l'intérêt de la respiration consciente
La respiration est une fonction autonome : nul besoin de contraindre notre corps à respirer, il le fait seul et de façon automatique. C'est pourtant la seule fonction neurovégétative que l'homme peut aussi contrôler consciemment.
Comment arrêter de penser ?
Il n'existe aucune manière d'arrêter les pensées. Pire, on a la nette sensation que ces occupantes indélicates de notre esprit s'accrochent avec des élastiques : plus on essaie d'éloigner une pensée, et plus elle revient.
On ne peut pas non plus - penser à ne pas penser.
La méditation propose de considérer les pensées pour ce qu'elle sont : des éléments extérieurs à nous, qu'on laisse glisser, tout comme des nuages.
Cette technique est très efficace, cependant elle nécessite un bon entrainement, et il est probable que vous n'arriverez pas à ce détachement très facilement... ce qui pourrait éveiller des pensées d'agacement.
Prenez rendez vous avec vous-même
Que vous ayez décidé de dédier 5 minutes ou 20 minutes à votre entrainement à la sophrologie ce qui dans ce dernier cas est déjà énorme pour commencer, tenez-vous à cet engagement de manière régulière.
Bloquez sur votre le créneau quotidien que vous consacrez, comme n'importe quelle activité incontournable.
Défendez ce précieux créneau horaire !
Le fléau de l'anticipation
L'anticipation est notre capacité à imaginer les circonstances ou l'issue d'un évènement avant qu'il ne se produise. Vous avez bien lu, c'est un mode de pensée - boule de cristal -
Notre prédisposition à anticiper ne poserait pas de problème si elle ne s'effectuait quasiment systématiquement sur un mode négatif.
Ne confondez pas le négatif et le mal. En focalisant sur chaque zone, associez-lui un type de négatif, qui peut être : sensoriel tension, douleur localisée, raideur, pression, blocage, poids, vibration, bouillonnement...ou plus psychologique chagrin, agacement, accablement, lassitude, doutes, déceptions, impuissances...