Le lancement de The Frontier était assez attendu par les éditions du Lombard. En effet, on sent la volonté de trouver leur Lastman avec un livre de la même taille (manga grand format) et des caractéristiques intrinsèques au récit similaires.
La ligne graphique est originale, dans ce dessin mi-BD mi-comics mi-manga qu'on ne sait où classer mais qui a du caractère.
Là où je reste perplexe, c'est pourquoi parier à ce point sur des auteurs italiens pas célèbres en France et surtout au Lombard... Mais enfin, pourquoi pas.
Niveau récit en lui-même, pour moi le pari est réussi à la fin de ce premier tome. L'univers est sympathique et mystérieux, on y retrouve le côté apocalypse-western du Convoyeur, si ce n'est qu'on est pendant et pas après l'apocalypse. La bande de personnages à la Suicide Squad a du potentiel et est dirigée par Jane ("Calamity" Jane qui doit son surnom à son statut de porte poisse) et secondée par l'étrange créature Notte (qui parle une langue inconnue et qui a l'air d'être une création du machiavélique méchant Mr Bone).
L'intrigue passe bien, c'est dynamique, j'attends la suite.
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L’ambiance est originale – quelque part entre Stranger Things, Umbrella Academy et un Sergio Leone – et la promesse alléchante : un récit fantastique musclé, loin de la fantasy marketée des webtoons coréens, avec un dessin plus proche de LastMan ou Banana Sioule, dont la version papier emprunte le format.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Étonnant, ce premier tome de The Frontier dépoussière le genre du western, tout en lui rendant hommage à de multiples reprises.
Lire la critique sur le site : BDGest
The Frontier est une pépite qui sort de l’ordinaire. Des méchants ont l’avenir du monde entre leurs mains. Du déjanté pur beurre signé par Jacopo Paliaga au scénario et Alessio Fioriniello au dessin qui avait publié au départ ses dessins sur Instagram sous forme de webtoon.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Le scénario est pour le moins intrigant. On s’interroge vraiment sur la nature et le sens de cette tempête, et sur les objectifs du mystérieux recruteur. Une intrigue qui, ajoutée à de nombreuses scènes d’action, incite le lecteur à poursuivre, pour peu qu’il ne soit allergique ni au sang, ni aux corps démembrés. Mais tout ceci est développé sous le signe de l’humour noir. Alors, forcément, ça passe mieux.
Lire la critique sur le site : Sceneario