A l'encre russe

Avec à l'encre russeTatiana de Rosnay joue avec son lecteur en finesse et avec humour elle nous fait osciller entre fiction et réalité puisque le beau Nicolas Kolt possède un compte facebook et Instagram où il nous fait partager sa vie d'écrivain adulé .
voilà donc un jeune auteur basculé par le triomphe de son premier roman dans un monde qui n'est pas le sien ,un monde d'argent,d'artifices et de faux semblants;toujours en quête de reconnaissance,accroché à son smartphone comme à une bouée,anxieux de savoir ce que ses lecteurs pensent de lui ,tellement absorbé par lui même et son excroissance de plastique ,qu'il en perd la femme qu'il aime,ses amis ,son identité et sa joie de vivre .
Un livre sur les angoisses de l'écrivain,ses doutes,la difficulté d'écrire après un succès planétaire ,le syndrome de la page blanche...
au fil de ce roman à tiroirs on suivra avec plaisir ce jeune romancier ,beau ,jeune,élégant ,un peu paumé ,un peu triste mais tellement attachant....

Très décevant! pas d'écriture, pas d'histoire...un livre commercial pour atteindre les lecteurs de Marc Levy? d'autant plus surprenant que son roman "Rose" est superbe et délicat...

Nicolas Kolt est un jeune auteur couronné de succès, adulé par ses fans et qui part en Italie pour fêter l'anniversaire de sa nouvelle compagne tout en espérant trouver l'inspiration pour son prochain roman, attendu avec beaucoup d'impatience.
Oui mais voilà derrière ce personnage se cache un homme en proie à ses démons.
Que cache ce beau visage et cette notoriété soudaine? Nicolas trouvera-t il l'inspiration qui l'a quitté ou son oeuvre se résumera-t'elle à un one shot?
Tatiana de Rosnay signe ici un roman sur le thème de l'image de l'écrivain qu'elle n'épargne pas mais aussi les origines familiales et ici en l'occurrence les origines russes en tissant des liens étroits entre quête des origines et travail de l'écrivain à sa table.

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, pour moi, ce livre est le plus mauvais des romans que j'ai lus (8, je pense) de Tatiana de Rosnay.

Il ne se passe rien, je me suis ennuyé du début à la fin, c'est un vide intersidéral ! Il m'arrive d'abandonner des livres en cours de route; certains me tombent des mains. Ce n'est pas le cas ici, je l'ai lu jusqu'au bout, parce que Tatiana de Rosnay écrit bien, que ce livre se lit aisément et que j'espérais une fin digne de ce nom.

Je n'avais pas lu la 4e de couverture et j'avais imaginé, à lire le titre du roman, que l'auteure allait nous emmener en Russie (elle y fait quelques pas, mais si peu) et que l'histoire de l'URSS allait imprégner ce récit, mais que nenni, comme on dit à Liège !

Le héros a perdu son père d'origine russe (voilà où la Russie intervient) quand il était enfant. Un jour, il écrit un roman basé sur son histoire, un roman qui s'avère un best-seller. Depuis, plus rien, il n'a plus écrit une ligne bien qu'il affirme le contraire.

Voilà, l'histoire est résumée. C'est tout. L'auteure emmène ses lecteurs en Italie, dans un palace, pour fêter l'anniversaire de la petite-amie du héros.

Flash back, de temps en temps, on replonge quelques années en arrière quand le héros a fait quelques recherches sur la famille de son père, recherches qui n'ont pas abouti à grand-chose...

Voilà, pour moi, ce livre est d'un ennui mortel. Je n'ai éprouvé aucune empathie pour cet écrivain menteur, paresseux, qui jouit de sa célébrité depuis la sortie du livre.

Un roman que j'oublierai très vite. Désolé, madame de Rosnay !
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Ce n'est que le deuxième livre de Tatiana de Rosnay que je lis, après Manderley forever. J'ai tout de suite accroché à l'écriture de l'auteure. J'aime la description des personnages, le suspense et l'enchaînement de l'intrigue. Un décor paradisiaque, des personnages plus ou moins détestables, on est happé par l'histoire jusqu'au bout.

Surprise

Je suis assez surprise et septique vis à vis de ce livre…
Le début est plutôt décevant, je trouve que le livre commence à nous « tenir » dans les 100 dernières pages.

En revanche, il est surprenant car tout au long de la lecture, on se demande si Nicolas KOLT existe réellement… Après ma lecture j'ai fait quelques recherches. En effet, dans le roman l'auteur est accro aux réseaux sociaux tel que Facebook, l'histoire se déroule sur fond d'évènements réels tel que l'affaire DSK ou le naufrage d'un paquebot de croisière au large des côtes italiennes… J'ai ainsi trouvé le profil Instagram du personnage mais, il s'agit d'un faux profil, Nicolas KOLT n'existe pas. En revanche, la vie de ce personnage est légèrement inspirée de celle de Tatiana de ROSNAY. En effet, Nicolas KOLT a des origines russes et il écrit son premier roman, en s'inspirant de sa vie, suite à une série de problèmes survenue au moment de refaire sa carte d'identité tout comme l'auteure. Et oui, au moment de refaire sa carte d'identité, Tatiana de ROSNAY a du prouver sa nationalité française à cause de ses origines russes. Et tout comme son personnage, elle a connu un grand succès littéraire grâce à un de ses romans (Elle s'appelait Sarah).


Le roman en lui même est très différent de ce que je connaissais de Tatiana de ROSNAY (à savoir Elle s'appelait Sarah) mais, une fois qu'on a commencé à le lire, on veut quand même savoir comment ça se termine.

nul

J'en ai tellement entendu parler.... partout... partout... je n'avais jamais lu #derosnay. Mmmmm, l'histoire paraît passionnante !!! trop hâte de le commencer.... ET... arrêté à la page 188 ! Quelle horreur, je m'ennuyais page après page ! ras le bol ! Autant pour le dernier Douglas Kennedy j'avais insisté et j'avais bien fait et encore, il faisait beaucoup plus que 371 pages. Mais là, je jette l'éponge : pas envie pas envie pas envie ! c'est d'un ennuie mortel !!!
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Je n'ai pas du tout aimé : ni compris les tenants et aboutissants...du temps de perdu à lire ce livre à mes yeux

Roman. le monde de l'édition. Ses pièges et ses surprises. Un personnage principal "Nicolas" superficiel et limite misogyne. Je n'ai pas été emportée par le livre comme pour les précédents.