L'abbé Pourcher, plus de 120 ans après les faits, reconstitue, mois après mois, les ravages effectués par celle que nous n'appelons plus que "Bête du Gévaudan" et les efforts effectués par parvenir à sa mort. Il a compilé avec patience, en se plongeant dans les archives, les courriers, articles, actes de décès ponctuant cette période trouble de 1764 à 1767. Sa qualité ecclésiastique l'amène à croire à un Fléau envoyé par Dieu. Toutefois, il note, avec conscience, que les "bêtes" tuées tiennent plus du loup que du diable.
Au lecteur de se faire une idée sur cette énigme encore peu clairement élucidée.
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