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2,9

sur 560 notes
Suite à l'énorme succès de « Elle s'appelait Sarah », j'ai souhaité poursuivre ma lecture avec une oeuvre de Tatiana de Rosnay. Malgré la fluidité de l'écriture, l'histoire m'a ennuyé, moi qui comptais me laisser transporter à travers la culture Russe, animée par le mystère des origines du héros. Au lieu de cela, nous sommes face aux déboires et états d'âme d'un écrivain qui est devenu célèbre 3 ans auparavant. Une célébrité qui lui a monté à la tête et l'a éloigné de son entourage et ses valeurs.
Il se retrouve dans un complexe luxueux pour retrouver l'inspiration. Il m'a fallu attendre plus de 300 pages pour enfin arriver à une lecture motivante. Un dénouement au cours duquel Nicolas Kolt fait preuve d'audace, lui qui a fui sa propre réalité dès le début du livre. Cette fin est assez contradictoire avec ce que nous avons appris sur le héros. C'est dommage.
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A l'encre russe de Tatiana de Rosnay est ce genre de roman ou l'on ne sait pas réellement quoi dire après lecture. C'est un roman qui ne m'a pas spécialement marquée mais qui ne m'a pas réellement déçue non plus.
Ce roman raconte l'histoire de Nicolas, romancier, qui dès la parution de son premier livre, connait la gloire et la célébrité et voit son oeuvre se propulser en tête des ventes. On va alors le suivre, pendant un weekend, et comprendre qui il est et ou il trouve son inspiration.
Autant le dire tout de suite, le livre est lent, ou en tout cas c'est ce que j'ai ressenti. En effet, on suit le week-end de Nicolas Kolt durant 370 pages, et malgré des retours en arrière sur son enfance, le temps paraît ne pas passer.
Ensuite, on apprend à le découvrir, lui et son livre, ce qui franchement a eu le dont de m'exaspérer. En effet, Nicolas est un personnage obnubilé par sa célébrité, son propre confort et accro aux réseaux sociaux en tout genre desquels il ne décroche pas, ce qui franchement m'énerve, mais qui malheureusement sur ce point, reste le portrait de beaucoup de monde. Son égocentrisme a le don de nous hérisser les poils, certes, mais va également nous amener à prendre conscience que fasse au succès inattendu de son roman, ce personnage est aspiré dans un torrent de publicités, de promotions et de contrats en tout genre qui conduisent à l'éloigner de sa passion première, l'écriture, et le piège dans "une overdose de luxe".
Le secret de famille, qui reste tout de même le but premier de cet oeuvre, n'est à vrai dire, pas des plus captivant. En effet, je m'attendais à quelque chose de plus saisissant, quelque chose qui allait plus loin que les simples informations données dans le roman.
En conclusion, ce livre est bien écrit, mais est assez loin des autres livres de cette auteure qui m'ont eux, beaucoup plus captivés.
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Ca se lit... Un peu déçue pour "un" Tatiana de Rosnay
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Ce n'est pas bon et je me suis ennuyée. Aucune originalité.
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Ma deuxième lecture avec de Rosnay (j'avais lu Boomerang que j'étais sûre d'avoir chroniqué ici et je me rends compte à l'instant que non...), j'en ressort avec une sensation assez confuse et un avis mitigé.

A la fois j'ai aimé ce récit centré sur l'écrivain, son travail, ses inquiétudes, ses relations avec les éditeurs et les lecteurs... C'est intelligent, bien écrit, souvent drôle et très réaliste ce qui sauve le roman à mes yeux.
Parce que pour le reste j'ai peiné, vraiment. J'ai eu du mal à suivre Nicolas, cet anti-héros antipathique et creux. Son égo, sa vanité, son arrogance malgré ses craintes et incertitudes m'ont vite lassé.
Si on ajoute le cadre de fuite dans un palace, j'en garde un sentiment de vacuité assez marqué.

Il y a des passages vraiment creux où l'ennui guette et qui ont considérablement ralenti ma lecture (j'en cru que je n'en verrai jamais la fin !), entrecoupés de scènes plus prenantes ou de refléxions intéressantes qui finalement m'ont poussé à continuer.
Petite déception également sur le "secret" du père, servie un peu comme une carotte narrative elle s'avère bien fade...

C'est donc un bilan mitigé. Tatiana de Rosnay a une plume formidable et un grand sens du réalisme, en faisant de son héros un écrivain star chouchou des médias et dont le succès est monté à la tête elle livre son regard sur un monde qu'elle maîtrise et connaît bien. C'est tout le mérite de ce roman et rien que pour ça je suis heureuse de l'avoir lu.
Pour autant, je n'ai pas su apprécié son héros et je suis restée assez distante sans jamais m'impliquer dans ma lecture que j'ai trouvé bien creuse par moment...
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
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Un écrivain victime du syndrome de la page blanche. Nicolas nous fait découvrir son univers au cours de trois jours passés dans un palace italien.
Les allers-retours entre le présent, le passé ; le mélange de l'histoire de Nicolas et de celle de son père gâchent, à mon sens, le roman. Bien sûr la vie de Nicolas a été façonnée par l'absence du Père mais l'auteur nous raconte ceci d'une manière très tortueuse. Cela donne l'impression d'une pelote de laine dont on tire plusieurs bouts pour essayer de démêler l'écheveau.
La quête de l'identité lancée par le jeune auteur à la recherche de son identité familiale semble tout à fait superficielle.
Une note positive, lorsque Nicolas se lance à corps perdu dans l'aide des naufragés
Un livre que j'ai trouvé fade et qui m'a laissée sur ma faim
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C'est le premier Tatiana de Rosnay que je lis. le résumé du livre semblait intéressant, un souvenir de l'adaptation ciné de "Elle s'appelait Sarah" et des coupures de presses tentantes ont motivé cette lecture.

J'avoue avoir trouvé la première partie du livre très commerciale, une écriture très simple, remplie d'humour, mais pas vraiment mon style de prédilection - trop Harlequin à mon goût-.

N'abandonnant pas facilement mes lectures, je me suis accrochée et surprise, vers la page 200, c'est devenu peu à peu intéressant. C'est un bon livre de vacances, à lire sur la plage sans se poser de questions.

Nicolas Duhamel est un jeune écrivain, auteur d'un best -seller traduit partout dans le monde et adapté avec brio au cinéma.
Nicolas a construit son roman sur base autobiographique, à la recherche de ses origines. Il perd son père très jeune, à l'âge de 15 ans, celui-ci a disparu à bord de son bateau, ne laissant aucune trace de lui, ni de son corps.

En renouvelant son passeport, Nicolas doit prouver sa nationalité française, il découvre que son père Théodore était russe et né sous le nom de Fiodor Koltzine. Âgé d'une vingtaine d'années lors de cette découverte, il remontera à ses origines en passant par Saint Pétersbourg. Cela provoquera en lui un déclic qui lui inspirera "l'enveloppe" , son best-seller.

Depuis, la notoriété et la célébrité lui sont monté à la tête. Il est en panne d'écriture, et passe trois jours dans un hôtel de rêve : le Gallo Nero avec sa compagne Malvina. Trois jours sur cette île toscane, loin de tout, dans un cocon pour riches et milliardaires.

Nicolas est devenu obsédé par les tweets, les réseaux sociaux, sa page Facebook, son image est plus importante que tout.

Peu à peu il s'étonne des relations difficiles avec sa mère, son meilleur ami François, son ex... il est déconnecté de la vraie vie et vit la sienne en mode virtuel.

Il se passera des événements durant ce court séjour qui le remettront en question.

Dans ce livre : des questions, des secrets, la vraie vie -virtuelle , artificielle ou réelle - qu'elle est l'influence des réseaux sociaux sur nos vies, qu'est-ce que le bonheur, l'essentiel mais aussi comment retrouver l'écriture un sujet, ne faut-il se recentrer sur l'essentiel???

Lien : http://nathavh49.blogspot.be..
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Parce qu'il parlait de la Russie, j'ai été attirée par ce livre en librairie. Malheureusement, je le finis un peu déçue car je m'attendais à plus de pages à propos du pays pour lequel je me passionne. En effet, même si l'auteur découvre qu'il est à moitié russe, même s'il effectue un voyage de quelques jours à Saint-Pétersbourg, le sujet principal de ce roman n'est pas la Russie. Ce n'est peut-être qu'un détail pour certains, mais j'en suis ressortie frustrée.
Néanmoins, l'histoire m'a plu, car tout ce qui tourne autour du statut d'écrivain m'intéresse. La position de celui-ci, les difficultés qu'il peut rencontrer après la parution d'un premier livre... tout cela est bien décrit dans ce roman et m'a fait l'apprécier.
Le secret de famille, ce thème vu et revu, est bien ficelé entre les moments du présent et des flash-backs.
Un bon roman, donc, je n'ai été déçue que parce que j'avais des attentes particulières.
Il s'agit du premier livre de Tatiana de Rosnay que je lis ; je vais sûrement me renseigner sur les précédents afin de les lire également.
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J'avais lu "le coeur d'une autre" de Tatiana de Rosnay. C'était pas trop mal. Même si on pouvait se douter du rebondissement. Mais là, c'est lourd à lire, on est dans le cliché et ce n'est pas intéressant. On a juste envie de fermer le livre. Voilà qui est fait maintenant
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À l'encre russe. Livre commencé avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, je le termine deux mois après, alors que les combats font toujours rage.
Je n'ai pas accroché à la lecture de ce livre, rien ne m'a fait vibrer. Je n'ai pas vraiment eu de plaisir à le lire. impression d'une succession d'idées, sans vraiment de fils conducteur. Livre assez plat avec un final qui tombe un peu comme un cheveux sur la soupe.
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