Très court roman, assez énigmatique, il faut bien le dire. Il y a trois parties distinctes, qui s'additionnent de façon un peu décousue: l'enfance du narrateur, le journal d'un prêtre ami de sa famille, et un amour subit et bref au détour d'un voyage à Venise. Cela aurait peu d'intérêt sans l'exquise forme poétique de l'écriture: le lecteur n'a pas besoin d'intrigue pour se laisser bercer par une belle langue. Et au bout de 140 pages: c'est fini !
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Michel Orcel était l'invité de Poésie sur Parole, émission de France Culture, pour discuter de sa traduction de L'Arioste.