Harry Potter, tome 1 : Harry Potter à l'école des sorciers

Je fais partie des fans de Harry Potter, de l'école de magie Poudlard-Hogwart et de la lutte contre Vold-heu-Vous-savez-qui. J'étais pourtant déjà (presque) adulte au moment de la sortie des premiers tomes, mais je suis tombée dans la marmite de potion (ah non, ça c'est chez Astérix) : comme beaucoup d'autres, j'ai attendu avec impatience la parution des épisodes suivants, ai commencé à lire en anglais pour ne pas attendre les traductions et ai disserté longuement avec mes amis sur le sujet.

Oui, mais ça c'était avant...
Et maintenant ? C'est ce que je me suis demandée plus de 10 ans après, et c'est pourquoi j'ai décidé de relire la série, maintenant que je suis (encore plus) adulte et que je connais l'ampleur du succès planétaire du petit sorcier, 450 millions d'exemplaires vendus et une multitude de coups marketing, films, parcs à thème, pièces de théâtre, livres illustrés ou sites web dédiés.

Mon verdict, c'est que Harry se défend plutôt bien ! Ron, Hermione, Dumbledore et Rogue-Snape aussi, d'ailleurs. Si j'ai été étonnée (côté négatif) par l'aspect vraiment très enfantin du livre, avec notamment les bégaiements, les queues de cochon ou Hagrid en caricature de gros balourd, j'ai été bluffée (côte positif) par la richesse de l'univers magique créé par JK Rowling.

Dans ce tome de mise en place de l'intrigue, des personnages et des lieux, elle a fait preuve d'une imagination et d'une fantaisie extraordinaires pour créer un monde complet, y compris le cursus scolaire suivi par les petits sorciers, la généalogie des familles célèbres et tous les objets magiques, des baguettes aux balais, en passant par les capes ou les bonbons. L'apothéose de cette création, c'est évidemment Poudlard, réussi jusque dans les moindres détails des personnages de tableaux qui ouvrent et ferment les dortoirs (quand ils sont bien dans les tableaux !), des rivalités entre les différentes maisons et de l'inquiétante forêt interdite.

Alors, même si l'histoire est un chouia décevante quand on connaît les suivantes, Harry Potter est un petit sorcier à découvrir absolument. J'ai chez moi la version 'Folio Junior' des débuts, avec un très joli dessin en couverture, rehaussé de vernis sélectif brillant, qui fait un bel objet-livre pour les enfants et les plus grands. J'imagine que les éditions actuelles sont tout aussi réussies, voire plus. Une dernière petite recommandation pour finir, pour ceux qui parlent anglais, aiment la magie et ne se prennent pas au sérieux : écoutez le podcast 'Oh witch' sur Harry Potter, à coup sûr il vous donnera le sourire !

Challenge Atout Prix 14/xx

Comme beaucoup de parents des années 90, j'ai découvert au début des années 2000 les aventures de Harry Potter, “grâce” à ma fille, qui avait reçu les 3 premiers tomes pour Noël, par une de ses tantes. La curiosité et le bouche à oreille faisant leur chemin, je lui ai emprunté alors le premier livre. Bien sûr je me suis laissé prendre aussitôt, comme presque tout le monde et peu de temps après, j'ai enchaîné avec les autres.

On a dit tout et son contraire sur l'écriture de ce(s) livre(s), “nanan” pour les uns, bêtifiant pour d'autres, navrant encore ou prenant les enfants pour des débiles.
On a parlé aussi d'événement littéraire, de chef-d'oeuvre, de monde magique au sens propre comme au figuré. On a tressé des couronnes de lauriers ou d'épines pour J.K. Rowling, prétextant qu'elle avait plagié J.R.R. Tolkien, ou C.S.Lewis (auxquels on avait fait le même reproche 50 ans plus tôt en parlant du Ring) que n'a-t'on pas dit de bêtises dans des “cercles” dits “littéraires”.
Et en fin de compte, qu'en reste-t-il ? Tout de même un phénomène littéraire qui rien que pour la France s'est vendu à plus de 27 millions d'exemplaires, tous tomes confondus et pour un lectorat tous âges confondus, des enfants aux parents et même aux grands-parents… le plus grand nombre n'a pas toujours raison, certes, mais à ce point, les plus grincheux sont obligés de reconnaître qu'il n'y a pas eu qu'un effet de mode passager. On a dit aussi - et c'est vrai - que grâce aux aventures de ce nouveau héros, des quantités impressionnantes de jeunes ados jusqu'ici réservés à l'idée même de prendre un livre de plus de cent pages se sont découvert une passion pour la lecture. Je pense en outre qu'elle a permis de redécouvrir de nombreux auteurs anciens tels que C.S Lewis avec Narnia, J.R.R. Tolkien avec le Seigneur des Anneaux, et ouvert la voie à de nouveaux, P. Botero avec Ewilan, Ch. Paolini avec Eragon et encore d'autres aussi prolixes. J.K. Rowling a su créer autour de son petit binoclard un univers parallèle poussant la finition jusqu'au moindre détail, vestimentaire, décoratif, vocabulaire, animal, historique, sportif, légendaire…

À l'âge de onze ans, Harry qui ignore tout de ses origines et évidemment de son futur, apprend qu'il doit intégrer une école de sorciers, à l'instar de ses camarades qui eux vont rentrer au collège et/ou en internat dans le monde “moldu”. Découvrant comme le lecteur, qu'il est un futur sorcier, il va entamer des études prévues pour une durée de 7 ans, dans une école nommée Poudlard, approximativement située au centre de l'Écosse, où il est emmené à bord d'un train pas tout à fait comme les autres et avec des futurs camarades pas tout à fait comme ceux qu'il fréquentait auparavant. Dès lors, de surprises en rebondissements il va se laisser porter par les événements qu'il ne maîtrise pas ou peu, “simplement” parce qu'il est devenu - à son corps défendant -, peu de temps après son premier anniversaire, l'ennemi du plus grand mage noir que l'histoire de la magie ait connu, “celui dont on ne doit pas prononcer le nom” et qui se fait appeler Lord Voldemort…

Je ne vous raconterai pas la suite des événements, ce n'est pas mon propos, mais j'ai découvert (grâce aussi aux traductions de J.-F. Ménard) une faculté d'écriture hors du commun, un sens du rythme, un fil conducteur solide et souple et une richesse de vocabulaire, prompts à captiver les lecteurs les plus rétifs. le premier volume n'est pas très important en nombre de pages mais au-delà d'une intrigue accomplie, J.K. Rowling réussit le pari de nous faire entrer complètement, et dans son monde de la magie, et dans tous les codes qu'elle a créés pour servir de cadre à la vie de ses personnages. On ne se contente pas de lire mais on voit le décor et on évolue dans l'histoire tout comme les nombreux protagonistes.

Il a fallu qu'un de mes élèves emprunte Harry Potter à la médiathèque pour que je me souvienne honte à moi que je n'avais pas encore lu cette série alors que double honte les 7 tomes figurent en bonne place sur une étagère de ma bibliothèque.
Quand le livre est sorti, je ne lisais à l'époque pas de littérature de jeunesse. J'avais vu le film au ciné puis les 2 ou 3 suivants. Et puis la peur d'être déçue.

Le tome 1 est lu et je n'ai pas été déçue. J'ai eu un peu peur lors des 50 premières pages. Je trouvais que c'étais un peu lent à démarrer que la magie n'opérait pas mais c'était l'impatience qui parlait.

Le reste fut du grand art.
J K Rowling a imaginé un univers magique d'une richesse inimaginable. Tout est très bien pensé: les jeux de mots avec le nom des profs, les bonbons, les escaliers, les matières enseignées, les différentes maisons, les créatures, le sport et les Moldus... Tout est génial.

Les personnages sont hyper attachants même cette petite peste d'Hermione.
L'intrigue est rondement menée avec du suspense, des rebondissements, du courage, de la jugeote et de la magie.

Vite le 2ème tome.

J'ai découvert Harry Potter lors de sa sortie en "poche" il y a bien longtemps.
C'est un ami que me l'avait offert à mon anniversaire et je n'en avais que brièvement entendu parler.
C'est sans plus de conviction que j'avais alors commencé ma lecture, mais dès
le début l'accroche fut totale.
Je me suis tout de suite immergé dans ce fabuleux récit, Harry ayant qu'un an de moins que moi dans le livre, je me sentais proche de lui, et je vivais donc chacune de ses aventure avec proximité et enthousiasme.
Les personnages sont attachants, les univers "Moldus" et "Sorciers" sont fabuleux, décrits avec grand talent, plongeant littéralement le lecteur au coeur de l'action, on appréhende la rentrée d'Harry à Poudlard, on déteste les Dursley et Hermione nous exaspère.
Que du bonheur!
Hélas la seule vraie magicienne se nomme J.K Rowling, et quelle magicienne...!

J'ai lu et relu l'ensemble de ses oeuvres, attendant avec impatience la sortie de ses bijoux, et me désespérant lors de la parution du dernier tome.

Si vous avez commis l'erreur de ne pas vous plonger dans cet univers , allez-y pauvres fous, peut-être en reste-t-il quelques exemplaires... ;-)

J avais quelque réticence à relire ce premier volume de la Saga Harry Potter, que j ai découvert il y a… 20 ans. J avais peur d être déçue, d être devenue plus exigeante en littérature, mais par dessus tout, d avoir les images des films superposées à ma lecture et des lors de n y trouver aucun plaisir.

J ai commencé la lecture à mon petit garçon,
et finalement je me suis prise au jeu…
et j ai terminé le tome à une vitesse incroyable.

Je comprends pourquoi cela fait plus de 20 ans que les jeunes se l arrachent, qu il y a tout un marketing autour du roman et qu il continue de plaire.

En effet, l univers est vraiment bien construit, avec des personnages charismatiques sans être des stéréotypes, la magie opère sur nous comme sur les sorciers, et on a envie, lorsque l on ferme le livre, de le rouvrir pour retourner à Poudlard, auprès de nos amis et dans ses sublimes décors et son fonctionnement particulier.

L histoires est joliment menée, le fil conducteur est bien ficelé, on veut savoir la suite et il y a des liens entre les passages, ce qui fait qu on a le sentiment également de mener une enquête.

Les valeurs du livres sont intemporelles, l amitié, la fidélité, l amour que l on reçoit de ses parents et qui nous protègent à jamais du mal…

Fort heureusement, je n ai pas eu les images du film dans la tête au long de ma lecture, mais bien les dessins que je m étais imaginés lorsque j avais 11 ans et que je lisais le livre pendant la nuit, alors que je devais dormir depuis un bon moment. Je suis sincèrement agréablement surprise de ne pas avoir été déçue, et d avoir redécouvert ce roman avec plaisir !

Ma fille ainée avait pour devoir de lire ce tome pendant les vacances.
Comme je suis une maman attentionnée j'ai décidé de le relire avec elle.

Et quel plaisir !! Un plaisir toujours intact. la magie de Poudlar et l'écriture de J.K Rowling opèrent toujours. A tel point que je me demande si l'auteur ne se serait pas servie d'encre verte et d'une plume pour écrire les aventures du jeune Harry.

C'est une vraie leçon de vie et d'amitié au travers de cette aventure enchantée.
Et j'en profites pour vous confier un petit secret... j'aurais adoré rencontrer Albus Dumbledore pour son humour et sa grande sagesse. Un être invroyable, a l'écoute des autres

Première incursion dans l'univers littéraire d'Harry Potter, et quel plaisir j'ai eu à découvrir la plume de J. K. Rowling, au point de regretter de ne pas avoir lu la série au moment de sa sortie, avant même de voir les films. Je comprends mieux l'engouement qu'elle a suscité auprès d'un jeune lectorat qui était prêt à attendre beau temps mauvais temps devant les librairies lorsqu'un nouveau tome paraissait. Dès les premières lignes, un humour fin donne le ton, qui m'a fait bien souvent sourire, voire carrément rire, et les trouvailles s'enchaînent. La force du roman réside pour moi dans la qualité des liens qui se créent entre les jeunes personnages et leurs répondants adultes, leur permettant d'affronter tous les dangers, et la vie, à l'instar du jeune lecteur qui en fait l'expérience. Pas surprenant que tant de personnes attendent leur lettre de Poudlard ! Un bel éloge de l'amitié et de la bienveillance. « Et maintenant, voici venue l'heure de la météo, avec les prévisions de Jim McGuffin. Alors, Jim, est-ce qu'on doit s'attendre à d'autres chutes de hiboux au cours de la nuit prochaine ? » (p. 12)

J'ai lu ce premier tome il y a plusieurs années de cela, je dois avouer immédiatement que j'ai été accroché à ce livre d'un bout à l'autre. je débutai dans ce genre de lecture. C'était le premier roman jeunesse que je lisais et je ne me suis jamais arrêté depuis.
J'ai été moins passionné sur les tomes suivants, mais Harry Potter fait pour moi parti de CE qui est à lire absolument. Un univers incroyable dans lequel on se retrouve plongé comme par magie...

J'étais passée complètement à côté du phénomène Harry Potter. Lorsque ce 1er volet était sorti en 98, j'étais dans une période roman noir et ça ne m'avait pas attirée. J'avais à peine plus de 20 ans et n'avait pas tellement envie de lire un roman jeunesse. En disant cela, je ne dénigre pas la littérature jeunesse, je pense simplement que mon enfance était finalement trop proche et j'avais soif de lectures "adultes". 20 ans plus tard, mes envies ont évolué. Peut-être suis-je plus nostalgique de l'enfance, peut-être le fait d'être maman a changé mon regard, en tout cas c'est aujourd'hui avec plaisir que je lis des oeuvres à destination d'un jeune public, ce qui m'a permis de faire de jolies découvertes. C'est d'ailleurs avec mon fils que je suis partie à la rencontre du petit sorcier, ce qui nous a permis de passer de très bons moments de partage, soir après soir.

Il y a déjà plus de 900 critiques, alors je vais la faire courte, tout a été dit.
J'ai beaucoup aimé l'univers créé par J.K Rowling. C'est très inventif, ça fourmille d'idées et de trouvailles. Ce 1er tome pose les bases d'un univers riche en possibilités. Ce volet d'exposition n'est pas avare en action, les héros vivent mille aventures, le rythme est très dynamique. Les personnages sont bien brossés même si c'est assez manichéen. Les héros sont particulièrement sympathiques. Je craignais que Harry soit tête à claques, heureusement ce n'est pas le cas, c'est un garçon attachant et qui a de la personnalité. L'écriture de Rowling est simple et agréable. L'humour est très présent dans le récit. D'ailleurs, je tire mon chapeau au traducteur qui a fait du bon boulot. J'imagine qu'il n'a pas dû être facile de traduire tous ces jeux de mots qui émaillent le récit.

Bref, j'ai beaucoup aimé ce 1er tome et je serai ravie de m'atteler à la suite. D'autant plus, que là aussi ce sera une lecture partagée avec mon fils. Et c'est un grand bonheur que de retrouver, à ses côtés, une âme d'enfant. Ces moments de partage autour d'un livre sont si précieux et le temps passe tellement vite, il faut les savourer.

Challenge Multi-défis 2017 - 29 (item 54 : un livre dont l'action se déroule en milieu scolaire)
Challenge Atout-Prix 2017 - 8 (Prix sorcières 1999 - Prix tam-tam roman je bouquine 1999)

Tin tin, tin tin tin, tin tiiinnn, tiiinnn, tin, tin tin tiiinnn, tin tiiinnn. Je sais j'ai toujours été doué pour les imitations. Et ne me remerciez pas pour avoir à présent la mélodie en tête, c'était cadeau. Bref, passons. Voyez-vous, septembre a toujours rimé avec assiduité à mes yeux. Bonnes résolutions qui ne seront pas tenues (cette fois ça y est j'irai à la salle deux fois par semaines maiiisss ouiiii), promesses de rigueur dans le travail qui ne dureront finalement que quinze jours (certaines années c'était même 24h pour ma part, juste le temps de retrouver la PS4 à la maison) et j'en passe et des meilleures. Mais là, en 2021 après avoir survécu à la terrible pandémie du Covid, les choses sont différentes. Il est l'heure d'amorcer un challenge de lecture. Quoi de mieux pour cela que la saga de notre célèbre sorcier ?

Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, j'en profite pour faire une petite dédicace à mon camarade Yendare qui m'accompagne dans ce périple. Pourquoi un périple ? Car j'ai mis plus de quinze jours à lire le premier tome d'à peine 300 pages et que la moitié des sept bouquins est composée de pavés de 1000 pages. Autant vous dire qu'en 2022 j'y suis encore. Ah oui, si certains voulaient se joindre à nous, ma foi plus on est de fous plus on rit car oui, on débriefe après la lecture entre nous autour d'une bière en gif. Revenons à présent à notre sorcier en herbe qui va, dans ce début de saga, apprendre à se servir de sa baguette magique comme vous du biberon avec votre premier marmot. le saut dans le grand bain quoi.

Y a pas à dire, J. K. Rowling a de l'imagination, et pas qu'un peu. Son univers regorge de créativité et offre une richesse fantasy unique. Des personnages parfaitement développés aux multiples créatures et sortilèges en tous genre, le monde des sorciers n'a pas fini de vous émerveiller. Malgré quelques stéréotypes et une candeur en filigrane néanmoins assumés, l'histoire se suit avec un plaisir intact de bout en bout, sans aucun temps mort ou passage à vide, et je ne dis pas ça parce que ma femme est fan des bouquins ni parce que j'ai le château de Poudlard en Lego. de leur côté, les petites touches d'humour habilement clairsemées ajoutent une note légère à ce monde fantastique qui se démarque ainsi de ses rivaux, souvent (très, trop ?) imprégnés de noirceur.

On ne va pas se mentir, y a pas grand-chose à dire de plus : Harry Potter c'est super cool, c'est tout et j'vous laisse pas le choix. Que vous ayez grandi ou non avec l'épopée du célèbre sorcier à la cicatrice en forme d'éclair, cette lecture du premier volet de ses aventures vous réservera un voyage dépaysant au coeur d'un imaginaire décoiffant. Alors enfourchez votre Nimbus 2021 (faut vous mettre à la page bon sang) et embarquez pour la plus célèbre des sagas fantasy dont la réputation n'est plus à faire. Enfin, sauf si vous vivez reclus dans une grotte au fin fond de l'Auvergne et qu'effectivement vous n'étiez pas au courant. Calmez-vous les Auvergnats je n'ai rien contre vous, je reste juste traumatisé par le Edge là-bas (merde quoi, même pas le H+ au XXIe siècle !).