Près de 4000 pages plus tard Les gestionnaires de l'apocalypse se termine sur les chapeaux de roues. La faim de la terre est aussi intéressant que les deux tomes du milieu mais beaucoup moins intense en évènements. Je m'y suis donc un peu ennuyée, mais aussi parce que j'avais un peu hâte d'avoir terminé cette série. J'ai adorée la série dans l'ensemble mais les quatres milles pages de lectures m'ont usée et à la fin, je n'avais qu'une seule hâte, c'était de le terminer. Mais les 40 dernières pages, rigolotes, valent la peine d'être lu avec attention. 3.5 étoiles pour le tome comme tel, 4 pour la série en entier.
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... La seule chose que je peux vous dire, sous le sceau de la confidentialité, c'est que l'ambassadeur américain a débarqué chez Hammer pour l'engueuler.
- Lequel a engueulé le PM, lequel vous a engueulé.... D'où votre appel pour maintenir vivante la chaîne des engueulades. P.841
- Il a été noyé à quatre reprises? [...]
- Il s'est rendu à huit.
- Et il a été réanimé chaque fois?
- La huitième fois, il a eu moins de chance.
Puis elle ajouta:
- Si ça vous intéresse, je peux parrainer votre candidature à ce club.
- C'est quoi? Les joyeux naufragés? P.565
- J’ai trouvé ça par terre, à coté d’une bouche de métro.
Il les déplia et les aligna sur la table devant Gonzague. Chacun affichait un message différent.
"Un livre, c’est un arbre qu’on a tué.
Brûlez les librairies aux heures d’affluence, ça fera des lecteurs de moins.
Une librairie, c’est un cimetière d’arbres morts.
Un lecteur de moins, c’est des centaines d’arbre de plus. » P. 950
Nous avons passé le stade où nous pouvions nous payer le luxe de nous faire aimer. De toute façon, la plupart des pays nous condamnent déjà. P.449.
Les banalités sont les seules choses qui consolent... parce qu'elles ont passé avec succès l'épreuve du temps. P. 859