Le bien des autres est le troisième tome de la série Les gestionnaires de l'apocalypse et comme le deuxième tome, c'est un succès. Ont retrouve toujours les personnages des deux premiers tomes mais aussi des nouveaux. Il le faut bien, vu le taux élevé de mortalité dans cette série policière intelligente.
Comme le deuxième tome, le bien des autres est excellente. le tout premier, La chaire disparue, manquant vraiment de substances (quel mauvais jeu de mots). L'action se déroule toujours entre le Québec, la Bavière et les État-Unis où les gestionnaires de l'apocalypse, ces criminels de haut niveau, tenterons toujours de formé un nouvel ordre mondial. L'inspecteur-chef Théberge, les clones et les membres de l'Institut tenteront d'enrayer ces plans machiavelique. Quatre étoiles.
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Produire de la liberté, c'est produire de la dissolution. Il s'agit d'une entreprise généralisé de dissolution des traditions, des appartenances, des crispations identitaires ainsi que des fixations morales et idéologiques qui pèsent sur les individus. P.582
Votre seul souci doit être de ne pas atteindre votre niveau d'incompétence. Monsieur Gainsborough n'est pas très compréhensif avec les victimes du principes de Peter. P.65
Je sais que vous la croyez capable de se défendre, mais on ne doit jamais sous-estimer le potentiel de nuisance que possède la bêtise assidue et concertée. P.825
Il y avait plus de six mois qu'elle avait une perruche. Elle l'avait appelée Léon à cause d'un reporter de TéléNat qui ne faisait que picorer dans les lunchs des conférences de presse et répéter les communiqués qu'il y ramassait. P.223
-Il y a une différence entre un éditorial et un bulletin de nouvelles.
-Vous croyez? Vraiment?... La seule différence, c'est que, à la télé, l'éditorial est incorporé aux nouvelles. [...] En prime, il y a des images et des têtes sympathiques, familières, qui nous expliquent tout ça en phrases simples. Que peut-on demander de mieux? P.320