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3,19

sur 527 notes
Yasmina Reza nous sert des tranches de vie sous forme de petites nouvelles qui s'imbriquent. Ça pétille d'humour, d'émotions, de frustrations, de regrets.

Des pans de vies quotidiennes où l'on retrouve les déceptions de la vie matrimoniale, le poids des années, la peur de la mort, l'incapacité à trouver le bonheur. D'autres plus graves avec des thèmes tels l'inceste et l'adultère.

Certains chapitres sont marqués de l'adage « tout passe, tout lasse » avec des interrogations sur le sens des relations et des passages à vide dans les existences, de la complexité humaine qui ne se réduit à aucun principe de causalité.

Yasmina Reza crée des instantanés très justes de ce que nous sommes, maladroits et désirants humains.

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Il ne vous a pas échappé qu'une des stars de cette rentrée littéraire de janvier est Yasmina Reza. Les premiers articles élogieux fleurissent dans la presse qui pense et lit bien (avec l'aide des attachés de presse des éditeurs), avec en tête de pont la une du "Monde " de vendredi et deux pages à l'intérieur.
Fine plume du théâtre, c'est certain qu'elle a le ticket auprès des journalistes. Mais "Heureux les heureux" son nouveau roman, est-il vraiment le chef d'oeuvre annoncé ? Est-il comme le dit "Le monde" le rire de la rentrée ? Son plus beau texte ? (Là, on ne s'engage pas trop. La formule est forte mais à quel niveau sont ses livres précédents ? )
Je ne vais pas tergiverser longtemps : j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, mais de là à ce qu'il soit inoubliable, il y a un pas que je ne franchirai pas.
Il est indéniable que Yasmina Reza a une jolie plume, qu'elle sait manier le verbe, les mots avec dextérité, qu'elle excelle dans l'observation du quotidien. Elle n'a pas son pareil pour disséquer ces petits moments de tous les jours, en faire surgir toutes les sous-couches, les non-dits. Que ce soit une après-midi de courses dans un hyper-marché, les conversations dans une salle d'attente pour une radiothérapie, un tournoi de bridge ou la descente dans la folie d'un ado qui se prend pour Céline Dion, tout lui est bon pour disséquer ses personnages, leurs travers, leurs angoisses, leur humanité mais surtout mettre en évidence leur extrême solitude.
Ce qui jaillit de ce roman, c'est l'Homme, en plein XXIème siècle, même pourvu de smartphones, même et surtout en famille, même avec des amants, des maîtresses, est inexorablement seul, face à une vie finalement pas si belle et mesquine, qu'il devra supporter jusqu'à la mort. Ce n'est pas bien gai, malgré la pointe d'humour permanente qui se faufile dans ces petits sketches.
Je parle de sketches, j'aurai pu dire nouvelles aussi, car ce livre met en scène une bonne dizaine de personnages, qui ne sont reliés entre eux que par des liens infimes. Chacun parle à tour de rôle, parfois deux fois, et raconte un événement particulier où d'autres protagonistes peuvent s'y trouver ou pas. D'où une grande multiplicité de lieux, de micro-événements mais aussi de personnages, éclairés différemment, révélant quelquefois des facettes divergentes. C'est un jeu littéraire plaisant et bien maîtrisé mais dont le procédé l'emporte un peu trop sur le fond. Oui, il y a beaucoup de subtilités dans la pertinence de ce regard. Oui, Yasmina Reza a une imagination débordante pour rendre passionnante chaque situation des plus banales aux plus originales. Mais
La fin sur le blog
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Ce livre ne m'a pas déçue, mais je suis loin de penser qu'il m'a plu.
En fait, c'est terrible, il m'a collé un bon gros cafard.

Tout d'abord, le style moderne, les points de vue alternés, les supers critiques, ce bouquin avait tout pour me plaire et me faire passer un bon moment. Or, quel triste panel Yasmina Reza nous distribue ! Une joyeuse bande de bourgeois aigris, désabusés, qui pensent être malmenés par une vie confortable… Trop dur !
J'ai pensé pendant toute ma lecture : « Mais quelle horreur, pourvu que cet échantillon ne soit que fictif, il ne peut pas y avoir autant de nazes dans la vraie vie… » Certes, la plupart sont attachants, quand même, et il se dégage d'eux une grande humanité, mais celle-ci est trop « cliché », et leur mauvaise foi, leur mauvaise volonté, leur égoïsme finit par me sauter à la gorge et me dégoûter.
Je ne pense pourtant pas être une experte en bonheur, et je n'ai pas la vanité de la réussite, mais j'ai vraiment eu de la peine de constater lugubrement que tous ces personnages se sont lamentablement plantés et perdus et qu'ils font le mal, autour d'eux, à eux-mêmes, à l'humanité (oui, je sais, j'extrapole).
Les thèmes abordés, pfffffffff… Mensonges, désamours, infidélités, mort, hystérie… ça va un moment, hein. Je lis pour le plaisir, moi, pas pour regarder mon voisin comme un enfoiré. de plus, il se dégage un véritable mépris du bonheur, de la recherche du bonheur et de sa pérennisation. Heureux les heureux, mon oeil ! Au bucher les heureux, plutôt ! Au moins, l'avantage de cette lecture, et c'est peut-être le but recherché, c'est que je me suis trouvée merveilleusement bien dans ma pauvre vie : j'ai trouvé mon amour, mon quotidien, mon travail, mes passions tellement en accord avec moi-même !

Quant au style, j'étais encore vierge de cette auteure, je pense que je ne réitérerai pas l'expérience. La parodie du « moderne » : des phrases trop courtes, déconstruites à souhait… Comme si la pensée humaine ne se résumait pauvrement qu'au sujet/verbe/complément, et encore. Passe encore, si c'est le style du personnage, mais là, c'est quand même 18 personnes, pourtant bien différentes les unes des autres, qui nous offrent l'ennui d'une telle uniformité de pensée.
Dommage, je pense que Yasmina Reza se voulait incisive pour démontrer le véritable visage des gens, cela aurait été encore plus fort si leur malheur commun était ressorti avec différentes formes.

Cela dit, je n'ai pas passé un moment exécrable non plus, quelques pages du livre m'ont touchée, je l'ai fini, et je ne l'ai pas revendu. Il faut dire que je suis bonne lectrice autant que je suis bon public. Je suis aussi très souvent de bonne humeur. Trop peut-être pour savourer ce livre.
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Pas gai du tout ce livre et comme me disait un "poussin", zen : "une série de clichés et de préjugés".

Eh! bien en ayant ENFIN !!! Terminé, je le rejoins.

- L'ennui à deux - Négation de toutes joies - aucun bonheur ne dure jamais !

- Couples fatigués - vieillesse désespérante !

- Couples libertins - Mésentente - Silences pesants !

"Quand vous lisez en espérant que cela vous détourne d'une *merde* quelconque qui vous est arrivé ; Immanquablement un mot, un nom surgit et vous replonge dedans".

" Une constellation moderne de personnages confrontés à l'impasse sentimentale".

Pas gai je vous dis !

Heureusement le soleil était là , à travers les rideaux pour dire "la vie est belle et peut être rieuse " Seule ou à Deux !
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J'ai été surprise de découvrir que ce livre n'était pas un roman mais plutôt des nouvelles même si il y a un lien entre les personnages des différentes nouvelles. j'ai également été surprise par le ton et message de ce livre, je m'attendais à trouver un livre optimiste, un livre sur" les heureux "et bien non pas du tout !
N' étant pas une fan des nouvelles , j'ai moyennement adhéré. Je reconnais toutefois que les sentiments, les liens entre les personnes sont décrits avec une certaine justesse et il m'est arrivé de sourire ou encore de penser " c'est tout à fait ça !" mais globalement, je ne garderai pas ce livre en mémoire très longtemps.
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Quand j'ai vu les 67 critiques alignées sur le livre de Yasmina Reza, j'ai failli renoncer, puis finalement en les lisant je me suis dit pourquoi ne pas en ajouter une 68ème ?
Comme dirait mon ami l'Ecclésiaste, s'il était encore parmi nous, «vanitas vanitatum omnia vanitas», j'ai donc cédé à ce mouvement naturel et humain.
Un peu comme les héros de Heureux les heureux. Yasmina Reza nous entraîne dans un microcosme qui ressemble à celui dans lequel nous évoluons chaque jour. Nous y retrouvons nos parents, nos amis, nos enfants, les enfants de nos amis, le travail, les loisirs, notre appartement ou notre maison, celle des autres, ce que nous croyons, et ce à quoi nous ne croyons pas ou plus, la religion, les courses au supermarché le soir ou le week-end, les médecins, la mort, la vie, enfin tout quoi !
Odile et Robert Toscano, Lionel et Pauline Hutner, Vincent Zawada et sa mère, Marguerite Blot la prof d'espagnol et son prof de maths d'amant Jean-Gabriel Vigarello, fan des Beatles qui a poussé en graine (en mauvaise graine), Rémi Grobe le consultant qui a réussi,
L'avertissement de Jorge Luis Borges, en exergue du roman, nous tient lieu de viatique pour ce voyage, «Heureux les aimés et les aimants et ceux qui peuvent se passer de l'amour. Heureux les heureux
Gare à ce qui est vendu comme de l'amour au départ et qui, peu à peu, se transforme en «vie domestique accomplie » : engueulades au supermarché pour avoir acheté un morceau de morbier et oublié que les enfants préfèrent le gruyère insipide ; conflits pour obtenir l'extinction de la lampe de chevet de son épouse chérie qui veut continuer à lire alors que l'on tombe de sommeil ; exaspérations des Hutner devant les réactions téléphonées des Toscano qui se « moquent de notre côté fusionnel » et se gaussent de notre «image de couple confit dans un bien-être asphyxiant ».
Tout ce petit monde est relié, par la supposée amitié « Les Toscano sont nos amis de toujours bien qu'il ne soit pas si facile de maintenir une amitié de couple à couple » dit Pascaline Hutner, «Il aurait fallu que nous puissions nous voir séparément ....ou peut-être même de façon croisée.» l'adultère pointe son nez....
Les états d'âme du couple ne sont rien comparée à leur angoisse face à la lubie de leur fils Jacob. Fan de Céline Dion, il a commencé par l'imiter et avec le temps a finit parse prendre pour elle...
L'avocate Odile Toscano se rend à Wandermines, elle défend une association de défense des victimes de l'amiante, elle a demandé à Rémi Grobe de l'accompagner, elle le présente comme un collaborateur, une couverture idéale pour cacher leur escapade à Douai « Je me suis couché sur elle, je l'ai embrassée, déshabillée, on a fait l'amour avec la gueule de bois et c'était juste la bonne dose de douleur.»
Que dire de Chantal Audouin la «décoratrice d'événements» à la morale défaillante, « quand on rencontre quelqu'un, on ne s'intéresse pas à son état-civil.», elle s'éprend d'un secrétaire d'état, Jacques Ecoupaud, à l'occasion d'un salon à Bercy « la performance française des auto-entrepreneurs. »
Il se présente comme un libertin et un soir lui impose la présence de Corinne, mais Chantal est déçue, «J'attendais le marquis de Sade et j'avais un type vautré qui disait Eh ben, rapprochez-vous les filles !»
Finalement après avoir appris par Thérèse, la femme légitime de Jacques, qu'elle n'est pas sa seule maîtresse, elle commet une tentative de suicide. En sortant du cabinet du docteur Igor Lorrain, elle rencontre « un long jeune homme brun qui a de beaux yeux clair, toujours souriant; Un québécois.» Il prétend s'appeler Céline....
Jeannette Blot, la mère d'Odile, est mariée à Ernest, une figure de la banque française sorti de l'ENA en 1965.
le jour de ses soixante-dix ans, sa fille Odile lui déclare « tu ne t'habille pas Maman, tu te couvres de textiles », et la convainc de refaire sa garde-robe. La séance d'essayage tourne au drame « On ravale toutes ses larmes pendant des années et voilà qu'on pleure sans raison dans un salon d'essayage de Franck et fils ».
De même la leçon de conduite avec sa belle-soeur Marguerite se termine par « La voiture se cabre, percute et racle la barrière blanche. Puis s'immobilise. »
Yasmina Reza nous propose une analyse sociologique d'un clan, d'une tribu, d'une caste où les gens se connaissent et sont reliés par des liens visibles ou officieux.
Ces relations tressent un canevas social dans lequel l'auteur nous promène, nous faisant jouer le rôle d'observateur et de moraliste, n'hésitant pas à jouer avec nos peurs, notre voyeurisme, nos envies, nos dégouts.
Dans l'histoire il y a trois médecins, un cancérologue, Philippe Chemla, un psychanalyste Igor Lorrain et un Cardiologue le Docteur Yaoun, ce n'est pas un hasard s'ils représentent les trois pathologies les plus dévastatrices en France.
Au fil de la lecture, le lecteur effectue des retour arrières, se remémorant les personnages qu'ils a vu décrits dans des postures diverses, chacun est tour à tour, père, mari ou amant, mère, femme ou maîtresse, prof d'Espagnol ou amante, secrétaire médicale ou amante,
partenaire de poker et ami, ami de l'amant, ami de la maîtresse...
A la fin, les pièces d'un puzzle dont la logique a été éparpillée dans les 21 portraits de ce livre qu'on lit avec gourmandise et sans retenue, permettent de dresser une carte complète des parcours, des liens et des entrelacs de ces personnages à la fois sympathiques, pathétiques et détestables.
On peut aussi lire ce livre comme un manuel de savoir vivre, dans la mesure où il agit comme un miroir, déformant certes, mais sans concession, de nos errements de pauvres humains à la recherche du bonheur.
Loula Moreno, l'actrice adulée, cite Pavese :
"les fous, les maudits ont été enfants, ils ont joué comme toi, ils ont cru que quelque chose de beau les attendait"

Lien : http://desecrits.blog.lemond..
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Hasard des lectures et des commentaires! Autant le précédent livre que j'ai lu (La tante Julia et le scribouillard de Vargas Llosa) contenait tout ce que j'aime dans la littérature, autant celui-ci, qui m'a été offert, rassemble tout ce que je déteste: beaucoup de verbiages mis dans la bouche de personnages d'un manque d'épaisseur tel qu'on finit par les confondre (il faut dire qu'il sont nombreux, chacun étant assigné à tour de rôle à la fonction de tête de gondole? chapitre?), le sentiment de suivre une de ces comédies dramatiques françaises adaptées à la mode bobo parisienne (avec passages obligés pour la vraie vie dans un supermarché, dans un hôpital, dans un crématorium avant le retour salutaire boulevard Raspail); la litanie des pensées profondes de quinquas blasés / perdus / rejetés (rayer la mention inutile) de la société libérale...
Bref, je me suis copieusement ennuyée, presque autant qu'à la lecture de "Art". Je sens que je vais me faire engueuler par Télérama...
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Un petit délice ce livre , découpé en 21 tableaux, et qui nous incite, comme dans un jeu de société , à nous souvenir : qui est la mère, qui est la fille, qui est cet ami, ah bon, en fait c'est l amant mais le mari l'ignore. Charmant, le rebondissement et le point de vue des uns et des autres.
Il n'y a pas de divorce, mais tous ces couples , parfois de toute une vie se déchirent , ils n'arrivent pas à se supporter et ils imputent la faute à la nature des femmes ( crédules, jouant aux martyrs, rêvant à l'A tout en faisant tout pour enfoncer l'homme), et à la nature des hommes (volages, cruels, peu fiables et à la fois sans inventivité).
L'interêt du livre de Yasmina Reza c'est de nous faire découvrir au fur et à mesure les connexions entre chaque tableau, entre chaque personnage.
Pas tendres, les scènes de ménage, et parfois caricaturales, mais toujours crédibles, comme la première scène, la sortie en force d'un super marché d' une femme disons pas facile facile.
Eh oui, les femmes adorent vous rappeler que vous êtes décevant , dit le mari.
Et un autre déplore : « les femmes se construisent à l'intérieur d'elles mêmes, des palais enchantés. Vous y êtes momifié quelque part mais vous n'en savez rien ».
Du côté des femmes, celles qui connaissent des hommes mariés ou des coureurs, pas mieux : «  les hommes sont d'une fixité totale. C'est nous qui créons le mouvement. On s'épuise à animer l'amour. « 
Plus drôle encore, un homme parle du grand silence punitif des femmes et une femme reproche «  cette façon silencieuse qu'ont les hommes de vous renvoyer dans le cours du temps, comme s'il fallait nous rappeler à toutes fins utiles que l existence est discontinue ».
Jeu de société, où les protagonistes sont chacun agrippés à leur ego.
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A la lecture de Heureux les heureux, je n'ai pas ri. Je n'ai pas pleuré. Je n'ai pas ressenti d'animosité.Je n'ai pas ressenti d'empathie, pour les personnages essentiels' sur lesquels le projecteur est braqué, ces caractères épinglés sur du liège comme par une entomologiste. Croyant lire des nouvelles' j'ai compris en reconnaissant les mêmes noms au fil des pages que je lisais quelque chose évoquant presque des dialogues de théâtre transposés en récit choral.Cet exercice exécuté avec virtuosité ne m'a pas séduite. Outre la tristesse du propos, la récurrence de la morosité chez ces personnages sans relief a transformé ma lecture en pensum.Or,les décors. les personnages secondaires à peine esquissés , redonnaient une profondeur de champ permettant d'echapper à la sensation d'étouffement produite par le focus constant sur l'histoire que chaque personnage semble se raconter interminablement à lui-même, sans possibilité de prendre du recul. Asphyxiée, je déclare que je n'ai pas aimé ce livre.
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Heureux les heureux. Il y a là un sérieux problème...
On a dans ces nouvelles un plein panier de personnages tous liés de près ou de loin ; soit parce qu'ils sont mari et femme, enfants de, amis, ou seulement une vague connaissance...
Ce qui les réuni absolument tous, c’est l’absence de bonheur. Des personnages au cœur sec de ce bonheur qu’ils avaient pourtant à portée de main. Certains n’ont jamais su le saisir ou pire, alors qu’il était en eux, il s’est retiré comme se retire la sève d’un arbre qui meurt. Désespoir.
Tout simplement, aucun ne s’est montré vraiment doué pour la vie. Sauf peut-être Jacob, mais ce bonheur il a été le chercher dans la vie d’une autre… Désespoir encore.
Pour les affaires, oui, ils sont tous plutôt doués et performants. J'entends par "affaires" la réussite sociale, la triche, le mensonge, le tord fait à autrui, les petites trahisons du quotidien ou les grandes mascarades. Désespoir toujours.
Yasmina Reza est surtout une formidable observatrice qui sait admirablement raconter les sentiments et les émotions. A ce titre, bravo !
Pour l’histoire et les vies entremêlées de ces personnages peu attachants, je me suis ennuyé.
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