Ce 11 juillet 2016, John Harkness n’imagine pas où il a mis les pieds. De passage à Paris, cet Écossais pense avoir pris place dans une salle de cinéma. Quand une vague de chansons déferle sur lui, le ramenant quarante ans en arrière… de Glasgow aux Highlands.
Un « rock-movie » effréné qui nous embarque dans une course-poursuite avec son passé, jusqu’à la collision frontale avec ses convictions et la vérité.
C'est noir, c'est beau, c'est plein d'espoir, comme une chanson du Boss que je connais bien. Mais franchement, ça n'est pas utile tant le récit nous emmène dans la vie tumultueuse de John Harkness et nous tient par l'intrigue jusqu'au bout. Une belle découverte que cet auteur dont j'ai lu un autre roman aussi surprenant (Le double)
Cosa nostra est le nom de la mafia sicilienne. Elle est surnommée la Piovra (la « pieuvre ») pour ses réseaux tentaculaires. Quel roman évoque ce monde souterrain qui sape les fondations de l'Amérique. (indice : marionnette)