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EAN : 9782809479430
152 pages
Panini France (27/11/2019)
3.8/5   5 notes
Résumé :
Mark Waid (Black Widow, Captain America) poursuit sa prestation sur la série Doctor Strange. Pour l'épisode anniversaire (le 400e consacré à Strange), il est accompagné aux dessins par le trop rare Kevin Nowlan (Moon Knight, Man-Thing). De retour de l'espace, le Sorcier Suprême Stephen Strange découvre qu'il doit faire face... au Docteur Strange ?! Et comme si ce mystère n'était pas suffisant, un ennemi surgit de son passé et menace Greenwich Village.
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Doctor Strange by Mark Waid Vol. 1: Across the Universe (épisodes 6 à 11) qu'il faut avoir lu avant. Il comprend les épisodes 6 à 11, initialement parus en 2019, tous écrits par Mark Waid. Javier Pina a dessiné et encré les épisodes 6 à 8, avec l'aide de Andres Guinaldo pour les dessins des épisodes 7 & 8. L'encrage a été complété par JP Mayer, Andy Owens, Roberto Poggi, Keith Champagne. Les épisodes 9 à 11 ont été dessinés et encrés par Jesús Saíz, avec l'aide de Javier Pina pour l'épisode 11. La mise en couleurs a été réalisée par Brian Reber (épisodes 6 & 7), Jim Campbell (é7), Andrew Crossley (é7), Carlos Lopez (é8), Jesús Saíz (é9 à é11), Rachelle Rosenberg (é11). Les couvertures ont été réalisées par Kevin Nowlan. le tome se termine avec 4 histoires courtes également écrites par Mark Waid et dessinées par Butch Guice (5 pages), Kevin Nowlan (8 pages), Daniel Acuña (5 pages), Tom Palmer (une illustration en double page).

Ayant terminé leur voyage dans l'espace pour réapprendre la magie, Doctor Strange rentre chez lui au 177A Bleecker Street, toujours accompagné de Kanna (Pkzkrfmknna). Alors que cette dernière commence à ironiser sur le faible niveau technologique, Stephen Strange lui propose de passer à la cuisine. Mais avant qu'ils ne puissent quitter la pièce, un autre docteur Strange armé d'une épée leur intime de sortir de sa demeure et les repousse soudainement à l'extérieur par un sort bien senti. Stephen Strange demande à sa cape d'arrêter la chute de Kanna, et fait appel à Catta pour arrêter la sienne. L'autre docteur Strange est également sorti et le combat s'engage. Bats (le chien fantôme) fait son apparition et s'en prend à Kanna. Dans la confusion, Stephen Strange a réussi à passer derrière l'autre Strange et il lance un sort qui révèle la véritable identité su Strange qui attendait dans la demeure. Cette personne en profite pour prendre la poudre d'escampette avec un sort adéquat. Bats se range au docteur Strange venu de l'espace et à Kanna.

Strange explique à Kanna que lorsqu'il a révélé l'identité de l'imposteur, il lui est apparu un flash de souvenirs, parmi lesquels figurait le démon mineur Laroximous Boneflayer. Il l'invoque : ce n'est pas lui qui apparaît, mais sa compagne. Elle indique à Strange qu'elle présume qu'il est venu récupérer ce qui lui appartient. Elle lui colle d'office sur le front un paquet de souvenirs. Strange vacille sous l'effet de la remémoration. Il identifie la jeune fille qui apparaît : Casey Kinmont qui fut brièvement son apprentie. Elle avait été capturée par un démon appelé Virilian. Il ne comprend pas comment il a pu oublier Casey. Kanna remet une baguette de seconde vue à Boneflayer, en paiement du service rendu. Boneflayer ajoute alors qu'en fait Stephen Strange n'a jamais cessé de rechercher Casey Kinmont, au point d'en délaisser ses responsabilités de sorcier suprême. Il avait été rappelé à l'ordre par Laroximous lui-même lors de la manifestation de Jundo, un démon très puissant, déjà bien avancée dans sa conquête destructrice de la Terre.

Le lecteur avait été pris par surprise avec le premier tome : des dessins magnifiques de Jesús Saíz, et une histoire étonnante dans laquelle Mark Waid envoyait Doctor Strange dans l'espace, milieu peu habituel pour ce superhéros magicien. Il ajoutait une nouvelle camarade pour Strange, ainsi qu'une raison perspicace pour justifier qu'il se serve d'une arme blanche. L'horizon d'attente du lecteur s'en trouve donc ainsi défini, espérant retrouver plus de la même chose. Il commence par constater que Jesús Saíz ne dessine que 3 épisodes 6, et avec l'aide d'un autre artiste pour les dessins. le lecteur comprend que ce soit le prix à payer pour que Saíz puisse disposer du temps nécessaire pour réaliser ses planches, sans sacrifier à leur qualité. Dans les premières pages, Javier Pina est plus que méritant : sans atteindre le niveau de Jesús Saíz, il réalise des dessins léchés, tout à fait dans le même esprit, avec une mise en couleurs substantielle de Brian Reber. Mais au bout de 3 pages, le combat débute, et le lecteur ressent que les cases deviennent moins denses, et la mise en couleurs plus commune. Par ailleurs il se produit une fluctuation dans l'encrage des traits de contour qui deviennent un peu plus rugueux. Une autre fluctuation se produit dans l'encrage en cours d'épisode 7 et encore une autre en cours d'épisode 8, le lecteur en a la preuve quand il consulte la liste des encreurs ayant travaillé sur ces 3 épisodes, au nombre de 4. La narration visuelle est donc moins inspirée et moins soignée que celle du premier tome, voire elle s'apparente à des comics de superhéros banals lors des affrontements, avec disparition des décors dans les arrière-plans, et décharges d'énergie impersonnelles en lieu et place de sorts visuellement différenciés.

Cette baisse de qualité dans la narration visuelle semble être en phase avec un scénario lui aussi moins inspiré. Mark Waid a l'élégance de ne pas faire poireauter les lecteurs pendant 107 ans pour dévoiler ce qui se cache derrière l'existence de 2 Doctor Strange. Il ramène Casey Kinmont, un personnage qu'il avait créé et mis en scène dans la minisérie écrite par lui : Strange: The Doctor is Out (2009) avec Emma Rios. L'intrigue est assez dense avec la révélation de l'identité de l'imposteur, de ses motivations, de la raison pour laquelle Stephen Strange avait perdu sa capacité à utiliser la magie (fait constaté au début du premier épisode de la série) et avec une brève apparition de Karl Mordo. Mais la narration donne l'impression de ne pas creuser ces éléments, de surtout mettre en place des situations pour préparer la suite. du coup, le lecteur éprouve l'impression d'emmagasiner des informations pour plus tard, en regardant des combats banals pour que les auteurs remplissent leur quota d'action. Il se retrouve donc très surpris par la nouvelle direction prise par le récit à partir de l'épisode 9, et ravi du retour de Jesús Saíz.

Jesús Saíz revient dans une forme éblouissante : des dessins aux finitions extraordinaires jusqu'au photoréalisme, une mise en couleurs naturaliste qui nourrit les formes détourées, améliore la distinction entre les différents éléments et les différents plans des cases, et un usage élégant et pertinent des effets spéciaux réalisés à l'infographie. Outre le plaisir des yeux présent à chaque page, le lecteur ralentit sciemment sa lecture pour prendre le temps d'admirer le spectacle extraordinaire : l'intérieur sens dessus dessous de la demeure de Strange, les jeux conjurés par Strange pour s'occuper d'enfants (avec une licorne), le monstre de la société Eldrichan, Yao en train de regarder des enfants jouer sur une pente herbue en montagne, le service de comptabilité du coût de la magie (une vision incroyable), les Faltine en train de ravager New York, Kanna avec un bazooka de sa fabrication, etc. le lecteur se régale d'un spectacle inventif, soigné, avec des personnages hauts en couleur, des effets spéciaux au service des créatures surnaturelles, des affrontements, des sortilèges. En outre, Mark Waid semble avoir retrouvé l'inspiration. Tout remonte à 10 ans en arrière quand un promoteur immobilier avait commencé à acheter les propriétés de Bleecker Street, avec des méthodes honnêtes, mais aussi des opérations d'intimidation musclées. Mais il y a aussi le fait que Stephen Strange n'a pas voulu croire que la première loi de la magie s'applique à tout le monde y compris lui : la magie a un prix, littéralement. Or vu l'usage libéral qu'il en fait sa dette est immense et il va falloir commencer à payer. le scénariste retrouve sa verve et sa capacité à trouver des angles originaux, à défaut d'être vraiment inédits, pour mettre en scène la magie et ses règles.

Ce tome se termine donc par 4 histoires courtes pour fêter le quatre centième épisode (en cumulé) de la série. La première histoire est très convenue : sauver un garçon prisonnier d'une dimension magique peu accueillante. Butch Guice est en petite forme : il ne bâcle pas ses dessins, mais il ne s'investit pas dans toutes les pages. La deuxième histoire revient à la rencontre entre Stephen Strange et l'Ancien, le baron Mordo étant déjà son apprenti. Mark Waid se montre à la fois respectueux des origines de Strange, à la fois facétieux dans la manière de se moquer gentiment de son égocentrisme, et Kevin Nowlan est en pleine forme pour des dessins racontant l'histoire clairement avec un travail savoureux sur les expressions de visage. L'histoire suivante raconte quel genre de rêves peut faire Nightmare. La chute est facile, mais les dessins de Daniel Acuña transportent vraiment le lecteur ailleurs. Enfin Tom Palmer réalise un dessin en double page rendant hommage à plusieurs phases de la vie du personnage.

La première moitié de ce deuxième tome fait dire au lecteur que l'éditeur Marvel a encore une fois mis le paquet sur le début de la série pour hameçonner le lecteur, puis a drastiquement réduit le budget pour la suite. En fait, après 3 épisodes chargés mais quelconque, la deuxième moitié du tome retrouve l'excellence du premier, avec une histoire inventive et drôle et des pages magnifiques.
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Ce tome fait suite à Dr Strange, tome 1 : Sorcier suprême de la Galaxie (épisodes 6 à 11) qu'il faut avoir lu avant. Il comprend les épisodes 6 à 11, initialement parus en 2019, tous écrits par Mark Waid. Javier Pina a dessiné et encré les épisodes 6 à 8, avec l'aide de Andres Guinaldo pour les dessins des épisodes 7 & 8. L'encrage a été complété par JP Mayer, Andy Owens, Roberto Poggi, Keith Champagne. Les épisodes 9 à 11 ont été dessinés et encrés par Jesús Saíz, avec l'aide de Javier Pina pour l'épisode 11. La mise en couleurs a été réalisée par Brian Reber (épisodes 6 & 7), Jim Campbell (é7), Andrew Crossley (é7), Carlos Lopez (é8), Jesús Saíz (é9 à é11), Rachelle Rosenberg (é11). Les couvertures ont été réalisées par Kevin Nowlan. le tome se termine avec 4 histoires courtes également écrites par Mark Waid et dessinées par Butch Guice (5 pages), Kevin Nowlan (8 pages), Daniel Acuña (5 pages), Tom Palmer (une illustration en double page).

Ayant terminé leur voyage dans l'espace pour réapprendre la magie, Doctor Strange rentre chez lui au 177A Bleecker Street, toujours accompagné de Kanna (Pkzkrfmknna). Alors que cette dernière commence à ironiser sur le faible niveau technologique, Stephen Strange lui propose de passer à la cuisine. Mais avant qu'ils ne puissent quitter la pièce, un autre docteur Strange armé d'une épée leur intime de sortir de sa demeure et les repousse soudainement à l'extérieur par un sort bien senti. Stephen Strange demande à sa cape d'arrêter la chute de Kanna, et fait appel à Catta pour arrêter la sienne. L'autre docteur Strange est également sorti et le combat s'engage. Bats (le chien fantôme) fait son apparition et s'en prend à Kanna. Dans la confusion, Stephen Strange a réussi à passer derrière l'autre Strange et il lance un sort qui révèle la véritable identité su Strange qui attendait dans la demeure. Cette personne en profite pour prendre la poudre d'escampette avec un sort adéquat. Bats se range au docteur Strange venu de l'espace et à Kanna.

Strange explique à Kanna que lorsqu'il a révélé l'identité de l'imposteur, il lui est apparu un flash de souvenirs, parmi lesquels figurait le démon mineur Laroximous Boneflayer. Il l'invoque : ce n'est pas lui qui apparaît, mais sa compagne. Elle indique à Strange qu'elle présume qu'il est venu récupérer ce qui lui appartient. Elle lui colle d'office sur le front un paquet de souvenirs. Strange vacille sous l'effet de la remémoration. Il identifie la jeune fille qui apparaît : Casey Kinmont qui fut brièvement son apprentie. Elle avait été capturée par un démon appelé Virilian. Il ne comprend pas comment il a pu oublier Casey. Kanna remet une baguette de seconde vue à Boneflayer, en paiement du service rendu. Boneflayer ajoute alors qu'en fait Stephen Strange n'a jamais cessé de rechercher Casey Kinmont, au point d'en délaisser ses responsabilités de sorcier suprême. Il avait été rappelé à l'ordre par Laroximous lui-même lors de la manifestation de Jundo, un démon très puissant, déjà bien avancée dans sa conquête destructrice de la Terre.

Le lecteur avait été pris par surprise avec le premier tome : des dessins magnifiques de Jesús Saíz, et une histoire étonnante dans laquelle Mark Waid envoyait Doctor Strange dans l'espace, milieu peu habituel pour ce superhéros magicien. Il ajoutait une nouvelle camarade pour Strange, ainsi qu'une raison perspicace pour justifier qu'il se serve d'une arme blanche. L'horizon d'attente du lecteur s'en trouve donc ainsi défini, espérant retrouver plus de la même chose. Il commence par constater que Jesús Saíz ne dessine que 3 épisodes 6, et avec l'aide d'un autre artiste pour les dessins. le lecteur comprend que ce soit le prix à payer pour que Saíz puisse disposer du temps nécessaire pour réaliser ses planches, sans sacrifier à leur qualité. Dans les premières pages, Javier Pina est plus que méritant : sans atteindre le niveau de Jesús Saíz, il réalise des dessins léchés, tout à fait dans le même esprit, avec une mise en couleurs substantielle de Brian Reber. Mais au bout de 3 pages, le combat débute, et le lecteur ressent que les cases deviennent moins denses, et la mise en couleurs plus commune. Par ailleurs il se produit une fluctuation dans l'encrage des traits de contour qui deviennent un peu plus rugueux. Une autre fluctuation se produit dans l'encrage en cours d'épisode 7 et encore une autre en cours d'épisode 8, le lecteur en a la preuve quand il consulte la liste des encreurs ayant travaillé sur ces 3 épisodes, au nombre de 4. La narration visuelle est donc moins inspirée et moins soignée que celle du premier tome, voire elle s'apparente à des comics de superhéros banals lors des affrontements, avec disparition des décors dans les arrière-plans, et décharges d'énergie impersonnelles en lieu et place de sorts visuellement différenciés.

Cette baisse de qualité dans la narration visuelle semble être en phase avec un scénario lui aussi moins inspiré. Mark Waid a l'élégance de ne pas faire poireauter les lecteurs pendant 107 ans pour dévoiler ce qui se cache derrière l'existence de 2 Doctor Strange. Il ramène Casey Kinmont, un personnage qu'il avait créé et mis en scène dans la minisérie écrite par lui : Strange: The Doctor is Out (2009) avec Emma Rios. L'intrigue est assez dense avec la révélation de l'identité de l'imposteur, de ses motivations, de la raison pour laquelle Stephen Strange avait perdu sa capacité à utiliser la magie (fait constaté au début du premier épisode de la série) et avec une brève apparition de Karl Mordo. Mais la narration donne l'impression de ne pas creuser ces éléments, de surtout mettre en place des situations pour préparer la suite. du coup, le lecteur éprouve l'impression d'emmagasiner des informations pour plus tard, en regardant des combats banals pour que les auteurs remplissent leur quota d'action. Il se retrouve donc très surpris par la nouvelle direction prise par le récit à partir de l'épisode 9, et ravi du retour de Jesús Saíz.

Jesús Saíz revient dans une forme éblouissante : des dessins aux finitions extraordinaires jusqu'au photoréalisme, une mise en couleurs naturaliste qui nourrit les formes détourées, améliore la distinction entre les différents éléments et les différents plans des cases, et un usage élégant et pertinent des effets spéciaux réalisés à l'infographie. Outre le plaisir des yeux présent à chaque page, le lecteur ralentit sciemment sa lecture pour prendre le temps d'admirer le spectacle extraordinaire : l'intérieur sens dessus dessous de la demeure de Strange, les jeux conjurés par Strange pour s'occuper d'enfants (avec une licorne), le monstre de la société Eldrichan, Yao en train de regarder des enfants jouer sur une pente herbue en montagne, le service de comptabilité du coût de la magie (une vision incroyable), les Faltine en train de ravager New York, Kanna avec un bazooka de sa fabrication, etc. le lecteur se régale d'un spectacle inventif, soigné, avec des personnages hauts en couleur, des effets spéciaux au service des créatures surnaturelles, des affrontements, des sortilèges. En outre, Mark Waid semble avoir retrouvé l'inspiration. Tout remonte à 10 ans en arrière quand un promoteur immobilier avait commencé à acheter les propriétés de Bleecker Street, avec des méthodes honnêtes, mais aussi des opérations d'intimidation musclées. Mais il y a aussi le fait que Stephen Strange n'a pas voulu croire que la première loi de la magie s'applique à tout le monde y compris lui : la magie a un prix, littéralement. Or vu l'usage libéral qu'il en fait sa dette est immense et il va falloir commencer à payer. le scénariste retrouve sa verve et sa capacité à trouver des angles originaux, à défaut d'être vraiment inédits, pour mettre en scène la magie et ses règles.

Ce tome se termine donc par 4 histoires courtes pour fêter le quatre centième épisode (en cumulé) de la série. La première histoire est très convenue : sauver un garçon prisonnier d'une dimension magique peu accueillante. Butch Guice est en petite forme : il ne bâcle pas ses dessins, mais il ne s'investit pas dans toutes les pages. La deuxième histoire revient à la rencontre entre Stephen Strange et l'Ancien, le baron Mordo étant déjà son apprenti. Mark Waid se montre à la fois respectueux des origines de Strange, à la fois facétieux dans la manière de se moquer gentiment de son égocentrisme, et Kevin Nowlan est en pleine forme pour des dessins racontant l'histoire clairement avec un travail savoureux sur les expressions de visage. L'histoire suivante raconte quel genre de rêves peut faire Nightmare. La chute est facile, mais les dessins de Daniel Acuña transportent vraiment le lecteur ailleurs. Enfin Tom Palmer réalise un dessin en double page rendant hommage à plusieurs phases de la vie du personnage.

La première moitié de ce deuxième tome fait dire au lecteur que l'éditeur Marvel a encore une fois mis le paquet sur le début de la série pour hameçonner le lecteur, puis a drastiquement réduit le budget pour la suite. En fait, après 3 épisodes chargés mais quelconque, la deuxième moitié du tome retrouve l'excellence du premier, avec une histoire inventive et drôle et des pages magnifiques.
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