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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
A la mort de son père, Carl Martin hérite de sa maison.
Dans une armoire il découvre une curieuse collection, toute une quantité de médecines douces.

« La mère de Carl lui avait recommandé de tout jeter. C'était de la camelote, au mieux inoffensive, mais aussi peut-être dangereuse. Pourtant, il ne jeta rien, car il n'avait pas le courage de s'en charger. »

Sans se soucier du conseil de sa mère, Carl vend à une amie des gélules amaigrissantes. Elle est retrouvée morte chez elle quelques jours plus tard.

Pour améliorer ses revenus de jeune écrivain, il décide de louer l'étage de la maison. Son locataire, un homme qui inspire confiance, va pourtant devenir son pire ennemi et va hanter ses jours et ses nuits. La vie de Carl jusqu'à présent paisible va devenir cauchemardesque.

Un bon suspense psychologique mais une situation que j'ai trouvée plutôt invraisemblable. Il est difficile de croire qu'en toute insouciance on puisse donner des médicaments à une amie sans en connaître au préalable les éventuels risques.
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La lecture de cet ultime roman de Ruth Rendell m'a laissée la même impression mitigée que nombre de ses précédents ouvrages.
Elle triture psychologiquement ses protagonistes en les plaçant dans des situations improbables et, généralement, leurs trajectoires se croisant, un dénouement inattendu intervient.
Ici, Carl, récent auteur d'un surprenant succès de librairie, hérite de son père une maison dans Maida Vale, quartier huppé de Londres. Il décide d'en louer le dernier étage car il devine que son talent d'écrivain est éphémère et il a besoin d'argent pour vivre. Or, son locataire, à l'honnêteté dirons-nous particulière, est témoin d'une transaction entre Carl et une amie actrice au sujet de comprimés amaigrissants. Quand cette actrice meurt d'overdose, le locataire se transforme en maître-chanteur et la vie de Carl devient un enfer...

Mon principal problème avec les romans psychologiques de Ruth Rendell, et surtout avec celui-ci, est que je ne crois pas aux situations initiales. Pour moi, personne ne réagit comme Carl. Son comportement est totalement irrationnel du début jusqu'à la fin. En arriver à de telles extrémités à cause d'une broutille... Et comme le début ne me paraît pas crédible, je ne suis même pas surpris par tout ce qui advient à Carl. Tout au long de la lecture, je ne suis pas dans l'histoire mais plutôt à côté. Dommage !
Dommage aussi de ne pas avoir fourni avec ce roman un plan de Londres et un autre de ses lignes de bus parce que, excepté pour les lecteurs londoniens, toute cette visite détaillée de Londres est inutile.

"Les coins obscurs" est le dernier roman de Ruth Rendell et nettement pas le meilleur. Pour ceux qui souhaiteraient découvrir son oeuvre je conseillerais de se pencher plutôt sur son précédent "Celle qui savait tout" ou sur d'autres plus anciens comme "Le journal d'Asta", "L'été de Trapellune", "Le maître de la lande", ou ceux qui sont devenus des films "L'analphabète", "L'homme à la tortue" ou "La demoiselle d'honneur". Surtout, éviter sa série de romans policiers avec l'inspecteur Wexford ! Ça ressemble à du cosy mystery mais c'est très très lent et assez inintéressant.
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c'est le premier livre de Ruth Rendel que je lis
la quatrième de couverture était alléchante
malheureusement, je n'ai pas ressenti le suspens psychologique
ce n'était peut-être pas le bon moment pour le lire
dommage
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Avec ce roman psychologique, je termine ma lecture de l'oeuvre de Ruth Rendell. Il était dans ma PAL depuis longtemps mais je le laissais traîner car c'était mon dernier à lire d'elle.
Comme ça a été le cas quand j'ai lu ses derniers romans, cette lecture n'a pas provoqué l'enchantement que j'ai pu ressentir pour d'autres de ses livres, le journal d'Asta, par exemple.
On retrouve la finesse dans la psychologie des personnages, la situation a priori anodine, mais qui fait basculer une personne ordinaire dans un noeud de problèmes...
La fin, cependant, est assez différente de celle de ses autres romans, et elle m'a bien plu.
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