Fils des brumes, tome 2 : Le puits de l'ascension

On avait juste surkiffer le premier tome, mais j'avoue que la grosse brique qu'es ce tome 2 nous faisait un peu peur. Déjà parce que c'est un tome deux et vu le coup de coeur pour le premier, on n'avait pas envie d'être déçu (vive les tomes 2 !) et pis, il est un peu plus gros de 100 pages, alors comme ça, ce n'est pas beaucoup, mais quand vous passer d'un peu plus de 900 à 1070 pages comment vous dire, ce n'est pas une brique, c'est un parpaing !

On s'est donc lancé quasiment 2 ans après la lecture du premier, mais sans trou de mémoire, faut dire qu'il nous a marquaient ce tome-là. Au départ, assez long, toutes les deux, ayant des emplois du temps chargés, faut trouver le temps pour lire ensemble. Puis un Week end à 1000 improvisé, et on se dit, c'est le moment, faut qu'on avance et qu'on se le termine, il n'y a pas, fallait qu'on sache.

On retrouve donc Vin et toute la clique suite aux événements du tome 1 environ 1 an après. Vin a énormément évolué, elle a grandi, elle s'est émancipée, elle est devenu plus forte. Elle garde quand même un petit côté fragile, un manque de confiance en elle. Avec elle, bien sûr, Elund qui est devenu roi et qui doit faire face à beaucoup de problèmes dont le fait que Luthadel soit assiégé par son père, Cett et son ancien ami qui s'est entouré des créatures assez spéciales

La bande quand elle a, a pris sa place, chaque membre a sa place dans l'un des postes clés, sauf qu'ils ne savent pas trop comment régler tout ça. Kelsier n'avait pas prévu tout ce qu'il allait se passer suite à la mort du Seigneur Maitre. La brume est toujours présente et elle est devenue encore plus dangereuse.

On découvre de nouveaux personnages tels que Zane, personnage très particulier auquel je n'ai pas vraiment accroché, c'est un peu pareil pour Tindwyl, qu'es qu'elle pouvait m'agacer. OreSeur par contre je l'aimais bien même si au départ, c'était mal parti pour.

Les personnages sont toujours aussi bien travailler, l'intrigue est encore plus complexe, on voit le plan se profiler, mais on sait que tout ne se passera pas comme prévu. Les premières parties sont plus sur la stratégie milliaire et compagnies alors que les deux dernières, c'est l'action qui y est beaucoup plus présente.

Malheureusement certaines morts nous touchent énormément, certaines, on les apprécie, mais à un point pas possible et y en a une, elle nous fait mal juste pour le personnage qui reste en vie.

Bref, je pense avoir fait le tour, comme vous avez pu le comprendre, j'ai adoré ma lecture. Ça ne sera pas le méga coup de coeur que j'ai eu pour le premier tome, mais un petit coup de coeur quand même. L'auteur nous a joué un sale tour, il sait très bien nous mener en bateau et nous faire peur. J'ai hâte de lire le troisième tome qui promet d'être une pure bombe. C'est des gros pavés, mais c'est un régal et au final, les 1070 pages sont passer comme une lettre à la poste (Enfin pu sur que cette expression soit la bonne à utiliser…), en gros, on l'a quand même dévoré. C'est une saga où il faut se poser pour bien comprendre, mais quand vous êtes dedans difficile d'y en sortir.
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J'avais été grandement convaincue par le premier tome, j'étais donc toute décidée à lire rapidement la suite. Ma plus grande interrogation étant : continuer la série dans le même format (grand mais plus cher) ou opter pour l'économie mais dépareiller ma bibliothèque ? On ne se refait pas j'en ai peur, et mon mari étant absolument ouvert d'esprit sur ce point, je suis restée chez Orbit ^^

L'avantage d'avoir lu rapidement le 2 après le tome 1, c'est que j'avais encore tous les détails en tête ainsi que les personnages. Sinon, il faut avouer que l'auteur ne perd pas son temps à re-présenter tout le monde - et c'est très bien ! Mais si cela fait longtemps que vous avez lu le tome 1, il faut compter un léger temps d'adaptation.

Ce tome 2 est bien plus posé que le précédent, mais tout aussi chargé de tension, si ce n'est plus. En effet, même si Vin a déposé le tyran, il reste un soucis : il faut diriger la ville et les nobliaux des alentours voient là un bon moyen d'étendre leur propre territoire - et donc leur pouvoir. Si on y ajoute les rumeurs sur la présence de minerai dans la ville, on comprend pourquoi la folie guette.

Elend est placé en monarque temporaire, mais sa connaissance théorique de la politique et de l'administration ne l'a pas préparé à ce qui se prépare : la révolte, les sièges, la guerre et les trahisons. Il a une vision idéalisée de la politique et du gouvernement qu'il souhaite mettre en place. C'est tout à son honneur, mais ses compatriotes ne lui en laisse pas vraiment la possibilité, comme il s'en rendra (durement) compte. Il pourra heureusement compter sur Vin et ses amis pour survivre.

Mais Vin elle-même est en plein doute. Privée de son mentor, elle est perdue. Elle est une Fille-des-Brumes, mais ne sait pas qui elle est, ni vraiment ce qu'elle veut. Elle a certes des amis, mais se sent seule et ainsi devient une proie pour un différent type de prédateur.

Ce tome est vraiment passionnant, mais il ne faut pas oublier qu'il est essentiellement basé sur la politique et l'attente de conflits. Cela joue fortement car il n'y a pas beaucoup d'action durant la majorité du livre. Cela ne change en rien sa qualité, car l'auteur écrit magnifiquement (profitons-en pour saluer le travail de traduction titanesque qui nous permet de profiter du talent de l'auteur) mais il faut le savoir.

La fin du roman sert le coeur : toujours plus de douleurs, de perte et de difficultés à venir. Vin n'a pas terminé de jouer un rôle dans l'histoire et l'auteur lui réserve encore bien des épreuves. J'ai hâte !
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« le puits de l'ascension » bien qu'en position plus attentiste que le premier tome ; présente diverses informations sur les peuples ainsi que de nouveaux aspects de l'intrigue. En mode « guerre civile », les personnages sont chamboulés, tant sur leur rôle au sein du nouveau système politique que pour leur futur personnel. le style est toujours très prenant et on dévore ce tome également.
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[...] "Le Puits de l'Ascension", deuxième tome des Fils-des-Brumes par Brandon Sanderson, est encore un délice. Je suis allée de surprises en surprises, je n'avais plus envie de sortir de l'univers de l'auteur et je suis définitivement fan de la puissante Vin. Vivement la suite ! ♥
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Tout s'enchaîne à une allure folle, depuis les moments de bravoures incroyables d'Elend que le destin ne prédisposait pas à être un homme d'action, jusqu'au renoncement de Vin en passant par les découvertes de Sazed. Qui croire? Que croire? Brandon Sanderson nous piège et nous entraîne dans une incroyable spirale, jalonnée de retournements de situations et de révélations qu'on ne voit pas venir jusqu'au dernier moment. Cet auteur a un don, il est l'allomancien de l'écriture, ce n'est pas possible autrement. le traître qu'on n'a jamais soupçonné, le complot qui se révèle à la toute dernière minute, les morts, les survivants, rien n'est épargné au lecteur qui assiste impuissant et quasi tremblant à des scènes d'anthologie.
Un roman qui vous laisse complètement abasourdi après avoir lu la dernière ligne. Complètement ébahi par les révélations, l'action et ce récit sans répit de 700 et quelques pages, qui se dévorent sans y penser. du pur plaisir!
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Waouh quelle saga ! Malgré la taille du livre, je n'ai jamais ressentie de longueurs, j'ai été transportée dans l'histoire du début à la fin. L'histoire est fluide, les pièces du puzzle s'assemblent petit à petit et on comprend à quel point l'histoire de l'Empire Ultime est complexe. le système de magie est toujours aussi original avec les métaux. Les personnages sont aussi très bien construits, même si, je n'ai toujours pas réussi à m'attacher réellement à eux. J'ai hâte de lire la suite pour savoir le fin mot de l'histoire.

Comment ai-je fait pour passer à côté de cet auteur pendant tant de temps ?

J'ai retrouvé avec grand plaisir la série Mistborn - Fils des Brumes avec le tome 2 de la première trilogie, intitulé le puits de l'ascension.

Il me serait difficile d'expliquer les intrigues sans spoiler les événements du premier tome, et il faut dire qu'il s'en est passé des choses !

Disons donc que ce tome nous raconte la suite, les enjeux sont bien différents mais nos héros devront se battre pour survivre. J'ai beaucoup apprécié retrouver les personnages que l'on connaît déjà, Vin, Elend et Sazed en tête, mais globalement j'aime beaucoup tout le panel de personnages que l'on rencontre et suit tout au long de ce tome. de nouveaux venus viennent chambouler l'équilibre déjà précaire et je les ai beaucoup aimé, qu'ils soient Mistborn, Terrisman ou Kandra.

Les aventures dans ce tome m'ont tenu en haleine tout du long, entre intrigues politiques, complots, combats, trahisons. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, j'attendais la suite des événements avec impatience et je n'ai pas été déçu.

Il me tarde de dévorer le tome 3 !

Ce tome 2 est le plus gros de la saga, et ça ne m'a pas empêché de le dévorer en 2 jours. J'ai été encore une fois happé par l'histoire, l'univers et l'intrigue de ce roman.

La fin du tome 1 a laissé nos personnages dans une situation de victoire assez précaire. le tyran est tombé, mais comme on n'est pas chez les bisounours et que l'univers et cohérent, ce n'est pas la fin des problèmes. Et c'est même le contraire...

J'avoue que le début m'a paru un poil lent. Il se passait des trucs, j'étais contente de suivre les personnages, la situation politique de la ville, mais je voulais de l'action ! le titre du roman promet beaucoup quand même, et j'avais hâte d'en savoir plus sur les mythes, les dangers...

J'aime toujours autant Vin dans ce tome : elle se questionne pas mal sur ces actes, et toutes ses réflexions psychologiques la rendent encore plus profonde et intéressante.

Sa romance avec Elend n'est heureusement pas du tout place au premier plan, même si elle tient une place importante dans les développements des personnages. Parce qu'en plus Elend m'est de plus en plus antipathique, je me suis attaché à lui dans le premier tome, mais là, toute la politique autour m'a un peu éloignée du personnage.

J'ai adoré suivre la montée en tension, les petites découvertes par co par la, qui emmène à CETTE FIN où tous se recoupent et où les révélations sont extraordinaires. J'étais sur les fesses, vraiment ! Encore une fois, comme les souvenirs de ma 1ere lecture me revenaient parfois, je savais un peut près à quoi m'attendre et j'ai pu traquer les indices, les petites phrases bien placées ou les remarques qui passe inaperçues au premier abord... c'est super bien amené !

Il y a tellement de petits détails, au-delà de l'intrigue principale, qui rajoute de la consistance et de la cohérence à l'intrigue, à l'univers, à tout : ça serait beaucoup trop dur de parler de tout dans cette chronique !

Je vous invite vraiment à découvrir cette saga si ce n'est pas déjà fait ! Et moi, je vais commencer le tome 3 dès maintenant !

Dieu que c'était long. On ne va pas se mentir ce volume deux de la saga de Brandon Sanderson tire en longueur. Plus de 1000 pages pour une histoire qui souffre d'immobilisme. Détaillons tout cela ensemble.

Commençons par les aspects positifs du récit. Sanderson maîtrise à merveille la narration de ses scènes d'action. On a l'impression qu'une caméra suit Vin durant ses voltiges au-dessus des toits de Luthadel. Les pouvoirs de l'allomancie permettent des actions fantastiques et la plume dynamique de l'auteur retranscrit ses scènes avec une vitalité digne des meilleurs films d'action. le livre s'ouvre d'ailleurs sur un affrontement mémorable entre Vin et huit adversaires. Malheureusement cette scène d'ouverture sera aussi la meilleure de tout le récit.

Au niveau de l'intrigue ce n'est pas le même son de cloche. Stagnation est le mot qui représente le mieux ce second volume. En entamant la lecture je m'attendais à certaines longueurs, difficile d'y échapper sur un ouvrage aussi épais, mais pas à ce que l'auteur fasse autant traîner en longueur son intrigue. Parvenu à la seconde moitié du récit je me suis amusé à faire le bilan des différentes intrigues exposées en début d'ouvrages. le siège de Luthadel ? Toujours en cours et les différentes forces en présence se regardent en chien de faïence sans qu'il ne se passe grand chose. La recherche des réserves d'atium ? Tout le monde s'en inquiète mais personne n'a le moindre début de piste. le fameux puits de l'ascension dont il est question dans le titre? Deux érudits pencheront sur la question au cours de chapitre d'un ennui abyssal jusqu'à ce que Vin se décide à explorer le lieu qui paraît le plus évident. La menace nébuleuse qui promet d'être encore plus redoutable que les dangers déjà présents ? Et bien elle restera toujours aussi nébuleuse une fois parvenu, laborieusement, à la conclusion de ce tome qui ne m'a guère convaincu. le personnage de Vin incarne à mon sens cette stagnation. Toujours plus puissante, toujours plus redoutable, mais niveau développement du personnage c'est le néant absolu. Vin achèvera l'ouvrage de la même manière qu'elle a débuté, surpuissante et amoureuse d'Elend.

Et si ce surplace narratif était au moins l'occasion pour Sanderson de développer des intrigues politiques subtiles et la psychologie de ses personnages cela aurait le mérite de consolider son univers. Mais il n'en est rien. Les intrigues politiques tournent essentiellement autour d'Elend et de la toute jeune république qu'il est parvenu à mettre en place en un an à peine. L'auteur met en place des complots, des tentatives d'assassinat et même un coup d'État pour au final que tout se résolve à l'aide de l'allomancie et d'une très grosse épée. C'était bien la peine de tenter d'être subtil pendant près 800 pages pour conclure tout ceci a la manière de Gemmel.

L'auteur s'est-il rendu compte de tout le potentiel gâché de son histoire à mesure qu'il amène une conclusion bourrine qui va à l'encontre de tout ce qu'il a pu développer durant les deux premiers tiers de son récit ? le fait est que ses personnages n'en sortent pas grandi. Les nouveaux personnages introduits dans ce second opus sont les victimes collatérales de cette intrigue maladroite. Zane avait un potentiel certain dans le rôle de l'observateur ténébreux qui a toujours l'air d'en savoir plus que les autres mais il se révélera creux et ne servira qu'à ébranler, de manière superficielle, les convictions de Vin. le personnage de Tindwyl apporte une fraîcheur bienvenue avec son franc-parler et son intransigeance, mais se retrouve mis de côté une fois que l'auteur saborde tout un pan de son intrigue. J'éviterais d'aborder le cas de Straff et de Cett qui ne servent qu'à faire du remplissage.

La principale victime se révèle être Elend. Ce tome sera l'occasion d'assister à la naissance d'un monarque. L'érudition et la diplomatie de ce jeune dirigeant sont les qualités, et aussi les armes, mises en avant durant les trois quarts du récit, donnant lieu à des passes d'armes qui manquent un peu de sel, la platitude des dialogues est aussi un des défauts de l'oeuvre, mais qui ont le mérite d'inscrire le personnage dans une ambiance de complots et de jeux politiques rarement vus dans le domaine de la Fantasy. Pourtant malgré tout le développement subtil accordé à ce personnage l'auteur va décider de l'écarter, littéralement, de la conclusion alors même qu'il s'agit de sa véritable prise de pouvoir du personnage qui, pour le coup, manque cruellement de panache et va à l'encontre des principes défendus par Elend. À la toute dernière page du livre Elend a gagner un statut qui le rend puissant sur le papier mais faible en matière de psychologie et de développement du personnage.

Ce tome donne la désagréable impression que l'auteur a suivi une voie durant une grande partie de son récit avant d'opérer une volte-face narrative expéditive qui sacrifie la subtilité au nom de l'action explosive. Une fracture d'autant plus dure à digérer qu'elle justifie mal l'épaisseur du récit et qui donne à l'ensemble de ce second volume une impression d'intrigue bâclée.
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Suire des aventures de Vin, le puits de l'ascension se focalise sur l'évolution de la fille des brumes dans un nouvel environnement et dans une nouvelle position.
Les personnages d'Elend et de Sazed sont très bien développés par Brandon Sanderson.
Au niveau de l'intrigue, ça avance très, très lentement pendant les deux premiers tiers du roman, puis on retrouve, dans le dernier tiers, un dénouement à la hauteur des attentes.
Les deux premiers tiers sont consacrés au développement de l'intrigue politique et la fin se focalise sur les conséquences des choix pris.
J'ai vraiment eu du mal avec les 700 premières pages où il ne se passait pas grand chose...