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3,51

sur 712 notes
J'avais eu un énorme coup de coeur pour le premier tome "Demain les chats", mais je doit avouer que ce tome là m'a laissé perplexe.
En effet, pour moi il y a quelques choses qui manque, comme ci il n'était pas abouti, trop précipité, pas assez de rythme. de plus, le personnage de Bastet m'a vraiment agacé tout le long du roman... Elle est vraiment insupportable ! Alors voilà, dans ce roman il ne se passe pas grand chose, l'histoire devient redondante, les seuls moments que j'ai vraiment apprécié c'est les passages de l'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu, qui est très intéressant et m'a mine de rien appris pas mal choses ! J'adore Werber, notamment pour son livre "La boîte de Pandore" qui pour moi, à été une réussite. J'adore le côté scientifique qui met dans ses romans, c'est toujours juste et très captivant ! Mais dans ce tome, j'ai pas vraiment compris pourquoi c'était aussi plat, la malédiction du deuxième tome sûrement.. Même si je n'ai pas été emballé par ce tome, je pense tout de même lire la suite car je suis vraiment curieuse de savoir la fin mot de l'histoire. Et puis, jusqu'à ce tome, Monsieur Werber ne m'avait pas déçu donc je me doit de lui laisser sa chance.
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Je n'ai pas été particulièrement emballée par ce roman.
J'ai retrouvé le style de Weber, avec ses extraits de l'encyclopédie du savoir absolu et relatif que j'avais découvert dans le cycle sur l'humanité et qui coupent l'histoire.
Mais ici ce sont des chats qui ont la parole. Et plus je tournais les pages plus l'histoire me lassait... Pourtant j'aime bien les uchronies, mais essayer de ressentir la dévastation du monde après des guerres civiles terribles entre humains au travers de chats qui se prennent pour des sauveurs, ça n'a pas pris sur moi.
Et le personnage principal : bon sang cette chatte imbue de sa personne. Je l'ai détestée !
Bref, je ne lirais pas de sitôt un roman de Bernard Weber.
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Mon Dieu mais quel navet. Offert par ma tante uniquement pour sa couverture, c'est le premier Werber que je lis depuis la trilogie des Fourmis lorsque j'avais 14 ans, et je dois dire que bien m'en a pris. Déjà à l'époque j'avais trouvé que les deux derniers tomes de nos amis les insectes étaient grotesques (le procès olfactif, un grand moment de gêne...) mais j'avais avec le temps fini par oublier pourquoi je les avais trouvé affolant de niaiserie.

Heureusement, comme pour le rappel d'un vaccin il ne m'a fallu que quelques pages pour me souvenir de quoi il en retourne: style plus que léger, bêtise confondante de la plupart des situations, personnages aussi creux qu'antipathiques, dialogues souvent involontairement comiques, savantes leçons de vie distillées au Pazerfaust, ficelles de scénario dignes de cordes d'arrimage de porte-avion, abondance de passages aussi salaces qu'inutiles de toute évidence placés là pour cocher la case "sexe" dont il est démontré qu'elle fait vendre, et surtout cette prétendue critique de la société humaine par les yeux des chats qui se voudrait aussi fine que définitive mais qui tombe encore plus à plat qu'un oeuf dans une poêle en raison de sa superficialité paradoxalement abyssale. Bref, une lecture pénible quand on pense au nombre de livres de qualité qui ne trouveront jamais leur public alors que ce genre de pantalonnades occupe le sommet des ventes...
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Lue suite à un coup de coeur de la couverture et je ne regrette franchement pas . Je n'ai pas lu le tome 1, on m'a dit que cella n'était pas obligatoire. C'est une expérience nouvelle de lire un livre de ce genre de point de vue, mais ce qui est sur c'est que le message de fond passe tout aussi bien, voir mieux. Beaucoup d'humour sur fond de tellement de vérité qu'on ne peux qu'être transporté dans l'univers de Bernard Weber
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Pas de coup de foudre sur ce second opus, dystopie racontée par une chatte horripilante a l'ego sur-démesurée. Rien de neuf, que des clichés : la fin du monde humain par l'homme lui même, la prise de pouvoir par les animaux de laboratoire, ... Hélas il y aura une suite ....
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Werber et ses idées originales, on aime ou on n'aime pas. Personnellement , j'adore! Je suis toujours demandé d'où venaient ses idées. J'ai lu ce roman très rapidement, ce qui est généralement bon signe, et on se plonge littéralement dans les péripéties de Bastet et de sa servante.. Vivement la suite!
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C'est toujours un plaisir de retrouver le conteur enchanteur Bernard Werber chaque automne. Un rythme effréné dans ce roman à l'allure de fable. Beaucoup d'humour et de messages de coexistence entre les humains et le reste du vivant.
Je suis ravi de retrouver un membre de la famille Wells et l'ESRA devenue ESRAE.
Retrouver des articles de l'Encyclopédie déjà parus dans les autres romans de Bernard Werber n'est pas répétitif selon moi mais cela s'inscrit dans une logique de construction d'idées. C'est comme un nautile qui construit sa coquille, plus grande et plus solide de page en page, de livre en livre. Merci Bernard!
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Bof bof, la suite de ''Demain les chats'' m'a déçu. On retrouve les mêmes ''héros'' avec Bastet qui a des ambitions quelque peu démesurées.
On laissera à l'auteur le mérite de l'imagination avec des rencontres pas que bestiaires (cochons, chiens, taureau, faucons, perroquet,) et quelques humains scientifiques. Tout cela n'atteint pas les sommets de la littérature, malgré l'usage de montgolfière ou d'un dirigeable. On s'en trouve ''pigeonné'' au propre comme dans l'histoire.

Ce qui sauve la mise : le recours aux passages de l'encyclopédie du savoir absolu, étayant divers sujets abordés dans le récit.

Pas certain de lire la suite des chats ...
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Nous nous retrouvons aujourd'hui avec le deuxième tome du cycle des chats de Bernard Werber. Dans ce livre, nous suivons l'épopée de la chatte Bastet, que nous avons découverte dans le premier tome. Bastet est une chatte tout ce qu'il y a de plus agaçant : autoritaire, de mauvaise foi, orgueilleuse, possessive, bref elle a tous les défauts du monde. C'est à travers elle que nous explorons le nouveau monde : un monde dévasté par la guerre civile puis par la peste, où les humains sont en voie de disparition et où les rats sont devenus la plus grande menace. A la tête de quelques survivants chats et humains, Bastet va tout faire pour trouver la solution qui les débarrassera définitivement des rats et qui fera d'elle la reine de la nouvelle civilisation chat. Accompagnée de Pythagore, le chat qui a accès à Internet, et de Nathalie, sa servante humaine, elle va vivre de grandes aventures pour trouver du renfort : elle va monter dans une montgolfière, assister à un procès tenu par des porcs, accéder à la connaissance et à une de ses vies antérieures, vaincre sa phobie de l'eau, et bien plus encore.

Werber nous livre une vision futuriste et moraliste, j'ai un peu eu l'impression de retrouver les fables De La Fontaine ou même un échos de la ferme des animaux de George Orwell. Comme toujours il mélange les genres, et avec lui il ne faut vraiment pas se poser de question sur l'absurdité de telle ou telle idée, il faut juste lire et se laisser porter par l'histoire. Si certains passages sont amusants, cet amusement est toutefois contrebalancé par des leçons de morale sur l'impact de l'humanité sur la Terre et les autres espèces, et cela peut tout à la fois agacer et faire réfléchir. Certes l'homme est loin d'être parfait, mais j'ai trouvé que l'auteur aimait ressasser toutes ses erreurs et les renvoyer au visage du lecteur. J'aurais aimé qu'il mette moins de prises de conscience et un peu plus de fun, de légèreté dans son histoire. Un peu plus de points positifs concernant les actions de l'homme, également, même s'il en a mis quelques-uns au fil des pages.

C'est donc une immense fable ponctuée de morales que nous livre Werber ici, à travers l'oeil du plus grand animal de compagnie de l'homme : le chat. J'aime beaucoup suivre les aventures de Bastet, ses réflexions sur l'humanité et sur toutes les choses qui traversent sa route, bien qu'elle me soit vraiment insupportable. Les idées scientifiques, mythologiques, philosophiques ou spirituelles qui parcourent ce roman sont encore une fois appuyées par Edmond Wells et son Encyclopédie de Savoir Relatif et Absolu, ouvrage de référence de l'auteur, et j'aime toujours autant ces interruptions dans l'histoire pour apprendre de nouvelles choses.

Je regrette par contre certaines redondances dans le discours de Bastet, et un style qui manque un peu de fluidité, dans le sens où l'auteur veut tellement raconter des choses et émettre des prises de consciences, que j'ai l'impression qu'il délaisse ainsi un peu son histoire. J'ai néanmoins hâte de voir comment tout cela va se terminer dans le dernier tome, La planète des chats !
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Un véritable coup de coeur. Je lis du Werber depuis plusieurs années. Autant le premier tome m'avait perturbé, autant celui ci m'a passionné du début à la fin. Je vais lire la suite très rapidement. Un auteur que j'apprécie beaucoup. j'ai quasiment lu tous ces livres
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