Dans ce roman à la première personne, la fille essaie de cerner sa mère, marchant sur la pointe des pieds pour ne pas provoquer de cris, pour la ménager et se ménager elle-aussi par voie de conséquence. Les dialogues au scalpel de l'autrice mettent parfois mal à l'aise dans ce roman aussi difficile à capturer que ne le sont les héroïnes (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/04/17/
mes-fantomes-gwendoline-riley/)
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