Je suis ton soleil

Et si tu étais le soleil dans la vie de quelqu'un ?
Avant de lire ce roman, le titre a su retenir toute mon attention. Je me demandais ce que pouvait être la signification de ce titre. Aussi, l'intitulé "Je suis ton soleil" m'a fait réfléchir. Qui est mon soleil ? Et surtout, suis-je le soleil d'une personne de mon entourage ?

L'histoire débute avec notre héroïne Déborah qui doit affronter la rentrée de terminale avec des bottes-grenouille, si ce n'est pas la poisse ça ! On dit merci à Isidore, le chien recueilli par sa mère.
On va alors suivre notre héroïne l'année de sa terminale avec ses joies et ses peines.

Le style de Marie PAVLENKO est décalé avec une héroïne différente de ce qu'on peut voir d'habitude. Déborah a un sacré humour et est tellement fun. J'ai beaucoup aimé Victor et Jamal qui apportent, en plus de l'humour, de la bienveillance au récit. Déborah, Victor et Jamal forment un joli trio où l'amitié est exemplaire.
Mention spéciale pour Isidore, appelé "le chien de honte", qui a vraiment sa place dans cette histoire.

L'auteure nous relate ici un texte tout plein de tendresse et de sincérité. On passe par plusieurs émotions.

Le clin d'oeil à Dalida m'a plu.

Pour en revenir au titre, il prend effectivement tout son sens au cours de la lecture mais je n'en dirai pas plus, je vous laisse le découvrir par vous-même.

L'intrigue est originale. le dénouement final est bien trouvé, c'est une fin qui coule de source.

C'est un roman réaliste sur la vie d'une lycéenne confrontée a ses angoisses, ses craintes et ses rêves.
Un très bon roman jeunesse avec des personnages hauts en couleurs et des thèmes poignants.

Très médiocre !
J'ai très peu aprécié cette oeuvre.
Je pense qu'il y a quand même des limites sur certaines choses !

Un magnifique livre, j'ai aimé dès les premières pages, le style de l'auteur est rafraîchissant, drôle et totalement addictif. L'histoire est belle, triste, poignante et très poétique. J'ai beaucoup apprécié la relation entre Deborah, Jamal et Victor, franchement un joli coup de coeur

Gros coup de coeur pour ce livre et le style d'écriture de l'auteure empreint de sarcasme ! J'ai adoré suivre les aventures de Déborah qui sont toujours à mourir de rire. Je pense que cette héroïne résonne particulièrement puisque l'on peut s'attacher à ce personnage qui nous ressemble. Elle décrit d'une manière très perspicace la terminale et les autres années tout autant. Une fois le livre commencé, il est tout simplement impossible de s'arrêter. Je pense que tous les personnages du livre sont des perles ! Ils ne sont pas parfaits certes, mais partagent une vision de la vie en général qui m'a plu. Ils transmettent les valeurs essentielles, l'entraide, le vivre-ensemble, l'amour et l'amitié, le pardon et enfin le courage avec lequel ils font face aux aléas de la vie, toujours en restant ensemble. le lecteur fait face à l'effondrement de la vie d Déborah mais assiste aussi à sa reconstruction. On partage les moins, les plus, ses inquiétudes et ses peines. Toujours avec humour bien-sûr ! J'ai beaucoup apprécié Victor, Jamal et aussi les parents de Déborah. Ce livre traite à merveille les sujets du quotidien : la relation parents-enfants, l'amour et l'amitié, la pression scolaire qui pèse parfois sur les élèves et finalement le passage à l'âge adulte. Pour finir, la fin du livre est juste parfaite !

J'ai l'immense plaisir de vous annoncer que j'intègre le comité de lecture Flammarion Jeunesse. La première lecture proposée était donc ce livre, qui est sorti il y a quelques temps déjà, car nous allons avoir la chance de rencontrer l'auteure à l'occasion du salon de Montreuil. Alors un énorme merci à Flammarion.

Ce livre me faisait très envie à sa sortie, il était sur ma wishlist depuis, mais je l'avais un peu oublié, pour être honnête. A moins d'avoir l'occasion, je ne l'aurais probablement jamais lu. Occasion qui s'est présentée grâce à cette rencontre, et mon dieu quelle opportunité, j'ai vraiment adoré !

Il y a de ces auteurs qui me happent par leur style. C'est rare, mais quand j'accroche à ce point, je dévore le bouquin et je tombe amoureuse d'une écriture. C'est le cas avec Marie Pavlenko. Je n'avais encore jamais lu d'ouvrages de cette auteure mais je ne vais pas m'arrêter ici.

Les personnages sont géniaux. Ce sont des personnages assez travaillés pour que vous vous les imaginiez parfaitement. Je ne sais pas si vous vous rendez compte à quel point c'est rare pour moi d'avoir cette impression. Ils sont complexes, ils ont leurs failles, bref, ils sont humains. On nous les dépeint à la perfection, et évidemment, vous vous attachez. de toute façon vous me mettez un chien et c'est gagné d'avance.

J'adore ce genre de bouquin contemporain qui entre parfaitement dans une époque, qui s'inscrit si bien dans le décor qu'il en devient super réaliste. Ajoutez à cela des personnages décalés mais bien réels et un humour tordant et c'est le jackpot. J'ai passé un super moment, le sourire aux lèvres.

Mais ce n'est pas parce que c'est un livre drôle et léger qu'il n'aborde pas de sujets importants et difficiles. le passage à l'adolescence avec ses galères de la vie qui peuvent vous arriver m'a paru très bien décrit. Je me suis revue à cet âge et la façon dont les choses pouvaient m'affecter.

Quelques petits couacs pour moi avec des petits clichés glissés ça et là, mais ça ne gêne pas outre mesure. La preuve, j'ai adoré cette lecture alors que je peux être vraiment pointilleuse sur ces points. Cela reste un bon roman contemporain, drôle, frais et léger.

En bref, j'ai adoré ce roman que j'ai dévoré. J'ai vraiment accroché à l'humour décapant de Marie Pavlenko. Je lirais d'autres romans avec grand plaisir !
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J'ai découvert Marie Pavlenko en 2015 avec l'excellent La Mort est une femme comme les autres et Je suis ton soleil confirme que c'est une autrice que j'ai très envie de suivre.

Dès le premier chapitre, nous sommes liées à Déborah, elle nous entraîne dans les rues de Paris pour partager cette dernière année au lycée. Autour d'elle des personnages tout aussi sympathiques – ses deux nouveaux amis, sa meilleure amie (qui a su me surprendre et m'attendrir), ses parents, sa libraire préférée, ses profs… et son chien de la honte !
Humour et sensibilité sont les maîtres-mots de ce roman extrêmement tendre. On savoure les phrases, les répliques, les situations. Marie Pavlenko dédramatise des sujets lourds (que je ne préciserai pas pour vous laisser la surprise) avec une incroyable justesse. Déborah analyse les gens et ses déboires avec beaucoup d'esprit. Une légère distance et une verve décapante et pince-sans-rire. C'est fin et désopilant.

L'identification est immédiate et l'attachement irréversible. On est joyeuse avec Deborah, on souffre avec elle, on se met en colère avec elle, bref, on vit les hauts et les bas de la vie avec elle. Elle est le reflet de nos réalités, imparfaite, impulsive, touchante, désabusée et néanmoins pleine d'espoir. Râler après le chien qu'on aime très fort malgré tout, traîner en pyjama, manger des pâtes, dire des choses et le regretter après, rester parfois bouche bée et manquer de répartie, toujours avoir un livre dans son sac, comment ne pas s'y reconnaître ?

C'est un livre dans lequel on se projette, un livre qui fait du bien.
Un livre avec des amis comme on en rêve, une vie comme on l'espère.
Un livre qui réchauffe le coeur, illumine le quotidien et offre un peu d'optimisme.
Un livre que l'on est triste de refermer à l'idée de quitter Déborah, et Jamal, et Victor, et les autres. Ces personnages si prégnants qui ont partagé notre vie le temps d'une lecture.

En outre, ce livre est un bijou pour celles et ceux qui aiment les mots, les livres et les jolies phrases. Outre la poésie drolatique de la plume de Marie Pavlenko, c'est également l'occasion de s'amuser en traquant toutes les références littéraires cachées ici et là. Dans les noms des personnages (le nom de famille de Déborah est Dantès, la copine de son ami Victor (Gary est son patronyme) s'appelle Adèle, prénom de la femme et de l'une des filles de Victor Hugo…), dans les titres de chapitres (3 : « Déborah veut mourir, bercée par la vague de la mer tempétueuse », 6 : « Déborah se demande si ces amants-là, qui ont vu deux fois leurs coeurs s'embraser, c'est pas du pipeau », 16 : « L'angoisse atroce, despotique, sur le crâne incliné de Déborah plante son drapeau noir », etc.) ou encore dans le texte (Harry Potter, Victor Hugo…).

Lumineux, hilarant, profond. Magnifique et tendre. Bouleversant. Je suis ton soleil est un texte superbe à ressortir les jours où la pluie s'installe à l'intérieur de soi. La vie avec ses orages, ses grisailles et ses rayons de soleil.
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Je suis ton soleil de Marie Pavlenko. J'ai passé un merveilleux moment. le livre est bourré d'humour et il est assez simple à lire (histoire linéaire, peu de personnages) même si la langue est assez imagée (notamment la façon de décrire… Une proute) et que sa taille dissuadera beaucoup de mes élèves. Les noms des chapitres sont des jeux pour la mémoire car tirés de chansons, de poèmes, de livres… (J'en ai reconnu beaucoup :) ) Déborah et Jamal sont attachants même si je trouve Victor peu crédible et surtout peu "consistant."

Il y a de cela quelques mois, en plus de me proposer un partenariat avec eux, les éditions Flammarion m'ont à l'époque invité à recevoir l'une de leurs sorties phares de 2017. Après avoir un peu hésité mais finalement pas tant que ça, j'ai jeté mon dévolu sur Je suis ton soleil de Marie Pavlenko, une auteure française à qui l'on doit notamment la série Marjane qui sommeille encore dans ma PAL. Un grand merci en tout cas aux éditions Flammarion pour cette réception que j'ai pu lire la semaine passée.

Je suis ton soleil nous parle du quotidien de Déborah, élève de terminale qui doit jongler entre l'éloignement de sa meilleure amie, l'approche du bac, la destruction méthodique de ses chaussures par son chien et surtout les problèmes de couple que rencontrent actuellement ses parents.

Avec un titre aussi élogieux, une couverture minimaliste mais fun et des avis de lecteurs très enjoués, je m'attendais à me poiler comme jamais en compagnie d'un livre gai et loufoque. Pour la loufoquerie, je valide à 100%, l'auteure possède une belle imagination et m'a emmené sans peine d'une situation incongrue à une autre par contre, pour le côté gai, ce n'est pas tout à fait ça.

En réalité, le ton de cette histoire est humoristique mais le contenu, lui, ne l'est pas vraiment ce qui me fait dire que ce livre s'est révélé être doux et amer à la fois. Déborah en est à une étape charnière de son existence. Elle a beau porter des bottes grenouilles et avoir des réactions parfois enfantines, elle n'est plus une enfant, mais elle n'est pas encore tout à fait adulte pour autant même si elle va se retrouver de plein fouet en proie à des problématiques d'adulte. Elle surprend son père la bouche collée à celle d'une femme qui n'est pas sa mère et voir une famille éclater est un événement compliqué à gérer, quelque soit son âge.

J'ai en tout cas vraiment apprécié le naturel de Déborah qui est un personnage entier et attachant, drôle sans vouloir l'être. C'est une adolescente, à laquelle vous et moi avons certainement dû ressembler à un moment donné de notre existence et à laquelle il est donc aisé de s'identifier. La relation qu'elle entretient avec ses parents est assez complexe mais j'ai suivi avec beaucoup d'attention et d'intérêt toutes leurs interactions. J'ai pris autant de plaisir à découvrir l'adolescente dans son quotidien entre ses fous rires avec ses amis Mygale-Man et Victor que dans ses moments de doutes et de tristesse.

Marie Pavlenko a écrit un livre qui sonne juste, qui illustre à merveille les affres de l'adolescence, entre les amitiés malmenées, les tourments amoureux et les difficultés à communiquer. Cette histoire pourra parler à chacun d'entre nous en nous remplissant d'une jolie palette d'émotions. M'attendant à lire un livre extrêmement joyeux et léger, j'ai un peu déchanté sur les bords mais j'ai tout de même apprécié ma lecture.
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Ce livre tient les promesses de son titre et de sa couverture : c'est un roman qui fait du bien, avec une héroïne haute en couleurs qui ne se prend pas au sérieux.
Déborah est capable de chanter à tue-tête en karaoké avec une statuette antique en guise de micro, ou de hurler toute sa peur devant une araignée géante. Durant son année de terminale, elle vit de rudes épreuves, mais elle avance encore et toujours, soutenue par des amis qui l'aiment pour ce qu'elle est et qui encouragent son originalité.
Le ton est solaire et plutôt léger, mais pas angélique, Déborah se livre sans fard et ne prend pas les lecteurs pour des tartes. En outre, le livre est truffé de références littéraires, poétiques, ou musicales.
A découvrir, à partir de 14 ans.

Dès la page 18 , j'ai dit à ma fille :" je crois que je vais passer un bon moment " et effectivement ce roman est un vrai soleil !!
Il met du baume au coeur .
Déborah entre en terminale, année très importante où beaucoup de choses vont changer pour elle , dans sa famille, avec ses amis et son chien de la honte , Isidore .
La plume de l'auteur est simple, douce , poétique. Les dialogues sont travaillés, l'humour est présent ( le théorème de la scoumoune).
Mais ce roman est surtout émouvant , touchant de part tous les thèmes abordés.
Je suis passée du rire aux larmes et j'ai beaucoup beaucoup aimé!