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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Tout se joue dans un huis clos serré et oppressant, celui du cabinet d'un psychanalyste séquestré par un adolescent au QI très élevé, Elliot, armé, qui lui reproche le suicide de son frère, patient du thérapeute. le risque avec ce type de roman, c'est une narration répétitive qui tourne sur elle-même dans une unique pièce.

Ici, ce n'est jamais le cas tellement le scénario rebondit, machiavéliquement retors, au millimètre près, pour faire douter le lecteur quand l'auteur l'a décidé, ébranler ses certitudes et le mettre mal à l'aise pile au moment choisi. On ne sait jamais qui croire face à l'énormité et l'horreur que déverse Elliot sur un psychanalyste tout aussi sonné que le lecteur, aussi enferré que lui dans le piège qui lui est tendu. David Ruiz Martin est un maître ès manipulation ! La tension monte et explose les compteurs, renforcée par une écriture à la fois brute et travaillée, percutante et toujours très visuelle, voire sensorielle : on sent la haine suintée de tous les pores d'Elliot et la peur envahir le psy.

Mais le plus réussi dans ce roman à la noirceur brillante, c'est sans doute le poids accordé aux mots. La parole est au coeur de la mise en scène narrative. Pour faire vivre ce dispositif minimal, une pièce, deux hommes enfermés, David Ruiz Martin montre à quel point de simples mots, passés d'une personne à l'autre, peuvent vous rendre fou, peuvent vous pousser à commettre l'irréparable, à faire sauter le tabou ultime. Des mots, plus puissants qu'une arme réelle, plus fort que la vérité.

Ma seule réserve porte sur l'épilogue, trop étiré à mon goût. C'est justement lorsqu'on sort du huis clos dans les dernières pages, que la pouvoir évocatoire des mots retombe, que je n'ai plus eu à imaginer ce qui était en train de se dérouler, pour écouter un auteur me donner des explications, certes convaincantes et cohérentes, mais qui ont perdu la magie de l'évocation.

Un roman très sombre, impressionnant par l'intensité qu'il dégage.
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Larry Barney, un psychanalyste, est retenu en otage par un adolescent de quinze ans. Menotté et sous la menace d'une arme, le praticien est forcé d'écouter le récit du jeune Elliot, qui le tient pour responsable du suicide de son frère. Il lui indique que pour connaître la raison de cet acte irréparable, il a mis ses pas dans les traces de son frère. Maintenant, c'est au tour de Larry de connaître le quotidien de celui qu'il n'a pas su sauver, alors qu'il le suivait en thérapie.


Elliot explique qu'il a suivi deux garçons et les a espionnés. Il dépeint une escalade d'actes terribles et de crimes. le psy a la sensation de basculer dans un monde parallèle, composé d'horreurs. Les détails horribles s'incrustent dans son esprit, pourtant, il veut toujours en savoir plus, Elliot l'a bien compris. Alors qu'il déroule son histoire, il resserre l'étau autour du Doc, qui ne sait pas s'il sortira vivant de cette « conversation » : l'arme lui est destinée. À quelle fin ? Les propos de l'adolescent sont insoutenables, il a approché le mal de très près. Comment se relever ? La tension monte de plus en plus, poussant chacun dans ses retranchements. La situation bascule, après certains mots prononcés…


Le face à face entre le spécialiste de la psychologie et l'ado surdoué semble suivre un déroulement précis. Larry sent qu'il perd ses réflexes professionnels, en écoutant celui qui l'emmène où il l'a prévu, sans dévier de son objectif. Les paroles agissent comme la flûte de Hamelin et Larry suit le musicien terrible, entraînant le lecteur avec lui. Cela ne peut que se terminer de façon tragique.


David Ruiz Martin a un talent énorme pour nous faire passer d'un sentiment à l'autre au sujet de chaque personnage. Chacun d'entre eux provoque empathie, pitié, attachement, rejet, effroi, etc. Il parvient, également, à susciter une réflexion. Et nous, comment aurions-nous réagi ? Quel choix aurions-nous fait ? Que pouvons-nous croire ? Quel mal est le pire ? L'auteur nous fait toucher la folie de près et nous effraie au sujet du pouvoir des mots. Il nous fait douter de ce que nous interprétons, et nous ne savons plus que croire, nous laissant exsangues devant la manipulation. Seule la haine est un huis clos oppressant, qui vous mènera dans une dimension que vous ne pouvez pas envisager. Êtes-vous prêt à sombrer dans le précipice ?


Au départ, la fin m'a déstabilisée, mais ensuite, j'ai trouvé qu'elle apportait une pression supplémentaire. C'est le quatrième livre que je lis de David Ruiz Martin et une fois encore, il me pousse dans mes retranchements. J'ai adoré.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Vive le polar suisse !
Après Marc , Nicolas et Florian voici le quatrième larron . Et un sacré numéro autant vous le dire tout de suite ! Avec « Seule la Haine » il met la barre très haut , nous offrant une plongée en apnée dans son univers diabolique .Impossible de ne pas être embarqué par cette histoire incroyable où la tension est palpable à chaque instant ( pour les personnages comme pour le lecteur .
Un roman en forme de (quasi ) huit-clos entre un adolescent de quinze ans surdoué et un psychanalyste réputé . Une terrible confrontation entre Elliott , un garçon très intelligent mais hypersensible , qui souffre de la disparition de son demi-frère - Simon qui s'est suicidé il y a peu - et Larry chez qui Simon était justement suivi . Pour Elliott il n'y a pas de doute possible : si Simon s'est suicidé c'est la faute du Doc qui n'a pas su le soigner correctement . Alors l'ado a bien l'intention de se venger : un pistolet pointé sur Larry il va alors le forcer à écouter son histoire : une histoire à peine croyable mettant en scène deux adolescents , qu'il surnomme Brad et Sam . Deux monstres , capables du pire et d'actes si horribles que l'entendement ne peut associer ces crimes à ces si jeunes enfants …Des heures durant Larry va alors subir les paroles d'Elliott , les photos à l'appui de ses dires et avec lui , disparaitre peu à peu dans un abime infernal .

J'ai été frappé par la qualité de construction du scénario et la puissance des mots déployés par l'auteur dans ce roman . Je ne vous cache pas m'être senti « présent » dans cette pièce à écouter les paroles d'Elliott , ressentir les souffrances du Doc comme si un mal-être avait pénétré mon esprit . David Ruiz Martin réalise un exercice de style parfaitement réussi parvenant à fouiller nos inconscients collectifs , à l'épreuve de la douleur psychologique . Un livre dur , angoissant et d'une noirceur absolu qui révèle au grand jour une sacrée plume .
J'attend , comme vous l'imaginez , avec une grande impatience sa prochaine oeuvre .
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Sur le papier, le roman contient tous les ingrédients indispensables à un thriller réussi : un personnage qui court un grave danger, un tortionnaire sans pitié mais pas sans motivations, une situation qui ne cesse de se corser, des personnages tout en contrastes, qui possèdent tous leur part d'ombre, ainsi qu'un regard noir porté sur l'humanité en général… L'impact du texte est encore renforcé par le fait qu'on a affaire à un huis-clos, dont l'action se déroule presque intégralement dans le cadre exigu d'un cabinet de psychanalyste.

L'étroitesse du point de vue permet à l'auteur d'aborder ses thèmes avec beaucoup de précision. le livre parle de la difficulté d'établir la vérité, et de la manière dont les mots peuvent influencer le comportement d'un individu, en bien ou en mal. La parole qui soigne et la parole qui tue, ainsi que les limites qu'elles présentent toutes deux, servent de fil rouge à l'histoire haletante que l'on nous raconte ici.

C'est d'ailleurs un roman très bavard, et c'est la plus belle de ses qualités. Parce que Elliot, l'adolescent qui prend en otage le psychanalyste, ne fait pas que le menacer : il lui raconte aussi une histoire, celle qui explique ce qui l'a motivé à s'armer et à débarquer ainsi dans le cabinet de ce praticien pour le menacer. Il s'agit d'un récit de plus en plus sombre et violent, qui retrace plusieurs mois de la vie du jeune homme, et qui met en scène certains personnages que son otage connaît, et d'autres dont il ignore tout.

Surtout, ce choix astucieux de l'auteur lui permet d'introduire au sein même du récit un second narrateur, qui s'adresse directement au premier, le psy, qui lui nous raconte l'histoire à la première personne. C'est intéressant pour au moins deux raisons. D'abord, cela renforce l'immersion du lecteur. Il se retrouve propulsé au coeur du récit, dans le cabinet, endossant la peau du psychanalyste sur lequel on pointe le canon d'un revolver. C'est à lui que l'on raconte cette histoire, directement, et il se retrouve ainsi, d'une certaine manière, otage du livre, forcé de tourner ses pages pour en atteindre la conclusion libératrice. Deuxièmement, en choisissant d'insérer une narration à la première personne dans une autre narration à la première personne, l'auteur additionne les subjectivités et nous éloigne de deux crans de la réalité de son récit, libre de nous mener par le bout du nez, une possibilité qu'il ne se prive pas d'explorer.

Malgré les qualités du livre, j'ai trouvé que par moments, certains aspects du récit versaient dans un nihilisme d'opérette qui m'ont un peu fait sortir de l'histoire. Cet Elliot qu'on nous présente comme un adolescent précoce et particulièrement brillant tient un discours sur le monde, univoque et un peu naïf, qui m'a fait penser à celui des gens qui lisent Nietzsche pour la première fois. Ce n'est pas gênant, mais peut-être que le récit aurait encore gagné en crédibilité si l'auteur s'était autorisé à donner à son personnage une voix un peu plus singulière.

Quoi qu'il en soit, « Seule la haine » est un thriller prenant, bien mené, qui use avec habileté des règles de la construction dramatique et qui remplit pleinement chacun des objectifs narratifs qu'il se fixe.
Lien : https://julienhirtauteur.com..
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« Aimer, secourir, accompagner » la devise du psychanalyste…mais est-ce celle de Larry, le narrateur ? Où a-t-il failli ? Quand a-t-il mis au point sa défense sous forme de déni ? Elliot l'accuse de n'avoir rien fait face à la détresse de son frère Simon, alors que ce dernier est passé à l'acte, au suicide. Nous assistons à une véritable prise d'otage quand le petit frère demande au thérapeute de rendre des comptes. Au cours de la nuit, les explications d'Elliot seront de plus en plus précises et convaincantes quand il s'agira de nommer les véritables coupables.
L'auteur, avec un véritable talent, nous perd parmi les fausses pistes toutes aussi convaincantes les unes que les autres, se jouant de nous au fil des retournements de situation pour un dénouement inattendu, cruel et surprenant.
Nous avons entre les mains un roman psychologique extrêmement noir et impliquant. Tous les personnages apparaissant tour à tour victime ou coupable et inversement, c'est tout un cheminement chaotique que l'auteur nous faut suivre. Parviendrons-nous à démêler le vrai du faux ? Quel jugement porteront-nous sur les protagonistes ? Celui de la bonne conscience, celui de la raison, celui de l'amour ?
Cette lecture est prenante et nous interpelle dans nos convictions, nos priorités et nos valeurs. Elle nous secoue à chaque rebondissement et notre empathie alternative est mise à rude épreuve.
Nicolas Feuz dans sa préface nous parle du polar suisse comme une nouvelle espèce en voie de développement : je vote pour ! Belle découverte.

Lien : https://collectifpolar.wordp..
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Et si le lecteur était lui aussi pris en otage par un adolescent dévasté par la peine et rempli de haine ?

Un huis clos haletant et machiavélique !!!

Magistral, un scénario d'une très grande originalité. Ce roman est totalement addictif une fois ouvert. J'ai dévoré ce thriller en une journée.

Elliot, un adolescent de 15 ans, en pleine dépression, prend en otage Larry Barney le psychanalyste de son frère Simon, qui s'est suicidé il y a quelques mois. Elliot estime que ce psy est responsable de la mort de son frère et du drame qui l'affecte.

Cet adolescent possède une intelligence remarquable et une profondeur d'âme qui déstabilisent le lecteur. J'ai eu par moment du mal à croire qu'une personne de cet age puisse avoir une telle noirceur au plus profond de son être.

L'originalité du scénario m'a fait penser au film "the game' de Daniel FISCHER ou encore au roman "Shutter Island" de Dennis LEHANE.

A mon avis, ce roman pourrait parfaitement être adapté au théâtre puisque la totalité de l'intrigue se déroule dans le petit cabinet du psychanalyste.

Roman au scénario ciselé avec des chapitres très court et un rythme d'écriture très haletant.

Merci à Babelio et aux éditions TAURNADA pour m'avoir permis de découvrir ce thriller.

Très belle découverte et véritable coup de coeur. Je recommande vivement ce roman !!!




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Nous sommes ici dans un thriller psychologique à huit clos.
Tout au long de ce roman, le lecteur est pris à témoin d'une séance de psychanalyse étrange entre Larry, psychanalyste et Elliott, 15 ans.
Nous allons de découvertes en découvertes au cours des chapitres qui se succèdent à un rythme infernal. Il est impossible de se fier aux certitudes acquises tout au long de l'histoire.

Injustice, haine et vengeance sont les maîtres mots de ce récit. Alors qu'Elliot rêvait d'aide, secours et accompagnement..

Pour les lecteurs n'ayant pas peur d'affronter la réalité ni de se remettre en question...

Ce livre paraîtra le 10 juin chez Taurnada Editions.
Un grand merci à eux pour leur confiance.

4e de couverture : Persuadé que le psychanalyste Larry Barney est responsable du suicide de son frère, Elliot le prend en otage dans son cabinet.
Sous la menace d'une arme, Larry n'a pas d'autre choix que de laisser l'adolescent de 15 ans lui relater ses derniers mois.
Mais très vite, c'est l'escalade de l'horreur : Larry est jeté dans un monde qui le dépasse, aux frontières de l'abject et de l'inhumanité. Tandis que les détails scabreux se succèdent, une seule idée l'obsède : celle de s'en sortir, à tout prix…
Un thriller psychologique qui va vous retourner la tête !!!
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Mais quelle histoire! Impossible de ressortir avec la tête à l'endroit de ce roman. Un thriller psychologique essentiellement tourné vers le ressenti de notre psyché.

Un duo mené par Elliot, jeune adolescent qui a perdu son frère, suicidé; et Larry Barney, psychanalyste qui a suivi ce dernier en thérapie.. Leur rencontre va être de choc puisque ce jeune arrive chez lui armé et le pousse à l'écouter, jusqu'au bout!

On entre alors dans un tête à tête des plus terrifiant et inattendu, pour l'un comme pour l'autre. Nous, nous sommes le public qui écoutons Elliot. Ses derniers moments à épier ce qui a pu déclencher cette fin de vie pour son frère. Il veut comprendre. Ici on entre dans une spirale infernale qui va nous perdre. Des images chocs, des révélations terrifiantes, Larry perd pied, Elliot pousse encore plus loin.

Un combat psychologique qui anéantira l'un ou l'autre des protagonistes. Qui va s'en sortir, où se trouve la vérité, peut-on encore aider Elliot, où se trouve les limites de Larry. Vous le saurez en lisant ce roman très noir et percutant.

Je remercie Joël Maïssa et les éditions Taurnada pour leur confiance renouvelée. Ceci est le troisième titre de l'auteur que je lis, les deux premiers étant bien moins noirs. "Je suis un des leurs" m'avait beaucoup touchée, je le recommande aussi. Pour "Seule la haine" âmes sensibles s'abstenir…

1 - "Je suis un des leurs" roman lu en mars 2018
2 - "La face cachée de l'arc en ciel" recueil de nouvelles lu en juillet 2018

Lien : https://passionlectureannick..
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Avec Seule la haine, on embarque dans huit-clos angoissant où vérité et mensonge se confondent... Elliot a beaucoup souffert de la perte de son frère, dont il rejette l'entière faute sur le psychanalyste réputé. Il veut se venger, et débarque alors dans son cabinet, armé... À partir de cet instant, l'angoisse et l'oppression règnent, et impossible de se défaire de ce thriller psychologique avant de connaître le dénouement.

Le récit est raconté à la première personne du singulier, le "je" du psychanalyste. Un "je" qui nous embarque totalement dans l'histoire, de façon immersive. Les deux personnages sont très intéressants, développés à la perfection, et rendent ce tête à tête glaçant, tant par les propos tenus que par l'atrocité de la situation. Ce roman est noir, percutant, malaisant, addictif. Elliot raconte son histoire, et on y croit, on plonge dedans.

La construction du roman, son dénouement sont diaboliques, on monte en pression, on angoisse toujours plus, et c'est tout à fait ce que j'aime dans un thriller. La haine d'Elliot est telle, elle pousse à bout, à commettre l'irréparable, malgré l'extrême intelligence de cet ado de 15 ans. Je vous assure que la finalité est bluffante.

Un roman intense, que j'ai adoré du début à la fin, plongée dans ce récit qui m'a totalement retournée la tête. David Ruiz Martin, chapeau, vous m'avez bluffée.
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Elliot, 15 ans débarque dans le bureau du psychanalyste Larry Barney, pour lui reprocher le suicide de son frère, munie d'une arme. Un huit clos d'une grande intensité va se dérouler entre ces deux personnages.

C'est mon genre de thriller préféré, le huit clos, deux personnages face à face, qui s'affrontent, se défie, bon dans ce cas-là, on a quand même un ado de 15 ans qui as soif de vengeance.

Dès les premiers chapitres, je me suis sentie happée par ce dialogue, entre le ton compatissant de ce psychanalyste et la révolte de cet adolescent.

C'est un livre noir, cru, il y a des moments qui sont difficiles mais donnent de la tension au récit, même si on est avec très peu de personnages, c'est une lecture intense, que j'ai lu en 1 jour et demi.

Le côté psychologique est présent, j'ai ressenti l'intelligence d'Elliott, qui veut manipuler l'adulte, il veut comprendre, et il attend des réponses, tout n'est pas si simple.

J'ai eu beaucoup de compassion pour ce jeune adulte, même si parfois il est cruel, c'est sa souffrance qui parle.

Le psychanalyste ne comprend pas ce qui lui arrive, et la suite est encore pire, on rentre doucement dans l'horreur et le je me suis sentie immergée dans le sombre de la situation.

J'ai aussi apprécié comment la suite de la confrontation, qu'est qui se passe après ? Comment les deux protagonistes vont affronter la suite des événements ? On ne devine pas, c'est encore plus plaisant.

J'ai vraiment adoré cette lecture, c'est une histoire qu'on n'arrive pas à lâcher, encore une jolie découverte et très envie d'aller voir ce qu'à faire d'autre l'auteur.

Je remercie les éditions Taurnada de m'avoir permis de lire cette histoire si palpitante.
Lien : https://www.nathlivres.fr/l/..
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