Le fils de l'Ursari

Un roman de voyage et d'expériences pour toute une famille ! C'est l'histoire de Ciprian qui, avec sa famille, change de pays pour une nouvelle vie, mais leurs aventures seront dures mais palpitantes pour se construire dans un pays dont on ne connait pas la langue. L'enfant se découvrira une passion qui mènera l'histoire. C'est un livre bouleversant mais palpitant et captivant, il peut faire rire avec un vocabulaire qui parle aux adolescents, il est par ailleurs très facile à lire.

Marine FELIX.

le fils de l'Ursari, Ciprian, est un jeune narrateur très observateur, il est aussi très intelligent. L'aventure est très accrochante et fait réfléchir sur le cas des migrants et de l'injustice envers eux. Nous avons aimez cette histoire qui est à la fois passionnante mais aussi originale.

Je pense tout d'abord que cette oeuvre a pour but de nous faire réfléchir sur les misères que peuvent vivre les réfugiés. Malgré le fait qu'il n'y ait aucune guerre dans leur pays, les Ursaris sont dénigrés. Cela les pousse à migrer et à faire d'énormes sacrifices pour survivre.
Ensuite, l'auteur veut nous faire réfléchir sur la manière de traiter les réfugiés et la misère qu'ils subissent une fois arrivés en France, alors qu'on leur avait promis richesse et vie heureuse. de plus dans le livre, les passeurs sont rabaissés au niveau zéro de l'humanité c'est-à-dire qu'on les décrit comme des monstres car c'est ce qu'ils sont.
La leçon à tirer de cette oeuvre est qu'il ne faut jamais baisser les bras et qu'il ne faut pas se sous-estimer car il y a toujours un moyen de s'en sortir tant qu'on en a envie.
Théo

Le fils de l'Ursari est un livre magnifique, d'une grande sensibilité, que je recommande à toute personne qui cherche de l'aventure.
Ce livre m'a beaucoup plu, de par son histoire captivante et ses personnages aux multiples ressources qui, même au cœur d'un problème, paraissent remplis de vie.
J'ai été quand même un peut déçu par le fait de ne pas savoir ce que devenait le frère de Ciprian à la fin de l'histoire...
Moi qui préfère les histoires avec beaucoup d’action, pour le coup je dois dire que j'ai bien aimé ce livre même si au début je n’étais pas conquis. Mais plus l'histoire se déroulait plus j'en comprenais le sens. C’est, de plus, une histoire touchante.
Corentin

Le thème du roman ne m'emballait pas à priori et, pourtant, cela a été une bonne surprise. Les personnages sont touchants et hauts en couleurs. Même si le dénouement n'est pas du tout crédible, cette lecture a été un agréable moment et j'en garderai un bon souvenir.

Nous sommes donc en Roumanie, au début du roman, et plus précisément dans une famille d'Ursari, qui sont montreurs d'ours depuis toujours. A la suite d'un enchaînement d'événements malheureux, deux membres de la mafia roumaine proposent à la famille de quitter la Roumanie pour la France, moyennant une importante somme d'argent à rembourser rapidement. Alors que la coquette Vera s'attend à découvrir la luxueuse Paris, ils sont hébergés dans un bidonville en banlieue éloignée. A partir de là, toute la famille doit se débrouiller pour survivre.
Nous suivons plus spécifiquement le parcours de Ciprian, notre héros, qui se découvre une aptitude exceptionnelle pour les échecs, en observant les joueurs du jardin du Luxembourg. Cela va lui permettre de rencontrer quelques personnes bienveillantes qui lui enseigneront les règles du jeu ainsi que l'amour de la langue française.

J'ai été particulièrement séduite par la deuxième partie du roman, à savoir celle concernant l'arrivée de la famille en France. Par exemple, on leur dit qu'on leur a trouvé du travail alors qu'ils découvrent la mendicité. Cela interroge sur les conditions d'accueil de ces populations.

Avis de la documentaliste : encore un livre simple à lire (plus de niveau collège que lycée). Les personnages sont attachants bien qu'un peu caricaturaux. L'intrigue est rythmée et émouvante.

Ciprian est le fils d'un Ursari, de génération en génération les traditions se perpétuent, ce sont des montreurs d'ours nomades parmi le peuple roumain.
Mais les nationalités n'aiment pas les nomades, ici, comme ailleurs alors, Ciprian et sa famille vont devoir laisser leur mode de vie derrière eux et fuir jusqu'en France, là ou on devient riche facilement… à ce qu'on leur a dit…
Gros coup de coeur pour ce roman jeunesse, lauréat du prix sorcières roman ado 2017, et je comprends pourquoi.
C'est dense, c'est prenant, je n'ai pas réussi à le lâcher. L'histoire de Ciprian et de sa famille nous balade entre frissons, rires et larmes .On s'attache tellement facilement à ces personnages qu'on vit pleinement avec eux les évènements qui vont bouleverser leur famille.
On espère pour eux, on leur souhaite le meilleur, on désespère quand ils font les mauvaise rencontres, quand ils sont exploités, escroqués ou manipulés.
C'est peut être un peu gentil sur la fin, mais les 30 dernière pages permettent au lecteur de relâcher la pression et de soufler.
Ahmed.A

Ciprian est le fils d'un Ursari, d'un montreur d'ours. Avec sa famille, ils sont des nomades, ce qui est mal accepté dans la société. Ils changent très souvent d'endroit, se déplacent et vivent dans une caravane.
Un jour, deux hommes vont leur proposer de partir vivre à Paris où il y a du travail et où ils vont pouvoir devenir riches. Cependant, ils se rendent compte que la vie n'est pas si facile qu'ils l'imaginaient. De plus, ils doivent rembourser l' importante somme des frais de leur voyage. Ciprian et sa famille vont faire des petits boulots : Ciprian et son frère vont devenir « emprunteurs » de porte feuille, Vera et sa mère vont devenir mendiantes professionnelles et son père, lui ,va être ferrailleur de nuit.
Ciprian va découvrir « lèzéchek » au jardin du « Lusquembourg ». Ce jeu va le passionner et il va apprendre à y jouer très rapidement. Il va se rendre compte de ses capacités intellectuelles supérieures aux autres, et il va même être scolarisé. Ciprian va se faire des amis qui vont le pousser à participer à des tournois d'échec. Une nouvelle vie va alors commencer pour lui.


Ce roman de jeunesse m'a plu. L'histoire est prenante et intéressante. Elle nous fait voyager émotionnellement entre rire, suspens ou pitié. On s'attache facilement aux personnages, comme Ciprian, Dimitrieu ou Madame Baleine.
En revanche, j'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire, au début, parce que l'histoire avance lentement jusqu'à leur arrivée à Paris (dette à rembourser au plus tôt, arrestation de Dimitrieu, changement de camps). Au cours du livre, on espère que leur situation va s'arranger mais on perd espoir quand ils font les mauvaises rencontres, quand ils sont exploités, escroqués ou manipulés.
La fin du livre m'a un peu déçu. Elle ne nous dit pas si la situation s'est arrangée pour ses parents et pour son frère. J'aurais aimé la connaître.
Grâce à ce livre on en apprend plus sur les Ursari, les montreurs d'ours, qui sont un peuple méconnu.


Brice, le fils de l'Ursari

Les Tchéquémattes


Ce n'est pas son premier roman. Il en a écrit d'autres avant; il a publié «L'oasis»,«Fil de Guerre»,«L'homme du Jardin», etc... Ce livre a été édité par Xavier-Laurent Petit.

Les personnages principaux sont Ciprian, Mme Baleine, Mr Énorme, Mme Beaux Yeux et Mr Fil de Fer. Ciprian est mineur, il est mince, Fil de Fer est mince avec des longues jambes, Mme Baleine est grosse comme Mr Énorme, Mme Beaux Yeux a des beaux yeux. L'histoire se déroule à Paris.

C'est une famille qui a adopter un ours et le frère de Ciprian le combat a main nue pour impressionner les spectateurs, pour gagner de l'argent mais un jour une BMW s'arrête devant la caravane de la famille de Ciprian pour leur faire signer un contrat pour partir à Paris avec 10000 leikis chacun ils réfléchissent,et la deuxième personne qui était sorti de la voiture le signe a leurs place la famille du faire partir leur ours car ils ne pouvaient pas l'emmener à Paris.Puis une fois arrivé a Paris ils devaient les rembourser.Un jour ils virent un camion à côté de leurs campement,ils allèrent vers le camion et il y eu une personne qui dit qu'il a trouver du travail
pour les cinq personnes,Ciprian devait voler de l'argent donc il alla à côté du campement cette ville s'appelait Lusquenbour et il vue Mr Énorme et Mme Baleine a joué au échecs et matte.Il revins a chaque fois tous les jours.Un jour Mme Baleine demande de venir le soir dans un café pour faire une partie d'échecs. Ce jour quand il y alla Mme Baleine n'était pas toute seule elle était avec Mme Beaux Yeux et Mr Fil de Fer pour aider Ciprian aux échecs et pour l'école chaque jour il alla à l'école avec sa soeur Vera l'après midi il faisait un partie d'échecs. Un jour soudain Mme Beaux Yeux décida de adopter Ciprian et Vera, Mr Fil de Fer inscrit Ciprian à un tournois d'échecs il gagna tous ses matchs.

Ce livre est un roman Fantastique et société.

Ce livre m'a plus parce-que Ciprian est intéresser par les échecs et par l'école et se retrouve dans une classe avec différente personnes qui viennent d'un autre pays.Ce livre fait rire et fait réfléchir.
Je met 4\5.

Je recommande ce livre pour ceux qui aime rire,faire des échecs et aller à l'école,car cette histoire
m'a fait rire pour les surnoms qu'il donne aux personnages.

J'ai trouvé que ce livre était assez intéressant et que l'histoire était originale comparée à d'autres livres, car ce n'est pas une histoire commune.
Cette histoire donne envie de lire la suite.
Ce que j'ai bien aimé c'est que la famille change de ville du jour au lendemain et ils changent totalement de métier.
Tous leurs nouveaux métiers sont totalement différents.
Ceci a fait un rebondissement dans le livre.
Hugo C

Le Fils de L'Ursari n'est pas un livre que l'on oublie facilement. L'histoire est touchante et on se rends compte des conditions de vie de ces personnes. Ils sont rejetés par la société, doivent changer d'endroit en permanence...Ou tombent entre les mains de "faux passeurs" qui ne sont intéressés que par l'argent. Je ne connaissais pas du tout ce métier et ses traditions liées, mais j'imagine qu'ils y a beaucoup d'ursaris en Roumanie (le pays d'origine de Ciprian), et dans d'autres pays. Ce doit être pour eux de trouver de trouver un autre travail. Je trouve ça bien que dans l'histoire, Ciprian et sa famille s'en sorte (plus ou moins). Cela montre qu'il y a de l'espoir, même si Ciprian doit surtout son salut à son talent pour les échecs (alors qu'il a appris à en jouer tout seul, ce qui est incroyable).
Artémise

Ciprian est un fils d'Ursari, de montreur d'ours. Comme toutes les familles Ursari, ce sont des nomades mal acceptés dans la société. Ils vont vivre à Paris où on leur a dit qu'ils deviendraient riche. Cependant, la vie n'y est pas si facile qu'ils le pensaient. Ciprian et son frère deviennent "emprunteur" de porte-feuille, sa soeur « mendiante professionnelle » et son père travaille de nuit. Une après-midi, alors qu'il "travaillait", Ciprian se retrouve dans le jardin du "Lusquembourg". Il découvre alors le jeu "tchèquématte » pour lequel il va alors se passionner…

J'ai beaucoup aimé ce livre. J'avais du mal à accrocher au début mais quand on est lancé, c'est très difficile de s'arrêter. Ce livre m'a particulièrement plu car je trouve qu'il est assez actuel. En effet, la famille de Ciprian est une famille de migrants et on suit leurs problèmes de la vie de tous les jours dans un bidonville, en particulier avec ceux qui les ont fait passer en France.