Mon dieu ce que j'ai aimé ce livre, pouvoir en savoir plus sur Tori et sur ce qu'elle ressent. Un livre qui traite de sujet importants comme les pensées suicidaires, dépression, tristesse, solitude, etc ; donc faite bien attention avant de lire ce livre aux TW.
Donc comme je le disais dans L'année Solitaire, on suit Tori Spring la soeur de Charlie, qui est misanthrope et pessimiste de première, elle ne fais plus d'effort pour vivre du moins pour vraiment vivre. Les gens diront qu'elle ne fait aucun effort pour être heureuse, mais la dépression c'est bien plus que ça, il ne suffit pas de dire "sois heureuse" pour l'être.
Tori préfère le calme de sa chambre au tumulte de la vie à l'extérieur, elle préfère être dans sa chambre à regarder des films ou partager ses pensées sur son blog que de vivre au milieu de gens passifs. Michael va être une vrai bouffée d'air frais dans la vie de Tori et dans cette histoire, c'est un personnage rayonnant accro au thé. On va bien entendu retrouver Nick et Charlie qui sont toujours aussi mignon et profondément amoureux.
Mais on va rencontrer Lucas un ami d'enfance de Tori, mais également Beck et Evelyn les amies de Tori qui sont au lycée avec elle. Mais c'est avant tout des personnages importants malgré qu'ils soient secondaires, ils apportent tous quelques choses à l'histoire et c'est ce que j'ai trouvé bien.
Un très beau roman, que j'ai beaucoup aimé et que je recommande 🫶
Donc comme je le disais dans L'année Solitaire, on suit Tori Spring la soeur de Charlie, qui est misanthrope et pessimiste de première, elle ne fais plus d'effort pour vivre du moins pour vraiment vivre. Les gens diront qu'elle ne fait aucun effort pour être heureuse, mais la dépression c'est bien plus que ça, il ne suffit pas de dire "sois heureuse" pour l'être.
Tori préfère le calme de sa chambre au tumulte de la vie à l'extérieur, elle préfère être dans sa chambre à regarder des films ou partager ses pensées sur son blog que de vivre au milieu de gens passifs. Michael va être une vrai bouffée d'air frais dans la vie de Tori et dans cette histoire, c'est un personnage rayonnant accro au thé. On va bien entendu retrouver Nick et Charlie qui sont toujours aussi mignon et profondément amoureux.
Mais on va rencontrer Lucas un ami d'enfance de Tori, mais également Beck et Evelyn les amies de Tori qui sont au lycée avec elle. Mais c'est avant tout des personnages importants malgré qu'ils soient secondaires, ils apportent tous quelques choses à l'histoire et c'est ce que j'ai trouvé bien.
Un très beau roman, que j'ai beaucoup aimé et que je recommande 🫶
J'ai lu ce livre car il est dans l'univers d'Heartstopper qui fait partie de mes lectures coup de coeur du moment ! Ce roman se déroule après le tome 4 d'Heartstopper et tourne autour de Tory, la grande soeur de Charlie, un personnage que l'on croise souvent mais que l'on ne connaît finalement pas tant que ça. Elle apparait surtout comme la soeur protectrice toujours présente pour Charlie.
Tory est une jeune fille pessimiste qui a du mal à se lier aux autres, mais cette année scolaire s'annonce compliquée car son petit frère est atteint de troubles alimentaires sévères, elle n'a rien à dire à ses parents, sa meilleure amie s'éloigne depuis qu'elle commence à sortir avec des garçons, Lucas son meilleur ami d'enfance revient dans sa vie, et elle rencontre Mickael un nouvel élève qui est qualifié de bizarre. Petit à petit Tory commence à s'éloigner de tout le monde car elle n'arrive plus à gérer ses relations avec les autres.
L'année solitaire est un roman sur l'adolescence et le mal être que l'on peut vivre durant cette période. Il aborde la santé mentale des jeunes et les difficultés qui peuvent subir pour s'intégrer dans un groupe. Travaillant dans un lycée, j'ai trouvé ce roman hyper réaliste ! Alice Oseman a un énorme talent pour parler de l'adolescence et de ce qu'on peut ressentir à cet âge ! Je pense que beaucoup d'ado arriveront à se reconnaître dans le personnage de Tory.
Après je n'ai pas été hyper plongée dans l'histoire, j'ai largement préféré Heartstopper, mais ce livre permet vraiment de comprendre les difficultés que vivent les adolescents et il peut peut-être permettre à des jeunes de se sentir moins seuls.
Tory est une jeune fille pessimiste qui a du mal à se lier aux autres, mais cette année scolaire s'annonce compliquée car son petit frère est atteint de troubles alimentaires sévères, elle n'a rien à dire à ses parents, sa meilleure amie s'éloigne depuis qu'elle commence à sortir avec des garçons, Lucas son meilleur ami d'enfance revient dans sa vie, et elle rencontre Mickael un nouvel élève qui est qualifié de bizarre. Petit à petit Tory commence à s'éloigner de tout le monde car elle n'arrive plus à gérer ses relations avec les autres.
L'année solitaire est un roman sur l'adolescence et le mal être que l'on peut vivre durant cette période. Il aborde la santé mentale des jeunes et les difficultés qui peuvent subir pour s'intégrer dans un groupe. Travaillant dans un lycée, j'ai trouvé ce roman hyper réaliste ! Alice Oseman a un énorme talent pour parler de l'adolescence et de ce qu'on peut ressentir à cet âge ! Je pense que beaucoup d'ado arriveront à se reconnaître dans le personnage de Tory.
Après je n'ai pas été hyper plongée dans l'histoire, j'ai largement préféré Heartstopper, mais ce livre permet vraiment de comprendre les difficultés que vivent les adolescents et il peut peut-être permettre à des jeunes de se sentir moins seuls.
Le grand public a découvert Alice Oseman avec sa série de bande-dessinée « Heartstopper » récemment adaptée par Netflix autour du couple Nick et Charlie. Mais cette jeune britannique est aussi à l'origine de plusieurs romans, dont « L'Année solitaire » - son premier – qui se concentre sur l'un des personnages secondaires de Heartstopper, la soeur ainée de Charlie, Tori, une jeune lycéenne en proie à de nombreux doutes et questionnements. L'occasion pour l'auteure d'aborder la thématique des années lycée dans son côté le plus sombre…
Victoria Spring, surnommée Tori, entre en première et elle se sent de plus en plus détachée de l'ambiance du lycée. Elle ne reconnaît plus sa meilleure amie Becky qui est en recherche perpétuelle de popularité, elle a du mal à sortir de chez elle, elle ne comprend pas pourquoi Lucas, son meilleur ami au primaire, est de retour, et pourquoi Michael Holden s'intéresse tant à elle. Elle se sent étrangère à ce monde.
D'autant que lycée dans lequel elle étudie, est victime des canulars d'un étonnant groupe d'élèves anonymes réunis sous le nom de « SOLITAIRE ». Tori va essayer d'enquêter et de comprendre ce qui se trame à l'intérieur de l'établissement...
Un roman d'initiation où l'héroïne semble s'enfoncer dans des sables mouvants. Plus elle tente de déterminer ce qui la motive dans la vie, plus elle devient solitaire. Mais n'est-ce pas le sort d'une grande partie des adolescents à un moment de leur vie ?
Histoire d'amour et d'amitié, regard sans concession sur les ados : la mélancolie de certains, la superficialité d'autres, les difficultés familiales que l'on cache... ce roman transpire la sincérité et le vécu. le jeune âge de l'auteure lors de son écriture (17 ans) y est certainement pour quelque chose. Alice Oseman réussit à décrire avec précision à la fois le mal être des relations entre jeunes et les liens ambigus qu'ils peuvent avoir avec l'école.
Le jeune âge de la plume se ressent (à moins qu'il faut mettre cela sur le coup de la traduction ?), mais il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un premier livre qui s'adresse à un lectorat de jeunes adultes.
Si les thématiques abordées sont classiques pour raconter la période difficile des années lycée, ce qui fait la différence ici, c'est le ton, l'humour et l'autodérision dont fait preuve Tori. Son côté sarcastique dédramatise les situations délicates et apporte la légèreté nécessaire à l'histoire pour qu'elle ne tombe pas dans le mélodrame.
D'ailleurs, il est bon de souligner qu'Alice Oseman ne tombe jamais dans la caricature en créant des personnages et une histoire à l'accent authentique sans que les personnages ne s'apitoient jamais sur eux.
Sans révolutionner le genre, Alice Oseman propose un agréable moment de lecture très ado. L'intérêt premier du livre réside dans le plaisir pour les fans de la série « Heartstopper » de découvrir encore davantage le génialissime personnage de Tori.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Victoria Spring, surnommée Tori, entre en première et elle se sent de plus en plus détachée de l'ambiance du lycée. Elle ne reconnaît plus sa meilleure amie Becky qui est en recherche perpétuelle de popularité, elle a du mal à sortir de chez elle, elle ne comprend pas pourquoi Lucas, son meilleur ami au primaire, est de retour, et pourquoi Michael Holden s'intéresse tant à elle. Elle se sent étrangère à ce monde.
D'autant que lycée dans lequel elle étudie, est victime des canulars d'un étonnant groupe d'élèves anonymes réunis sous le nom de « SOLITAIRE ». Tori va essayer d'enquêter et de comprendre ce qui se trame à l'intérieur de l'établissement...
Un roman d'initiation où l'héroïne semble s'enfoncer dans des sables mouvants. Plus elle tente de déterminer ce qui la motive dans la vie, plus elle devient solitaire. Mais n'est-ce pas le sort d'une grande partie des adolescents à un moment de leur vie ?
Histoire d'amour et d'amitié, regard sans concession sur les ados : la mélancolie de certains, la superficialité d'autres, les difficultés familiales que l'on cache... ce roman transpire la sincérité et le vécu. le jeune âge de l'auteure lors de son écriture (17 ans) y est certainement pour quelque chose. Alice Oseman réussit à décrire avec précision à la fois le mal être des relations entre jeunes et les liens ambigus qu'ils peuvent avoir avec l'école.
Le jeune âge de la plume se ressent (à moins qu'il faut mettre cela sur le coup de la traduction ?), mais il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un premier livre qui s'adresse à un lectorat de jeunes adultes.
Si les thématiques abordées sont classiques pour raconter la période difficile des années lycée, ce qui fait la différence ici, c'est le ton, l'humour et l'autodérision dont fait preuve Tori. Son côté sarcastique dédramatise les situations délicates et apporte la légèreté nécessaire à l'histoire pour qu'elle ne tombe pas dans le mélodrame.
D'ailleurs, il est bon de souligner qu'Alice Oseman ne tombe jamais dans la caricature en créant des personnages et une histoire à l'accent authentique sans que les personnages ne s'apitoient jamais sur eux.
Sans révolutionner le genre, Alice Oseman propose un agréable moment de lecture très ado. L'intérêt premier du livre réside dans le plaisir pour les fans de la série « Heartstopper » de découvrir encore davantage le génialissime personnage de Tori.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Écriture fluide et simple.
Je pense que je ne fais pas partie du public ciblé, que je suis trop vieille. Ce qui explique que j'ai trouvé l'histoire trop creuse, plate.
Mais je ne mets pas pour autant une mauvaise note à ce livre car je pense qu'il reste agréable à lire quand on est jeune.
Je pense que je ne fais pas partie du public ciblé, que je suis trop vieille. Ce qui explique que j'ai trouvé l'histoire trop creuse, plate.
Mais je ne mets pas pour autant une mauvaise note à ce livre car je pense qu'il reste agréable à lire quand on est jeune.
"L'année Solitaire" est le premier roman d'Alice Oseman, sorti bien avant Heartstopper, qui met en scène Tori, la grande soeur de Charlie. C'est le deuxième roman que je lis de l'autrice, le premier étant "Loveless" que j'avais adoré.
J'ai nettement moins aimé ce roman, sans pour autant détesté non plus. On sent quand même que c'est un premier roman (même s'il a été récrit et corrigé pour cette ressortie).
On suit Tori, une lycéenne pessimiste et qui n'aime pas grande chose et de l'année où un mystérieux collectif, Solitaire, a semé du remue-ménage dans son lycée.
J'ai déjà beaucoup eu de mal avec l'héroine que j'ai trouvé assez horripilante. C'est une jeune fille qui n'aime pas les gens, qui se plaint souvent, est franche et cassante. Son côté trop pessimiste et du "moi je suis différente", est assez lourd. Elle a parfois des réactions insupportables, on a envie de lui dire de se bouger et de réfléchir avant de parler.
Après sa personnalité très sombre est voulue de ce que je comprends mais il n'en reste que je n'ai pas du tout réussi à m'attacher au personnage et me sentir émotionnellement concerné par ses questionnement et évènements qui lui arrive.
J'ai par contre beaucoup aimé le personnage de Mickael, assez unique en son genre. Mystérieux, bizarre, on a dû mal à comprendre ses attentions et à savoir ce qu'il pense réellement. Sa relation avec Tori est assez particulière et j'ai bien aimé ce duo, même si certaines réactions de Tori à son égard, sont assez énervantes.
J'ai nettement moins aimé ce roman, sans pour autant détesté non plus. On sent quand même que c'est un premier roman (même s'il a été récrit et corrigé pour cette ressortie).
On suit Tori, une lycéenne pessimiste et qui n'aime pas grande chose et de l'année où un mystérieux collectif, Solitaire, a semé du remue-ménage dans son lycée.
J'ai déjà beaucoup eu de mal avec l'héroine que j'ai trouvé assez horripilante. C'est une jeune fille qui n'aime pas les gens, qui se plaint souvent, est franche et cassante. Son côté trop pessimiste et du "moi je suis différente", est assez lourd. Elle a parfois des réactions insupportables, on a envie de lui dire de se bouger et de réfléchir avant de parler.
Après sa personnalité très sombre est voulue de ce que je comprends mais il n'en reste que je n'ai pas du tout réussi à m'attacher au personnage et me sentir émotionnellement concerné par ses questionnement et évènements qui lui arrive.
J'ai par contre beaucoup aimé le personnage de Mickael, assez unique en son genre. Mystérieux, bizarre, on a dû mal à comprendre ses attentions et à savoir ce qu'il pense réellement. Sa relation avec Tori est assez particulière et j'ai bien aimé ce duo, même si certaines réactions de Tori à son égard, sont assez énervantes.
L'année Solitaire est un roman que je ne peux que qualifier d'étrange. Je ne sais pas si je l'ai aimé ou pas. Cette lecture m'a laissé un sentiment surréel et un peu vide. Mon interprétation de Tori est qu'elle est autiste mais n'en est pas consciente, ce qui la mène à la dépression. Ses ressentis et réflexions sur elle même et le monde sont trop similaires à mon vécu pour que j'apprécie réellement ma lecture. Il y a aussi l'intrigue de Solitaire qui ne m'a pas convaincu-e car elle tranche un peu avec le réalisme des personnages et des relations entre eux.
J'ai tellement adoré la série graphique Heartstopper, que j'avais envie de découvrir toutes les productions de l'autrice ! Après avoir lu les deux novellas Nick et Charlie et Cet hiver, puis le roman Loveless, j'ai enfin mis la main sur L'année Solitaire, son tout premier roman dans le même univers que Heartstopper.
L'année Solitaire a donc été écrit avant Heartstopper. Il met en scène Tori, la grande soeur de Charlie (le personnage principal de Heartstopper). J'adore Tori dans Heartstopper, j'avais donc hâte d'en savoir plus sur elle !
Malheureusement L'année solitaire a été une grosse déception pour moi.
Tout d'abord, il y a quelques incohérences avec Heartstopper, ce qui m'a surprise car l'autrice explique que pour cette réédition elle a fait quelques modifications pour enlever les incohérences. Bon encore, on peut comprendre et ça ne gêne pas vraiment la lecture.
En fait, c'est Tori que j'ai trouvé vraiment exaspérante ! Pourtant d'habitude j'aime bien les personnages torturés et différents des autres lycéens. Mais là c'est un peu trop. Tori semble être une sorte de fantôme qui ne dort jamais et se nourrit uniquement de films. Elle n'aime personne (et surtout pas elle-même) et fait tout pour se faire détester de tous. Je trouve qu'elle est bien loin de la Tori de Heartstopper, cynique et détachée. Au contraire, il semble qu'il y a une confusion entre cynisme et dépression. Tori semble totalement dépressive. Elle ne s'intéresse à rien ni personne. Seul Charlie trouve grâce à ses yeux (Charlie est toujours aussi parfait par contre). Les parents sont totalement inexistants, on sait juste qu'elle ne s'entend pas avec sa mère mais je les ai trouvés très différents de ceux de Heartstopper. Son frère Oliver est une caricature de petit frère loin de la réalité. Il a 7 ans (comme Mini-Noisette) mais se comporte comme un bébé de 3 ans. Ses amis passent leur temps à venir la chercher puis la repousser, puis revenir.
En fait c'est ce que j'ai trouvé fatigant. le roman pourrait être deux fois plus court, l'intrigue aurait été la même. Tori passe son temps à prendre la décision de changer, et puis finalement non, et puis elle va devenir amie avec Mickael, et puis non, et puis si... Bref, lassant !
L'intrigue autour de "Solitaire" est tout aussi inintéressante. Solitaire est une personne ou un groupe qui fait des actions dans le lycée pour se faire remarquer. J'ai assez vite deviné qui était Solitaire et cela semble incroyable que personne ne réussit à le piéger.
Bon vous l'aurez compris, rien ne vaut le roman graphique Heartstopper ! Dommage, j'aurai aimé lire autre chose sur Tori !
Lien : http://blogonoisettes.canalb..
L'année Solitaire a donc été écrit avant Heartstopper. Il met en scène Tori, la grande soeur de Charlie (le personnage principal de Heartstopper). J'adore Tori dans Heartstopper, j'avais donc hâte d'en savoir plus sur elle !
Malheureusement L'année solitaire a été une grosse déception pour moi.
Tout d'abord, il y a quelques incohérences avec Heartstopper, ce qui m'a surprise car l'autrice explique que pour cette réédition elle a fait quelques modifications pour enlever les incohérences. Bon encore, on peut comprendre et ça ne gêne pas vraiment la lecture.
En fait, c'est Tori que j'ai trouvé vraiment exaspérante ! Pourtant d'habitude j'aime bien les personnages torturés et différents des autres lycéens. Mais là c'est un peu trop. Tori semble être une sorte de fantôme qui ne dort jamais et se nourrit uniquement de films. Elle n'aime personne (et surtout pas elle-même) et fait tout pour se faire détester de tous. Je trouve qu'elle est bien loin de la Tori de Heartstopper, cynique et détachée. Au contraire, il semble qu'il y a une confusion entre cynisme et dépression. Tori semble totalement dépressive. Elle ne s'intéresse à rien ni personne. Seul Charlie trouve grâce à ses yeux (Charlie est toujours aussi parfait par contre). Les parents sont totalement inexistants, on sait juste qu'elle ne s'entend pas avec sa mère mais je les ai trouvés très différents de ceux de Heartstopper. Son frère Oliver est une caricature de petit frère loin de la réalité. Il a 7 ans (comme Mini-Noisette) mais se comporte comme un bébé de 3 ans. Ses amis passent leur temps à venir la chercher puis la repousser, puis revenir.
En fait c'est ce que j'ai trouvé fatigant. le roman pourrait être deux fois plus court, l'intrigue aurait été la même. Tori passe son temps à prendre la décision de changer, et puis finalement non, et puis elle va devenir amie avec Mickael, et puis non, et puis si... Bref, lassant !
L'intrigue autour de "Solitaire" est tout aussi inintéressante. Solitaire est une personne ou un groupe qui fait des actions dans le lycée pour se faire remarquer. J'ai assez vite deviné qui était Solitaire et cela semble incroyable que personne ne réussit à le piéger.
Bon vous l'aurez compris, rien ne vaut le roman graphique Heartstopper ! Dommage, j'aurai aimé lire autre chose sur Tori !
Lien : http://blogonoisettes.canalb..
Retour sur l'histoire de Tori, la soeur de Charlie, tu sais Heartstopper.
Je ne m'attendais pas à ça. C'était plus dur à lire que je ne m'imaginais.
Alice Oseman nous emmène dans la tête de Tori, qui cela dit en passant me faisait flipper dans Heartstopper, et là j'ai vraiment vu l'abîme de l'adolescence. Tu sais la période où tu dis que tu te fous de tout mais qu'en fait chaque chose te touche profondément mais que tu l'enfouis au fond te toi ? Que tu ne te rends même pas compte que ça te fait du mal à l'intérieur ? On est en plein dedans et c'est pas un cliché ! On passe tous.tes par cette période à des degrés différents.
Tori est super proche de son frère et ce qu'il a vécu, et vis encore, la perturbe plus qu'elle ne l'avoue. Son pessimisme prend des proportions à la limite de la dépression voir même de l'idée suicidaire.
Le traitement est très bien fait, par contre j'aurai aimé plus d'échange avec les adultes mais on les voit à travers les yeux d'une ado en plein mal-être alors c'est normal qu'on est la même impression qu'elle, c'est à dire qu'ils s'en foutent.
L'accent est vraiment mis sur l'entraide quand on va mal. Il est très prétentieux de penser qu'on peut s'en sortir seul et j'ai aimé les amitiés et relations des personnages. Michael est un de mes préférés.
Le titre prend tout son sens à la fin même si on a des doutes tout le long. Je pense qu'ils auraient dû garder juste "Solitaire" comme en VO parce que l'histoire ce passe sur un mois seulement. Bref je chipote un peu.
Une très belle lecture, plus profonde que prévue mais nécessaire parfois pour se rappeler la fragilité des adolescents. Même si ce n'est qu'un passage, ça joue sur leur avenir.
Je vais continuer ma découverte de l'autrice avec ses autres romans qui me donnent tous envie.
Je ne m'attendais pas à ça. C'était plus dur à lire que je ne m'imaginais.
Alice Oseman nous emmène dans la tête de Tori, qui cela dit en passant me faisait flipper dans Heartstopper, et là j'ai vraiment vu l'abîme de l'adolescence. Tu sais la période où tu dis que tu te fous de tout mais qu'en fait chaque chose te touche profondément mais que tu l'enfouis au fond te toi ? Que tu ne te rends même pas compte que ça te fait du mal à l'intérieur ? On est en plein dedans et c'est pas un cliché ! On passe tous.tes par cette période à des degrés différents.
Tori est super proche de son frère et ce qu'il a vécu, et vis encore, la perturbe plus qu'elle ne l'avoue. Son pessimisme prend des proportions à la limite de la dépression voir même de l'idée suicidaire.
Le traitement est très bien fait, par contre j'aurai aimé plus d'échange avec les adultes mais on les voit à travers les yeux d'une ado en plein mal-être alors c'est normal qu'on est la même impression qu'elle, c'est à dire qu'ils s'en foutent.
L'accent est vraiment mis sur l'entraide quand on va mal. Il est très prétentieux de penser qu'on peut s'en sortir seul et j'ai aimé les amitiés et relations des personnages. Michael est un de mes préférés.
Le titre prend tout son sens à la fin même si on a des doutes tout le long. Je pense qu'ils auraient dû garder juste "Solitaire" comme en VO parce que l'histoire ce passe sur un mois seulement. Bref je chipote un peu.
Une très belle lecture, plus profonde que prévue mais nécessaire parfois pour se rappeler la fragilité des adolescents. Même si ce n'est qu'un passage, ça joue sur leur avenir.
Je vais continuer ma découverte de l'autrice avec ses autres romans qui me donnent tous envie.
J'ai enfin lu mon premier Alice Oseman et il s'agit de son tout premier roman, L'année Solitaire. C'était le moment où jamais de le découvrir avec cette nouvelle version, révisée par l'autrice. J'ai été agréablement surprise par la manière dont elle aborde certains sujets liés à l'adolescence et rien que pour ça, je lirai ses autres romans.
Bon, en soi, ce livre n'est pas très rigolo. On fait ici la rencontre de Tori, une jeune fille qui est cynique, pessimiste et introvertie. Il semblerait qu'il n'y ait pas beaucoup de place pour le bonheur et l'amitié dans sa vie, et on a juste envie de comprendre ce qui lui arrive. Elle a des amis, mais elle ne fait pas de gros efforts pour communiquer, entretenir des relations sociales. Elle est comme ça. En fait, on réalise que Tori intériorise absolument tout, et on sait bien que ce n'est pas très bon pour elle.
Ce roman parle de mal-être chez l'adolescent et notamment de troubles psychiques, mais aussi du rapport aux autres qui n'est pas toujours simple, évident. On découvre comment Tori vit certains événements, comment ça l'impacte directement. Mais surtout, on découvre comment une drôle d'amitié naît entre elle et Michael Holden et nous réconforte au passage. C'est une belle découverte, touchante et sincère.
Petit bonus : Vous pouvez déjà croisé Tori dans la série Heartstopper sur Netflix (je vous l'ai déjà dit mais elle est ultra mignonne et réussie cette série). Tori est la grande soeur de Charlie et je suis super contente d'avoir pu en découvrir un peu plus au sujet de ce personnage.
Bon, en soi, ce livre n'est pas très rigolo. On fait ici la rencontre de Tori, une jeune fille qui est cynique, pessimiste et introvertie. Il semblerait qu'il n'y ait pas beaucoup de place pour le bonheur et l'amitié dans sa vie, et on a juste envie de comprendre ce qui lui arrive. Elle a des amis, mais elle ne fait pas de gros efforts pour communiquer, entretenir des relations sociales. Elle est comme ça. En fait, on réalise que Tori intériorise absolument tout, et on sait bien que ce n'est pas très bon pour elle.
Ce roman parle de mal-être chez l'adolescent et notamment de troubles psychiques, mais aussi du rapport aux autres qui n'est pas toujours simple, évident. On découvre comment Tori vit certains événements, comment ça l'impacte directement. Mais surtout, on découvre comment une drôle d'amitié naît entre elle et Michael Holden et nous réconforte au passage. C'est une belle découverte, touchante et sincère.
Petit bonus : Vous pouvez déjà croisé Tori dans la série Heartstopper sur Netflix (je vous l'ai déjà dit mais elle est ultra mignonne et réussie cette série). Tori est la grande soeur de Charlie et je suis super contente d'avoir pu en découvrir un peu plus au sujet de ce personnage.
Après avoir regardé la série TV Heartstopper j'avais très envie de découvrir les romans graphiques et puis finalement je suis tombée sur ce roman qui se passe dans le même univers et je me suis laissée tenter.
Évidement j'étais déjà ravie de retrouver des personnages et des lieux connus mais en plus j'ai été énormément touchée par cette histoire. J'aurai tellement aimé lire ce roman il y a quelques années, mais même adulte, les émotions étaient là. L'adolescence n'est pas toujours une période facile, même quand "tout va bien", et explorer les thèmes de la solitude, de l'amitié, l'amour, la famille, les études, l'avenir, avec autant de douceur, c'est d'autant plus percutant. Il y a pendant cette période de la vie une vraie dualité en nous, et Tori l'exprime tellement bien. J'ai été propulsée dans cette histoire. Et je suis tombée sous le charme de Michael dès la première rencontre. Probablement la personnalité qui m'aura le plus marquée, même si chaque personnage est intéressant et permet à chaque lecteur de pouvoir s'identifier. Les pages ont défilé à toute allure et pourtant mon cerveau était sur pause tout le long, seul mon coeur suivait. Une jolie découverte, et j' espère avoir l'occasion de lire d'autres romans d'Alice Oseman prochainement.
Évidement j'étais déjà ravie de retrouver des personnages et des lieux connus mais en plus j'ai été énormément touchée par cette histoire. J'aurai tellement aimé lire ce roman il y a quelques années, mais même adulte, les émotions étaient là. L'adolescence n'est pas toujours une période facile, même quand "tout va bien", et explorer les thèmes de la solitude, de l'amitié, l'amour, la famille, les études, l'avenir, avec autant de douceur, c'est d'autant plus percutant. Il y a pendant cette période de la vie une vraie dualité en nous, et Tori l'exprime tellement bien. J'ai été propulsée dans cette histoire. Et je suis tombée sous le charme de Michael dès la première rencontre. Probablement la personnalité qui m'aura le plus marquée, même si chaque personnage est intéressant et permet à chaque lecteur de pouvoir s'identifier. Les pages ont défilé à toute allure et pourtant mon cerveau était sur pause tout le long, seul mon coeur suivait. Une jolie découverte, et j' espère avoir l'occasion de lire d'autres romans d'Alice Oseman prochainement.
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