisme. Ce sont eux qui défendent une immigration massive et incontrôlée qui se traduit par un changement de peuple et de culture ainsi qu'à une grande pauvreté. Ce sont eux qui défendent l'interdiction des blasphèmes. Ce sont eux qui veulent limiter toutes les libertés, y compris la démocratie, car selon eux, si madame le Pen devient présidente, ils doivent se battre contre le Pen, donc contre le choix démocratique des Français. Ce sont eux qui n'aiment pas les Français. Ce sont eux les racistes, les intolérants, les fascistes, les phallocrates, les antisémites, les terroristes.

Je ne voterai pas pour ces mêmes racistes. Je ne voterai pas pour ceux qui veulent la mort du christianisme, la mort de l'homme blanc, la mort de la France, et donc, la mort de mon identité, et par conséquent, pour ma propre mort.


"Comme le dit si bien Jean-Philippe Tanguy : 'Nous ne partagerons pas votre rêve d'étouffer les nations. Il n'y a que trois couleurs face auxquelles les Français s'inclinent : devant leurs morts, dans leurs écoles, dans nos cérémonies, le bleu, le blanc et le rouge. Il n'y a aucun symbole dans votre bleu, dans votre blanc et votre rouge. Notre blanc, c'est mille ans éternels de la France, c'est le manteau des églises, le rouge et le bleu, c'est le peuple de Paris uni, symbolisé dans la grande révolution qui a traversé le temps et l'espace, symbole pour l'éternité, le peuple de France.'"


Ce livre de Michel Onfray m'a incité à réfléchir profondément et m'a inspiré à approfondir mes recherches. C'est un excellent point de départ. Cependant, j'ai quelques réserves quant à sa conclusion, qui semble quelque peu résignée à la défaite. Personnellement, je refuse cette attitude défaitiste sinon à quoi bon vivre. le seul point sur lequel je ne le rejoins pas à chaque fois est le thème de l'écologie.

ce livre m'a permit d'exorciser mes idées, mes opinions, ma pensée et honnêtement ce n'est pas désagréable.

J'aspire à une vie simple avec ma femme, mes enfants, ma famille, mes proches et l'amour du prochain de ce qui le mérite au sein d'une France fière, forte, sûr, de culture chrétienne, rayonnante de branche multiculturelle unie sous l'identité national commune, française.

Vive la France !
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