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Catherine Pancol a une ecriture primesautiere qui rend la lecture tres agréable et qui,livre apres livre a construit une bibliographie solide et coherente.Ce livre de debut de carriere pose les bases de son style et de son oeuvre future.Ideal pour decouvrir cette auteure contemporaine majeure de la litterature francaise.
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Psychanalyse : Entre présent et passé, souvenirs douloureux et idylles fugaces, ce livre m'a surpris ... Il est complètement différent du style de l'auteur (quoi que, ne parle-t-on pas de ce que l'on connait le mieux ?). Lectrice avertie, adepte du flux de conscience j'ai eu, parfois, du mal à me situer au niveau chronologique. La narratrice a besoin de lecteurs-rices afin d'exorciser le Démon Paternel ... La fille à papa comprendra certainement comment, par peur de l'abandon, elle a pu foirer des relations personnelles ... Un roman de Katherine Pancol c'est complexe, ça peut irriter car ça vous fait faire face à ce que vous aviez enfoui ... Un pur régal ... Je l'ai lu avant de repartir à New York 30 ans après ma première visite et me suis rendue à certains endroits avec plaisir ... à lire !
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Le deuil d'un père, un syndrome d'Oedipe x 1000, une femme perdue, qui cherche l'amour, puis le fuit, New York,
son argent et ses dérives...
Vous mélangez tout ça et vous obtenez... apparement un roman.
Personnellement, j'aurais plutôt parler d'un monologue, long, bien trop long... Décousu qui plus est ! On saute de la petite fille à la femme paumée, de la fille hystérique à l'auteure pleine d'imagination...
Katherine nous perd avec ses descriptions à rallonge et ses répétitions.
Ca donne un roman lourd, bien trop lourd...
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au tout début, j'ai eu du mal à rentrer. Mais à force de le lire, on comprend très bien ce que traverse le personnage. je l'adore à la moyenne, c'est le deuxième livre de l'auteur que j'ai lu.
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Les conséquences d'une relation père / fille un peu trop fusionnelle....
Le récit de la "petite fille" m'a beaucoup émue et a ravivé quelques souvenirs.
Le récit de "l'adulte" m'a permis de comprendre certains de mes comportements peut-être.
Un livre émouvant, intéressant mais qui traîne un peu trop en longueur. J'ai eu beaucoup de mal à le terminer.
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En tant que grande admiratrice du travail de Katherine Pancol, et en attendant de lire son nouveau livre, « Trois baisers », j'ai décidé de me tourner vers ses premiers romans, et notamment « Les hommes cruels ne courent pas les rues », dont le titre m'a directement intriguée. Ce titre pourrait s'expliquer en une phrase, qui se trouve sur la quatrième de couverture du livre, et que je trouve particulièrement bien formulée : « Vous connaissez une femme qui a perdu la tête pour un gentil garçon ? ».
Il s'agit donc d'un livre sur les relations entre les hommes et les femmes, sur ces femmes qui semblent avoir besoin de souffrir pour vivre pleinement une relation, et surtout sur l'influence d'un père sur la vie amoureuse de sa fille. Ce dernier aspect, je l'avoue, m'a un petit peu troublée. En effet, la confusion entre l'homme, le père, et l'homme, le petit ami, est à mon sens assez malsaine.
Pourtant, je me suis laissée prendre au jeu, et emporter dans les méandres des sombres pensées de cette femme, dont Katherine Pancol ne nous dévoile d'ailleurs pas l'identité, ce qui renforce l'attachement et l'identification au personnage. Car en effet, une fois de plus, cet auteur est parvenue à construire un personnage en chair et en os, qui prend vie au fil des pages, avec une réelle personnalité, des centres d'intérêts.
Malgré tout, certains passages m'ont mise mal à l'aise, toujours par rapport à la relation au père. J'ai donc achevé cette lecture mitigée : je ne pouvais pas dire que je n'avais pas aimé car j'avais dévoré cette histoire, mais je ne pouvais pas dire non plus que j'avais apprécié car certains points me dérangeaient. J'ai notamment été déçue par la fin : alors que je m'attendais à ce que l'héroïne parvienne à vaincre ses vieux démons, elle finit par épouser un homme très semblable à son père. En outre, ce dernier a eu envers elle une conduite exécrable, et d'un point de vue féministe, le comportement de cette jeune femme, qui se contente de prendre son mal en patience et de rester à disposition de cet homme tandis qu'il voit d'autres femmes, est à mon sens à abolir. Ainsi, la morale de l'histoire n'apparaît pas clairement et semble même tout-à-fait inversée.
Je suis donc restée avec cette drôle de fin en travers de la gorge, jusqu'à ce que je lise « le bonheur est dans le crime », de Jacqueline Harpman, qui nous livre un roman sur l'inceste absolument répugnant et que j'ai pourtant trouvé assez prenant. Cette histoire m'a amenée à me poser la question : Qu'est-ce qu'un bon livre ? Un livre agréable à lire ou un livre bien écrit ? J'ai alors repensé aux « Hommes cruels ne courent pas les rues » et en suit arrivée à la conclusion que puisque ce livre est bien écrit (dans un style oral certes déroutant mais traduisant à merveille le dialogue intérieure de l'héroïne), et puisque je l'ai lu en quelques jours à peine, alors il s'agit pour moi d'un bon livre. Quant aux aspects qui m'ont dérangée, à la réflexion, peut-être nous permettent-ils justement de nous pousser à nous poser certaines questions sur la nature humaine et ses aspects parfois contradictoires et destructeurs.... Et concernant cet apparent « happy end », je le trouve finalement très original. En effet, il faut avouer qu'un véritable happy end (la rencontre avec un homme gentil avec qui elle parviendrait à avoir des relations saines sans systématiquement penser à son père) serait assez peu crédible, voire un peu « tarte à la crème ».
En conclusion, je vous conseille la lecture de ce livre, car bien qu'il suscite en nous des sentiments controversés, il suscite la réflexion, ce qui est assez rare de nos jours. Effectivement, à l'heure actuelle, la plupart des livres présentent une histoire à lecture unique, très premier degré, et rares sont les romans qui provoquent de réels débats.
Lien : https://elise-et-rapha.weebl..
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Mon premier livre de Katherine Pancol...et je n'ai vraiment pas aimée!!! J'ai bien mis un mois à traîner cet ouvrage...ce qui est très rare.
Ce livre est presque une torture à lire. On n'y comprend rien ! Des personnages qui sortent de nulle part, des descriptions qui passent du coq à l'âne. Qui est qui ? Qui fait quoi ? J'ai juste compris que le personnage principal est très attachée à son père (elle en est limite amoureuse, à en lire certains passages...) et que ce papa n'est plus de ce monde... Syndrome d'Oedipe dans ses relations???
C'est dommage...
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Ce n'est pas mon style de lecture j'ai tenté car j'aime lire Pancol mais celui ci j'ai pas accroché du tout
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Un roman à l'eau de rose.
J'ai aimé la trilogie des yeux jaunes des crocodiles et j'ai adoré sa suite, les 3 Muchachas! Mais pour ce roman, Pancol m'a un peu déçue... Ca parle d'amour (beaucoup d'amour!!!). L'amour d'un père pour sa fille, l'amour d'une fille pour son père, mais surtout de l'amour d'une femme adolescente sentimentalement pour un homme égoïste avec un ego équivalent à celui de Trump -j'en rajoute un peu- (ça aurait du être "les hommes détestables ne courent pas les rues") . On a pas du tout envie de voir l'héroïne (nunuche qu'elle est a toujours se lamenter sur sa vie sentimentale) se jeter à ses pieds comme elle le fait, ni même de ressentir sa pseudo douleur émotionnelle pour un type pourri comme il est. Bon OK à la fin le mec devient le prince charmant rêvé, plein de bonté et de bon sens envers la gente féminine, mais encore une fois WHAT ??? Cet homme à retourner sa veste en moins de 2 pages. L'auteur aimerait me faire avaler ça par le simple pouvoir de l'amour ? On parle d'un homme détaché de l'héroïne, profitant de sa faiblesse sentimentale et BIM il tombe fou amoureux d'elle au point de l'épouser parce que son odeur lui manque (désolée pour le spoil en passant, mais bon c'est pas fi-fou.) Bref, je le classe sur l'étagère "à lire sur la plage quand la bibine est encore fraîche" (histoire de faire passer les 370 pages de surplus d'amour écoeurant). Après vous avez là l'avis d'une simple lectrice pas très sentimentaliste, je ne suis pas du genre coeur tendre, mais j'ai quand même pleurer devant "n'oublis jamais" (et ce n'est pas seulement grâce à Ryan Gosling). Disons que ce roman manque de profondeur, de peps...
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Cette auteur prolifique et débordante de vitalité nous plonge dans la vie d'une femme qui se perd dans des amours compliqués et dégradants, qui se fait violence en acceptant tout même de s'avilir, toujours en quête d'un amour toujours plus fort. Et puis, il y a cet amour qui dépasse tout : celui de son père mourant. Ce livre est une interrogation sur le sentiment amoureux, où faut-il aller en amour sans s'avilir ?
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