Un septième tome qui nous tient en halène, les personnages principaux sont en dangers et on veut savoir comment ils vont s'en sortir, une nouvelle fois.
Néanmoins, durant toute ma lecture, j'avais cette impression de déjà-vu, surtout avec la série ANGE de la même autrice, qui tirait en longueur l'histoire d'Alexanne. Les dialogues traînent aussi en longueur, beaucoup de répliques ne servent pas à grand chose et n'apportent rien à l'histoire, idem pour certaines actions et descriptions. Je suis frustrée par ma lecture car j'ai eu l'impression qu'il ne se passait pas grand chose dans ce livre, on en apprend un peu plus sur l'univers dans lequel évolue Alexanne et ses amis, mais sans plus. Et surtout, j'ai l'impression que l'histoire de base se perd de plus en plus pour ressembler à l'autre série d'Anne Robillard, ANGE. On est d'accord là-dessus avec Laëtitia, et c'est dommage.
Il est toujours aussi plaisant de lire les Ailes d'Alexanne. Ce tome se concentre principalement sur James, un amérindien qui vient aider Alexanne et sa bande à sauver le monde du mal.
Coquelicot se mit aussitôt à voleter devant ses yeux.
- Il a raison, tu sais, lui reprocha la minuscule créature.
- Tu ne vas pas me harceler, toi aussi ?
- les fées ne sont pas sensées s'éloigner de leurs fleurs, Alexanne.
- Mais si je n'y vais pas, il n'y en aura plus, de fleurs. Essaie de comprendre que ma décision n'est pas égoïste, et qu'elle n'est surtout pas destinée à faire de la peine à qui que ce soit. Au contraire, je pars pour que nous puissions survivre.
- Si les humains disparaissaient, est-ce que les fées en feraient autant ?
- J'en ai bien peur.
- Alors massacre tous ces monstres jusqu'au dernier !
- Coquelicot ? s'étonna Alexanne.
- Et s'il y a aussi des fées dans le pays des Bermudes, enrôle-les !
- Tu m'étonnera toujours, toi.
Comment s'appelle la petite fille mauve qui est apporté par la reine de Shola ?