AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
2,98

sur 638 notes
Chère Katherine,

Je m'appelle Julien, mais vous pouvez m'appeler Juju. Nous ne nous connaissons pas et pourtant, vous m'accompagnez depuis de nombreuses années.

J'ai adopté vos crocodiles, vos écureuils et vos tortues. Vous faites un peu partie de la famille …

Voilà que vous revenez sur les chapeaux de roues, à toute berzingue, comme je vous ai rarement lue…

Cette fois, vous nous racontez l'histoire de Rose Robinson ! Jeune chercheuse, un peu malhabile avec la vie, qui s'apprête à révolutionner le monde de la science ! En attendant, elle vit avec sa mère et sa grand-mère dans un appartement parisien. Trois générations, sous le même toit et trois bonnes raisons de devenir folle !

J'ai, à plusieurs reprises, éclaté de rire. Votre plume est ici légère, hilarante et tellement émouvante ! Quel bonheur de rencontrer de nouveaux héros, après la saga trop longtemps étirée des Cortès. Je n'ai pas boudé mon plaisir et j'ai vraiment trouvé jubilatoire les nombreux parallèles entre la sexualité des insectes et la nôtre ! Comme quoi, nous n'avons rien inventé !

Et puis, je me suis laissé surprendre par le grave, le triste, le dramatique.

Vous évoquez, sans fard, le désir féminin, les fantasmes et l'amour, sous toutes ses formes. J'ai follement aimé cette liberté de ton, cette folie douce qui enveloppe tout le roman d'une belle humeur, d'une vraie modernité.

J'ai retrouvé ma Pancol et Dieu que c'est bon ! J'en suis encore tout émoustillé. J'ai envie de vous serrer dans mes bras et d'entamer une gigue avec vous ! Bon, je ne sais pas giguer donc je me calme tout de suite mais le coeur y est, là, un peu avec vous …

Vous n'êtes pas, chère Katherine, dans les listes si étranges des prix littéraires à la mode et pourtant, vous remuez des milliers de coeurs, vous agitez nos émotions et je vous remercie pour ça. Vous n'êtes pas très tendance, un peu trop, sûrement pas assez, et je ne vous en aime que plus. Parce que vous êtes légère, sensible et folle un peu !

Je vous embrasse, chère Katherine. J'espère que de nombreux lecteurs se joindront à moi, dès demain, dans ce livre farandole, pour passer un merveilleux moment !

Lien : https://labibliothequedejuju..
Commenter  J’apprécie          10113
J'avais quitté Katherine Pancol un peu fâchée sur "Trois baisers", et j'ai mis quelque temps à renouer avec elle. Mais quand je prends le train, il me faut des lectures en format poche, pour pouvoir les fourrer dans mon sac à main. j'ai donc procédé à l'inventaire des "non lus" sur l'étagère du salon, et ce "Bed bug" qui y traînait depuis un an a fait partie des heureux élus de septembre. Je m'aperçois que je n'en ai pas fait de retour, on va réparer rapidement cet oubli. Rapidement parce qu'il n'y a pas de quoi s'étaler longuement sur ce roman léger qui met en scène une jeune chercheuse passionnée d'insectes et dont la vie sentimentale est semée d'obstacles. Elle travaille en compagnie d'un biologiste américain sur une luciole qui semble offrir des perspectives quasi-miraculeuses en vue d'un traitement du cancer. Mais la même bestiole pourrait aussi enrichir considérablement les deux héros bien plus rapidement que pour ses vertus médicales, grâce à des propriétés utilisables en cosmétique. alors, faire avancer la médecine à long terme ou fabriquer des crèmes lucratives immédiatement, tel est le dilemme auquel Rose va se confronter. Mais un autre conflit fait rage dans son esprit : est-elle amoureuse de Léo, son collègue, ou non ? Cet affreux problème va occuper une bonne partie des 375 pages du roman. Rose va devoir également faire face à un drame oublié survenu dans son enfance, dont ni sa mère (une horrible bonne femme d'un égoïsme pathologique) ni sa grand-mère (bien plus sympa) n'acceptent de parler. Bref, pas mal de mélo dans cette histoire, parsemé de touches humoristiques évoquant la sexualité débridée et parfois perverse des insectes, ces passages-là ayant nettement eu ma préférence !

Ce livre m'a un peu réconciliée avec Katherine Pancol, au moins il n'a rien à voir avec toute la série crocodiles-tortues-écureuils-muchachas-trois baisers dont les personnages ont fini par me sortir par les trous de nez. Ca se lit tout seul, donc idéal pour mes longs trajets, la tonalité est le plus souvent légère, excepté lorsqu'on évoque le fameux souvenir oublié, ou certains épisodes avec la mère. Je n'en garderai pas un souvenir inoubliable (tiens, je crois que j'ai déjà écrit ça ailleurs...), mais tous les livres ne sont pas destinés à être des coups de coeur, celui-ci a fait son boulot.
Commenter  J’apprécie          4713
Je (re)découvre cette auteure dont j'avais lu naguère un autre roman.
Je ne savais pas que sa production pouvait s'approcher de ce que j'appelle un roman à l'eau de Rose (prénom de l'héroïne).
Articulé autour de la phrase dénonciatrice "toutes les filles se font violer", je n'ai ressenti aucune empathie particulière pour quasiment aucun des personnages, tant féminins que masculins.
J'ai gardé une distance qui ne pouvait pas être satisfaisante avec le sujet lié à la phrase en question.
Un conseil : évitez la version audio car prendre une voix de vieille sorcière ou de Cruella pour incarner les autres membres de la famille ne sont pas des choix judicieux.
Voilà, une demi déception.
Commenter  J’apprécie          444
On est bien loin de notre (enfin ma) chère Joséphine adorée que j'avais pris plaisir à découvrir dans la trilogie "Les yeux jaunes des crocodiles" et suite et c'est la raison pour laquelle je referme cet ouvrage dans un état d'esprit partagé.

Rose, notre jeune héroïne de 29 ans est une brillante biologiste et est passionnée par les insectes, milieu dans lequel elle excelle puisqu'elle est sur le point de faire une brillante découverte médicale (du moins, c'est ce qu'elle veut, hors de question pour elle qu'elle vende le fruit de ses expériences à des entreprises cosmétique - non ce qu'elle veut elle c'est "aider") qui pourrait révolutionner le onde médical. Travaillant sur la luciole, elle devra néanmoins apprendre à composer avec Léo, jeune lui aussi et brillant new-yorkais qui l'a rejoint dans cette expérience et qui, contrairement à Rose, voit lui, le côté rapport de gain immédiat que cela pourrait leur rapporter (heureusement que Rose avait déposé son brevet avant). Cependant si Rose est spécialiste dans son domaine et connaît tout sur la reproduction des insectes, il n'en va pas de même lorsque l'on parle de sa vie amoureuse à elle. Devant faire front devant une mère imbue d'elle-même qui ne se lasse pas de vanter le nombre d'amants qu'elle a eu dans sa vie, Rose se sent démunie lorsqu'elle se retrouve devant sa génitrice. Heureusement qu'elle a Babou, sa grand-mère avec laquelle elle est beaucoup plus proche mais se pourrait-il qu'elle aussi, tout comme Valérie, celle qui lui a donné la vie mais guère plus, sauraient des choses concernant son enfance qu'elle lui tairaient ? Quelque chose qui pourrait expliquer notamment son problème relationnel avec les hommes ? Rose est bien déterminée à le savoir mais cependant, elle ne pourra pas lever le voile sur son passé seule...

Une histoire qui m'a disons laissée mi-figue-mi raisin car j'avoue m'être légèrement ennuyée en débutant cette lecture, me demandant dans quoi je m'embarquais. Ecriture cependant toujours aussi agréable à lire, heureusement que je me suis accrochée car cela est allait crescendo au fil de ma progression dans le roman et au final, je ne suis absolument pas déçue (juste un peu peut-être pour être tout à fait honnête) par cette découverte ! A découvrir !
Commenter  J’apprécie          443
Ca passe tout seul, comme un paquet de Curly, avec plein de petits tirets de dialogues rassurants, on n'est pas pris en traître. Pourtant les problématiques sont assez étouffe-chrétiennes, la violence qui se répète d'une génération sur l'autre, avec une régularité de métronome qui fait flipper lorsqu'on se demande s'il va falloir remonter jusqu'aux australopithèques pour en voir le bout.

La dureté du propos contraste bizarrement avec le ton enjoué et primesautier, comme si l'auteur voulait mettre des bottines 36 à un éléphant. Eh non, ça va pas rentrer je te dis. Non mais je t'avais dit que ça passerait pas. D'où décontenancement du lecteur, jamais trop sûr de quand il faut se gausser ou plisser du cerveau. Cyrulnik et l'accro du shopping à Manhattan sur le même bateau, ça tangue un peu.

Pas cru une seconde au personnage de Rose en tant que titulaire d'un doctorat de biologie ; pas besoin d'avoir fait de l'épistémologie pour voir que ça cafouille sévère dans sa gestion des tubes à essai. En tout cas , c'est à espérer que ceux qui bossent sur le vaccin qui va sauver nos prochains arrivages de gadgets chinois sont plus rigoureux qu'elle.

Sa vie sentimentale tendrait aussi à nous faire accroire que les femmes sont compliquées et confuses dans leurs désirs. du tout. Mais là, il faut avouer qu'on a un cas. Difficile de trouver quelqu'un d'aussi contradictoire dans ses demandes. Rapport à un passé difficile qui ne passe pas, on n'est donc pas tout seul ouf.

En revanche, j'ai été aux anges dans toutes les descriptions de moeurs entomologiques parsemées le long du livre et qui m'ont fait picoter de wasabi ces dialogues parfois longuets. C'est d'ailleurs pour ça que je me suis décidée à le lire. J'ai trouvé Pancol marrante là-dessus, parce que c'est vraiment une fantaisie sympa de sa part, tellement pas dans le registre attendu, bravo, on sent que sa curiosité est prise et qu'elle assume ce truc loufoque qui ne sort de nulle part. Encore un truc mis au chausse-pied mais ça j'ai adoré.

Rien que le tipule mâle, autrement dénommé « le pénis chantant », et qui convole en musique et vibrations avec sa bien-aimée, c'est ma foi excellent et revigorant. La nature n'a pas besoin d' effets de manche pour impressionner, elle est époustouflante en toute simplicité. A part ça, tous les personnages ont un petit côté tête-à-claques. Donc je comprends Pancol, les insectes sont quand même des personnages de roman qui ont un sacré panache et qui traînent moins de casseroles psychanalytiques, ça repose.
Commenter  J’apprécie          433


Ayant beaucoup aimé « les yeux jaunes des crocodiles », «  la valse lente des tortues » et la série des « Muchachas »
J'en reviens toujours à vouloir lire Katherine Pancol malgré quelques déceptions comme avec « 3 baisers » ou « les écureuils de central Park »

Alors qu'en est-il de son dernier « Bed Bug » ?
Rose, 29 ans travaille dans un laboratoire de recherche et étudie les insectes et plus précisément les lucioles. Son rêve, trouver un remède contre le cancer bien toléré avec le moins d'effets indésirables possibles.
Elle vit avec sa grand mère qu'elle adore et entretient des relations tendues et distantes avec sa mère Valérie.
Côté vie sentimentale c'est le fiasco. Rose a bien des désirs et des fantasmes mais dans la vie réelle elle ne concrétise rien amoureusement.
Parlons-en de ses fantasmes justement. Je n'ai pas du tout compris l'intérêt de ces quelques scènes fantasmées qui selon moi réduisent la femme à l'état de « viande » et n'apportent pas grand chose au roman.
J'ai vraiment eu beaucoup de mal à cerner le personnage de Rose tantôt soumise, tantôt dominante.
Attention hein, dis comme ça on pourrait croire que ce livre est dans la même veine que les « 50 nuances de Grey » ( que j'avais détesté soit dit en passant ) ...
Il n'en est rien. Ici des thèmes graves y sont abordés comme la pédophilie, les traumatismes de l'enfance, le désamour d'une mère, l'absence d'un père. Malgré ça, j'ai eu l'impression de lire un magazine pour adolescente qui raconte ses déboires avec les garçons.
J'ai trouvé l'histoire un peu tirée par les cheveux, avec des invraisemblances, des revirements de situations inattendus, un peu comme si l'auteur décidait en cours de route quel chemin elle allait faire prendre à son histoire.
L'impression d'un livre non structuré sans plan de départ.
Cependant, (parce qu'il y a bien quelque chose qui a fait que je suis allée jusqu'au bout de ce livre) j'ai trouvé très intéressant les références faites aux insectes.
Très documenté, on en apprend énormément sur la vie sexuelles et reproductives des petites bestioles.
Et de ce point du vue, le travail de recherche n'est pas bâclé.
Voilà voilà, je referme Bed Bug en étant contente de passer à autre chose.
Ah oui, une dernière chose : le titre ( a double sens ) quant à lui, est super bien trouvé et résume à lui tout seul ce roman de Katherine Pancol.
Commenter  J’apprécie          250
D'habitude, je referme le dernier Pancol avec un sourire satisfait aux lèvres. Cette lecture fait habituellement office de baume au coeur, de « doudou » pour consoler mes émois sentimentaux si complexes. Cette auteure a le don de permettre au lecteur de se retrouver dans l'un des traits de personnalité de l'un ou l'autre de ses personnages, de s'identifier à lui et de réfléchir sur les conséquences prises par l'une des décisions de son double de papier.

Mais là, non. Je ressens plutôt un profond malaise. Parce que le sujet qui y est soulevé est certes mis en avant depuis le phénomène #Metoo, mais intrinsèquement conditionné, lié au destin, à l'histoire intime de chaque femme.


Ce qui m'a le plus frappée, c'est que la mère de Rose, la principale protagoniste de récit, se prénomme comme moi, Valérie, prénom généreusement distribué vers le milieu des années 70. Elle aime les mêmes films que moi : « Autant en emporte le vent » et « Thelma et Louise » ; des portraits de femmes fortes qui ont dû s'affranchir du pouvoir masculin. J'aurais pu m'identifier à elle, mais non. Ce portrait de mère si détachée de sa progéniture ne me parle pas !


Rose, la fille de Valérie, est une étudiante en biologie qui a toujours été passionnée par les insectes. Katherine Pancol a réalisé là un sacré travail documentaire tant les explications données sont complètes. Rose a réussi à faire de sa passion une vocation, un projet de vie : utiliser les connaissances entomologistes pour trouver une molécule révolutionnaire qui permettrait de guérir le cancer humain.


Pourtant son enfance lui échappe. Elle sent depuis toujours un blocage et subit de bien sombres cauchemars. Impossible pour elle de mener à bien une relation amoureuse. Elle vit avec sa grand-mère et sa mère, lorsque celle-ci veut bien les honorer de sa présence à Paris. Rose ne connaît pas son père. Elle n'en a même aucun souvenir.

Ses réminiscences enfantines se centrent sur une situation de petite fille utilisée comme faire-valoir par Valérie parce qu'elle est jolie, qu'elle obéit et travaille bien à l'école ; combien de fois l'a-t-elle supporté, regretté, honnis ?


Rose trouvera enfin les fils qui l'emmaillotent depuis si longtemps et l'empêchent d'avancer en partant en mission aux Etats-Unis. Elle découvre, et comprend alors qu'en tant que filles, en tant que femmes, nous avons subi un nombre incalculable d'outrages pour lesquels on nous a reproché de « faire des caprices de petites filles ». Ce n'étaient pas des caprices. Et il est temps qu'on lève le voile sur ces pratiques machistes d'un autre âge, sur cette domination masculine qui n'a pas lieu d'être. Et c'est très bien que des auteurs comme Katherine Pancol s'emparent du sujet pour en révéler l'ignominie, trop longtemps ancrée de génération en génération, à la manière d‘une malédiction inéluctable…


Au final, je fais le constat que les insectes femelles s'en sortent bien mieux que nous !
Un roman captivant et nécessaire.
Commenter  J’apprécie          207
L'action de ce roman se déroule de nos jours, à Paris et New-York. Rose est une jeune femme qui vit à Paris, avec sa mère, Valérie, directrice d'une agence artistique, et sa grand-mère maternelle, Babou.

Rose est une chercheuse passionnée par les insectes. Elle a découvert une "luciole alsacienne", qui pourrait permettre de soigner les malades du cancer, et qui va l'amener à partir travailler à New-York.

Rose a beaucoup de fantasmes et souffre de cauchemars liés à son enfance. Sa vie sentimentale est un fiasco. Elle est suivie en analyse et va retrouver peu à peu la mémoire du traumatisme subi dans son enfance.

Valérie, sa mère, est une femme d'affaires, ambitieuse et prête à tout pour réussir, collectionneuse d'amants, égocentrique, qui ne prête aucune attention à Rose.

Ce roman m'a beaucoup déçue: je n'ai pas trouvé les personnages attachants, même Rose, qui oscille entre midinette et nymphomane.

L'écriture est assez brouillonne, les termes un peu crus avec du sexe à chaque page.

J'ai eu l'impression que Katherine Pancol avait repris les sujets à la mode dans une sorte de "50 nuances de grey" (que je n'ai pas lu), ajoutant viol, pédophilie dans le milieu du cinéma, appât du gain même dans la recherche, et touillant le tout.

Ses recherches sur la luciole et la sexualité des insectes sont intéressantes, mais ne m'ont pas passionnée.

Bref, si l'auteur n'avait pas été Katherine Pancol, j'aurais abandonné au bout de 50 pages.

J'ai été jusqu'au bout mais en me demandant comment elle avait pu écrire d'un côté "Les yeux jaunes des crocodiles", déjanté et attachant, et ce "Bed bug", insipide. avec le mot "b--e" à chaque page.

C'est un plaidoyer anti hommes et anti mâles, très dérangeant... "Le baiser caméléon" est un tue l'amour...


Lien : http://www.unebonnenouvellep..
Commenter  J’apprécie          142
Alors d'accord c'est une histoire d'amour XXIeme siècle. On nous vend la grande passion un peu-Aha- a la façon dont on aime les insectes /les Pokémon. Recherche médicale, sentiments. Gregory House? Grey's Antomy? J'ai bien aimé le fait que l'histoire reprend direct après le résumé dans la chronologie. On a à faire à un rare cas de Femme qui fait le premier pas !! J'ai aussi trop rigolé au passage ou Rose dit à son psy "je vois une bite" et celui-ci du tac au tac "c'est votre mère"... Avant de développer, bien sûr !! Hormis cela l'histoire me paraît dune effroyable banalité, même si l'humour réussit un peu à sauver le truc. Rien que le résumé traduit la pauvreté du récit. A lire pour ceux qui aiment cette auteure et/ou ce type de romance moderne.
Commenter  J’apprécie          130
Rose est biologiste, passionnée d'entomologie. Elle un bug, un problème de sexe, d'amour, de relation avec les hommes. Elle vit avec sa mère et sa grand-mère, trois générations de femmes sous le même toit, comme la punaise de lit qui porte en elle une génération de femelles déjà porteuse de la génération suivante. Rose a un bug, elle le sait, mais ne sait pas pourquoi, elle sait qu'il y a un trou dans ses souvenirs, mais elle ne sait pas quelles pièces du puzzle il manque. Et des pièces vont commencer à tomber.

Ce roman est bien écrit, intéressant, passionnant, il alterne des présentations des personnages, leurs états-d 'âme et fait le parallèle avec le comportement d'un insecte. Il traite de sujets difficiles émotionnellement.
Commenter  J’apprécie          120




Lecteurs (1566) Voir plus



Quiz Voir plus

Katherine Pancol

Où est née Katherine Pancol ?

France
Belgique
Maroc
Liban

10 questions
197 lecteurs ont répondu
Thème : Katherine PancolCréer un quiz sur ce livre

{* *}