Je suis ton soleil

Ce roman est un véritable doudou, une bouffée d'air frais. J'aurais aimé le lire lorsque j'avais 16 ans.

Deborah est en terminale et voit sa vie dérailler. Sa meilleure amie se trouve un beau gosse avec un cerveau de crevette en guise de copain, elle n'a que des mauvaises notes, sa mère découpe dans des magazines façon Serial Killer, la serpillère qui lui sert de chien qui pue la désespère et un beau jour elle découvre que son père voit une autre femme dans le dos de sa maman. C'est la fin du monde pour Deborah. Elle ne comprend pas ces post-it collés dans l'entrée, elle ne comprend pas comment Victor peut être aussi adorable avec elle et en couple avec une autre. Elle ne comprend pas du tout comment Jamal peut aimer sa mygale comme s'il s'agissait d'un chaton. Bref, elle ne comprend plus rien.

Ce roman m'a boosté le moral. Bien que les sujets abordés soient angoissants et me rappellent mon adolescence, j'ai rigolé. Deborah souffre et ses amis l'empêchent de se tourner sur elle-même. Chaque fois, ils l'aident à ne pas ressasser et à relativiser. J'aurais vraiment aimé le lire lorsque mon monde à moi s'était écroulé. Les mots de @marie__pavlenko sont justes mais en tant qu'ado, on a l'impression de s'écrouler au moindre problème. Mignon et à la fois encourageant, ce roman est un bijou de la littérature Française à mes yeux. La poésie qui se dégageait de chaque phrase m'a bercée. le roman semble être le fruit d'un travail de longue haleine, il semble écrit par une ado puis relu par la même ado mais plus mature. Dans le même genre que Georgia Nicholson mais à la française avec un sujet qui reste tabou et touchant.

Notre héroïne Déborah, est suivie de près par la théorie de la scoumoune.
Pourquoi ? Parce qu'elle rentre dans une année charnière, celle du bac, et qu'elle a un chien qui ressemble, je cite, à un "déchet", une mère dépressive qui coupe frénétiquement des images dans les magazines, aussi un père un trop absent et une copine de plus en plus distante... Comment fait notre héroïne ? Et bien elle a de sacrées ressources ! En tout cas, Déborah arrive à danser sous les orages et la pluie en attendant avec espoir le retour du soleil.

Un livre coup de coeur, plein de sensibilité.
Déjà, je suis super admirative de la plume de Marie Pavlenko. Elle m'a touchée et traversée par une palette de sentiments.
Ensuite, côté personnage, j'ai vraiment apprécié notre héroïne. Elle est plutôt différente des modèles présentés habituellement. J'ai trouvé qu'elle avait en elle cette force de caractère puis elle est débrouillarde, très drôle et résiliente. Mais bien sûr Déborah à aussi ce côté sensible !
Côté personnage : j'ai trouvé une autre vrai valeur ajoutée à cette histoire : le chien Isidore. Il est carrément attachant ! Puis il faut l'avouer, l'héroïne en fait des descriptions assez tordantes !
Enfin toujours côté personnage, j'ai adoré la bande de potes de cette histoire. Côté bizarrerie et drôlerie, c'est pas mal non plus !
Bon, je vais arrêter de tous vous les présenter et je vais vous laisser les découvrir =). En tout cas, j'ai aimé suivre chacun des personnages ! Ils ont tous une place et une identité assez recherchée et intéressante.

Je passe maintenant à l'histoire, je vais tâcher d'être plus brève =p.
Alors, je me suis complètement laissé captiver par ce récit. Aussi, j'ai vraiment aimé suivre les sujets que l'autrice a abordé dans son histoire : la dépression, l'amitié, la séparation, l'amour, les secrets d'une famille... Et en plus, je me suis laissé surprendre par cette fin qui je trouve conclue cette histoire tout en beauté !

Pour finir mon avis résumé : des personnages au top, une histoire passionnante pleine de sensibilité et avec ça un dénouement toute en beauté =).

Je découvre Marie Pavlenko avec ce roman, et même si ce n'est à proprement parlé pas un coup de coeur, c'est vraiment passé à un cheveu.
Je me suis en effet immédiatement laissée embarquer par cette lecture douce amère et l'ai dévorée comme un petit bonbon.

L'histoire est vraiment fluide, un peu feel-good, drôle, tendre, lumineuse, et dépeint avec beaucoup de justesse les affres de l'adolescence ainsi que plusieurs sujets parfois assez sombres tels que, pour ne vous en citer que quelques-uns, les relations parents / enfant, l'amour, la dépression et j'en passe…
Le tout est vraiment abordé avec beaucoup de tendresse et fait de ce roman un roman touchant, émouvant et qui m'a souvent fait passer du rire aux larmes.
Bref, j'ai adoré.

Qu'est ce que je me suis régalée ! Dès les premières pages j'ai senti que j'allais passer un super bon moment avec ce livre, et je l'ai avalé quasi d'une traite !
Le style de l'auteure est sensationnel, c'est pétillant : j'ai dégusté ses mots comme on savoure une bonne coupe de Champagne, délicieux avec toutes ces petites bulles qui éclatent en bouche pour nous surprendre...
J'ai tout aimé : l'intrigue, les thèmes abordés avec justesse, les personnages, surtout Déborah, une ado attachante, forte malgré ses failles, pleine de vie, et tellement drôle !
J'ai ri, j'ai frémi, j'ai pleuré... cette tranche de vie montre tous les chamboulements auxquels les adolescents peuvent être confrontés de nos jours, c'est réaliste et crédible. Elle aborde des sujets délicats en conciliant à merveille la légèreté et la profondeur. C'est beau, frais, comme un petit bonbon acidulé qui fond en bouche. J'ai passé un formidable moment, ils vont me manquer...
Comme notre héroïne, je suis souvent victime du théorème de la scoumoune alors j'en ai été d'autant plus touchée, j'ai rajeuni et je me suis identifiée à elle. J'ai (re)vécu certaines péripéties de la vie à ses côtés... Déborah c'est comme une petite soeur qu'on a envie de cajoler, de soutenir, de protéger...
Les références littéraires, les citations sont toujours bien amenées et m'ont conquise !
On m'a souvent dit que la vie c'était comme une boîte de chocolats, moi je pense que c'est en réalité plutôt un sachet de Jelly Beans... Vous savez, tous les matins on en pioche un et on ne sait jamais si on va tomber sur une journée goût fraise des bois ou saveur poubelle... Et bien Déborah elle vous livre sa vie, entre bonheurs et malheurs, en actes et en pensées... Elle est courageuse et elle affronte tout cela la tête haute, avec sa famille, ses amis, ses béguins. Mention spéciale à la relation mère-fille, tellement belle malgré les épreuves...
En bref que vous soyez ado ou adulte vous allez forcément adorer j'en suis sûre, alors lisez-le c'est un petit bijou de fraîcheur enjouée qui fait tellement de bien !
Lien : http://place-to-be.net/index..

Très bonne lecture avec ce roman pour adolescent ! Je l'ai dévoré en deux jours tellement j'ai trouvé l'écriture addictive. Pourtant, ce roman n'a rien d'original à voir comme ça : nous suivons Déborah, une lycéenne parisienne comme les autres. Nous suivons son quotidien avec son lot de petits bonheurs et de petits (ou grands) malheurs.

Déborah est une adolescente vraiment attachante. Pétillante, drôle, lucide, je l'ai adoré! Impossible de ne pas l'apprécier tellement c'est une fille géniale. J'ai aimé sa manière de voir les choses, ses réflexions et ses réparties. On la suit dans sa relations avec ses parents, ses amis, ses professeurs.

La vie de Déborah n'est pas toute rose, effectivement sa mère est en dépression et la jeune fille découvre que son père a une amante. En plus de ce cadre familial pas au top, Déborah va vivre des peines de coeur (et bien oui, c'est une ado quoi !), mais aussi se disputer avec sa meilleure amie qui ne pense qu'à son petit copain. Marie Pavlenko décrit parfaitement bien ce mal-être que peut ressentir un adolescent à un moment donné. Déborah est tracassée, se sent mal sans forcément savoir pourquoi. On a qu'une envie, c'est de la soutenir et de lui dire que tout va bien se passer.

J'ai beaucoup aimé l'écriture de Marie Pavlenko! Certaines tournures de phrases m'ont énormément fait rire ! Quelle imagination ! J'ai aimé cet aspect de vie quotidienne qui permet de rendre le personnage de Déborah crédible. On peut se retrouver dans plusieurs des situations vécues par l'héroïne. J'ai vraiment trouvé ce roman frais et réconfortant.

En bref : Excellent moment passé avec ce très beau roman adolescent qui véhicule un message optimiste et réconfortant. Je recommande chaudement !
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Marie Pavlenko signe un roman d'une incroyable justesse qui résonne de sincérité.

Son écriture simple, met en avant les émotions de l'héroïne face aux drames, plus ou moins graves qui s'immiscent dans sa vie. La désertion de sa meilleure amie à cause de son nouveau mec n'apparait plus si problématique en comparaison de la découverte de l'adultère de son père. Elle apparaît même comme une bonne chose en permettant à la jeune femme de se rapprocher de deux garçons : Jamal et Victor, deux amis bienveillants pour lesquels son coeur ne ressent pas la même chose.

L'utilisation de la première personne du singulier permet de s'identifier rapidement à la jeune femme et de vivre avec elle les changements de cette année importante. Malgré le caractère triste de certains évènements, Marie Pavlenko ne plonge jamais son récit dans le misérabilisme grâce à des touches d'humour bienvenues.

Les titres de chapitre, qui font référence pour la plupart à des oeuvres célèbres, rajoute une note d'originalité à l'ensemble de ce roman au combien déjà addictif.
Lien : http://boumabib.fr/2017/08/2..

Jeune ado en quarantaine, j ai passé un tres bon moment de lecture.
Ce livre est rythmé, les personnages attachants, émouvants, énervants.
Les dialogues et situations sont parfois un peu a la gilles legardinier et ca me fait rire.
Une tranche de vie romanesque avec ses joies, ses peines, ses rencontres.
Un beau moment de lecture

J'ai vu cette couverture dorée et constellée de coquillettes sur le comptoir de prêt de la médiathèque jeunesse de ma ville. Elle m'a attirée et s'est retrouvée dans mon sac sans que je m'en rende compte !
Et je ne regrette pas ! Quel roman !
Les personnages sont attachants, l'histoire est prenante. de l'amitié, de l'amour (à sens unique ?), des parents, le Bac, etc. le passage à l'âge adulte en somme, avec tout ce que ça comprend de difficultés et de bons moments. de l'humour aussi.
Et que dire des titres des chapitres ! Tellement bien trouvés !
Un livre que j'ai dévoré, je n'ai pas vu les pages se tourner et défiler!

"Je suis ton soleil".

Un titre pleine page, sur fond doré, constellée de coquillettes.

De qui, de quoi parle l'héroïne?

Quelle est donc cette étoile qui lui montrera le nord?

Déborah est notre héroïne, une adolescente prête pour une rentrée en Terminale.

Les enjeux de l'année?

Se retrouver dans la même classe avec sa meilleure copine Eloïse,

y trouver des garçons intéressants et inspirants,

nouveaux peut-être quitte à se faire surprendre par la vie,

et évidement, le Bac au bout du chemin.

C'est cette drôle d'année qui est imaginée par Marie Pavlenko, ce passage vers un âge adulte bien concret à double-titre, l'âge de la majorité et le sentiment d'émancipation qui l'accompagne.



C'est à croire que cette fameuse année et ce privilège se méritent. Les dés seront jetés dans un ordre inattendu qui feront trainer Déborah des pieds pour démarrer.

Elle ne se trouve pas das la même classe qu'Eloïse et celle-ci ne parle plus que de sa future relation avec Erwann, un élève de la même classe que cette dernière convoitait déja.

Cette expérience qu' Eloïse vit intensément comme une belle obsession fait hélas de l'ombre à leur complicité, mise de côté.

Déborah ne trouve pas le courage ni l'envie (boudeuse, notre Deb) de se confier sur les nouveaux changements qui surviennent dans sa vie familiale.


Son père, très absent, semble faire preuve d'infidélités conjugales et sa mère, qui le soutient dans ses manques de ponctualité aux cercle familial par compréhension ( ou déni, on ne sait pas encore), se lance dans le découpages de magazine tous les jours. Créations ou dépression?

Les démarches mystérieuses de la mère se soldent régulièrement de post-it qui tapissent le miroir de l'entrée, noté d'un même numéro de téléphone.

Furieuse mais contenue ( pas longtemps) et un peu désemparée ( sa professeur de philo lui donnera de sérieux conseils pour ne pas sombrer dans ses notes de classe), Déborah va un peu mener l'enquête pour remettre les branchements et y voir plus clair.


Elle se confiera à deux élèves de sa nouvelle classe, avec qui contre tout attente, ils formeront un trio comme "cul et chemise".

Deux garçons, très différents mais complices, Jamal et Victor.

Jamal est brillant, attentionné, ne manque pas de répartie et collectionne les mygales. Il est loin d'être une beauté, il présente les caractères du nerd sans pour autant en avoir le sens négatif associable. Bien au contraire. Jamal est le ciment du groupe, un personnage adorable avec Déborah, qui ne le lui rend pas toujours, elle s'en rend compte.


Victor a de la culture pop, il n'est pas bête non plus (leurs révisions à trois vont porter Déborah vers le haut), il est mignon (elle va le découvrir par petits détails, l'envisager) et il est en couple avec une certaine Adèle (et flûte).

Si au début, Déborah regrettait sa complicité avec Eloïse, elle finit par passer à autre chose, d'aussi réjouissant et d'inattendu car si on le lui avait dit, elle n'aurait pas misé là-dessus. Eloïse reste toute fois dans les parages.


Voici donc les éléments principaux qui vont animer le volume de près de 460 pages.

Et ce soleil alors?

La quatrième de couverture parle de la bonne providence qui fera passer Déborah au travers des nuages gris.

Rien n'est moins précis et tout est envisageable.

Arrivé à la moitié du tome, l'air va devenir plus dense, les événements plus bouleversants, la pluie se mettra à tomber drue pour notre ado, qui s'accroche avec l'aide de ses professeurs pour réussir sa scolarité, de ses amis pour passer le cap.

Et ce soleil, quand arrive t-il?

Il est déja là, il a divers "visages", c'est une boussole pour certains personnages en mal d'amour et de sens.

Des parents, des enfants, des amis dans la fiction, en quête d'une ancre à la joie de vivre pour tous les jours et les projets d'avenir. Il y a ceux qui veulent rappeler à leur bon souvenir les bons moments au défi des regrets et ceux qui veulent se les créer, juste profiter.

L'auteur insiste sur cette solidarité à différents étages, presque nécessaire, pour donner bon ordre ou ne pas céder, résister aux tempêtes, c'est assez vivifiant.

Il y aura quelques sujets sérieux, durs, bouleversants, abordés sur cette seconde partie, des sujets de l'existence qui feront justement grandir Déborah malgré elle comme nous pouvions l'attendre pour l'histoire.

De très grandes décisions, proportions gardées, réservées à chacun et chacune, Déborah, Eloïse, Jamal, Victor et les parents de Déborah.


Qui est cette jeune Déborah? Sera t-elle notre petit soleil de lecture?

Déborah est une fille décrite comme commune, mais si peu en définitive, du fait de son caractère bien affirmée.

Elle est entière, dit ce qu'elle pense voire trop parfois. Plus par passion qu'un côté "grande gueule" imaginée pour le personnage.

L'auteure n'hésite pas à faire mention de sa cellulite pour la placer dans l'anti-camps des Top model et nous faire sourire, entre gêne tendre et humour mordant.

C'est Déborah qui raconte.

Son ton, celui choisit par l'auteure, est sarcastique, ce qui colle à son esprit, jeune frustrée du moment et son goût des belles lettres aussi.

Déborah adore lire et écrire.

Elle consigne pleins de phrases qui la touchent dans ses carnets et parlent aussi des autres.

Son livre de chevet du moment, "Les Misérables" de Victor Hugo.

Le tome des "Misérables" souvent proposé sur les listes scolaires en ferait fuir plus d'un, car d'un style plus aride qu'un roman jeunesse actuel. Marie Pavlenko arrive à créer une passerelle qui, par le truchement de son héroïne, pourrait motiver à le découvrir comme il le mérite, au delà des parties historiques et du style jugés peu captivants par cette tranche d'âge. Déborah se prend d'attachement pour ses personnages comme nous nous attacherons à elle.



Le ton reste bien celui d'un ado de l'âge choisi, il est bien saisi.

Certaines situations ordinaires mais cocasses, , dans les rapports entre copains ou les conflits de générations, nous font sourire de cette Déborah embarrassée, sans être maladroite, dans laquelle beaucoup de jeunes filles devraient se reconnaitre.

Son auteure l'a pensé obstiné à travers sa sensibilité et au 3/4 du tome, les lecteurs lui souhaiteront de gagner ses soleils comme elle le mérite.

Alors? Bac ou pas Bac en poche?

A découvrir.

Je suis ton soleil est un roman jeunesse qui va illuminer votre vie le temps de sa lecture !

Marie Pavlenko a écrit un roman émouvant, touchant, sincère, plein d'humanité. C'est à la fois une histoire simple qui rappelle de nombreux romans du genre mais elle a su apporter sa pierre à l'édifice avec des personnages attachants. Pour Déborah, l'héroïne, cette année de terminale est capitale car il s'agit de l'année du bac, du choix pour l'avenir et ce alors que sa famille semble traverser une crise.

J'ai tout de suite adoré Déborah du fait de sa maturité, de son humour et de sa fraîcheur. C'est une héroïne parfaite pour ce genre littéraire car n'importe quel adolescent ou jeune adulte peut s'identifier à elle, à ses questionnements, ses peurs et ses réflexions intimes. L'auteure réussit véritablement à dépeindre cette période si difficile de l'existence en mélangeant harmonieusement les moments de rire et de larmes.

J'ai aimé la construction de ce roman avec des titres de chapitres extrêmement drôles et originaux, c'est un roman qui ne cherche pas à être grandiloquent mais toujours à être sincère et vrai. J'ai eu l'impression d'être l'amie de cette jeune adolescente et je ne voulais absolument pas la quitter. C'est un roman à mettre entre toutes les mains : un moment de lumière et de joie !

En définitive, Je suis ton soleil saura vous apporter sourire et bonheur pour bien préparer un été ensoleillé !

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