Une bande dessinée parue en 2007 et consacrée au chanteur charismatique des Doors.
The end c'est surtout un des morceaux phares des Doors avec des paroles quelques peu … provocatrices.
Vu le titre, l'histoire commence par la fin : le 3 juillet 1971. C'est le jour de la mort de
Jim Morrison dans son bain à Paris. Nous découvrons dans cette BD la naissance du groupe, son ascension et la naissance d'un mythe mais aussi la lente dérive vers toujours plus de provocations et de moins en moins de show et de plus en plus de sexe, alcool et drogue. Quelques extraits, nous replongent aussi dans son enfance.
L'auteur revient sur les faits marquant de ce groupe fabuleux de la fin des années 60. Pas de révélations fracassantes juste un extrait de l'histoire connue de tous les aficionados.
La façon dont
Romain Renard l'aborde est ce qui en fait le charme, les événements y sont relatés de manière non chronologique. Jim n'est pas toujours ressemblant par contre la colorisation fortement imprégnée dans la couleur marron rend bien cette descente irrémédiable aux enfers.
Me revient une soirée ou nous avions battu en final les premiers du classement ce qui permettait à notre club de hand de montée en division supérieure. Alors jeune homme, lors de la troisième mi-temps, j'ai découvert les Doors. Je revois notre gardien de but au petit matin écouter en boucle "Light my fire", dansant assis sur une chaise au milieu de la pièce déserte.
Come on baby light my fire
Try to set the night on fire