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Easy ? Non, ce n'est pas facile du tout de vivre à La Nouvelle Orléans, pour Josie. Elle a 17 ans et doit se farcir une mère impossible, anti-maternelle avec tous les défauts que cela comporte.
Etre « fille d'une putain » dans les années 50 qui plus est, ne doit pas être facile !

Et pourtant, elle a des rêves, la petite Josie : aller à l'université, mais pas une université du Sud où quelqu'un pourrait la connaitre et déblatérer sur sa malheureuse ascendance.
C'est qu'elle aime lire, et d'ailleurs elle a un job de libraire dans la boutique de Charlie, qui l'a recueillie quelques années auparavant et lui a offert une petite chambre à l'étage.
Chaque matin elle fait le ménage à la maison close de Willie, où sa mère travaille (disons épisodiquement).
Protégée par quelques adultes responsables, dont Willie, elle trace son chemin cahin-caha, jusqu'à ce qu'un jour, un homme cultivé et bien mis lui achète un Dickens et un livre de poésie…et meure le lendemain.
Les rumeurs iront bon train, et il va falloir faire preuve de débrouillardise et de bon sens face à la police et à des hommes véreux.
La vie finira-t-elle par devenir facile ? Difficile à dire !

J'ai beaucoup aimé l'ambiance du Sud des années 50, la description du Vieux Carré français, la maison close de chez Willie (l'auteure s'est bien documentée) et ses prostituées bien individualisées. La coexistence de tous ces adultes bienveillants, fragiles, égocentrés et sans pitié, ou pourris, et d'adolescents superficiels, au coeur tendre, intellectuels ou aux rêves fous, tout ceci constitue une base solide pour une intrigue.
Par contre, cette intrigue, on ne la voit pas trop. Si elle s'emballe dans les dernières pages au point de me donner les larmes aux yeux, dans la majeure partie de l'histoire je me suis ennuyée.

Comme je le disais à ma bibliothécaire, je ne conseillerais pas ce roman « jeunesse » à mes élèves de 15 ans, ils n'y verraient aucun intérêt, je pense. Les années 50, c'est intéressant pour nous, les adultes. Pour les jeunes, c'est moins sûr, surtout qu'il ne se passe pas grand-chose dans les 7/8e du livre. Et puis, ce n'est pas parce que la narratrice a 17 ans qu'il doit s'agir impérativement d'un roman pour les jeunes.

N'empêche, sur les conseils de ma bibliothécaire, j'ai emprunté un autre roman de Ruta Sepetys : « Hôtel Castellana ». Car elle écrit bien, cette auteure, et la plongée dans des époques différentes m'attire. On verra si l'intrigue sera au rendez-vous, cette fois.
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Josie est née en 1933 à la Nouvelle-Orléans. Sa mère, prostituée, l'a prénommée comme la plus ‘grande' tenancière de bordel de la ville, c'est un honneur, non ? Voilà qui en dit long, en tout cas, sur ses ambitions pour sa fille. Cette enfant a toujours reçu plus d'attention et de tendresse des autres femmes de la maison close que de cette mère aussi froide et stupide que cupide.
A dix-sept ans, Josie a réussi à échapper à ses griffes. Elle travaille depuis cinq années dans une librairie, hébergée par le propriétaire et son fils de vingt ans, devenus pour elle une seconde famille.
Déterminée à ne pas suivre le modèle maternel, Josie entend bien étudier à l'université et loin de sa ville natale, où elle compte pourtant des amis fidèles.

Voilà une jolie fresque de personnages crédibles et attachants : Josie la battante au grand coeur, ses proches fidèles et attentionnés, ses 'secondes mamans' et la tenancière de la "maison", bourrue, sèche, mais protectrice envers la jeune femme.

Le contexte de cette intrigue est radicalement différent de celui du précédent ouvrage de Ruta Sepetys (Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre), où l'on suivait le destin d'une jeune Lituanienne déportée lors des purges staliniennes.
Le décor est plutôt classique, ici. Une ambiance à la Dickens me transportait parfois dans le Londres de la fin du XIXe siècle, bien loin de ce Quartier-français de la Nouvelle-Orléans des années 50 - David Copperfield, personnage référent pour Josie, est d'ailleurs souvent mentionné.

L'intrigue est tellement prenante, la plume si agréable et fluide, que j'ai dévoré cet ouvrage qui m'a rappelé certains romans historiques de Ken Follett. Ce 'Big Easy' est tout aussi passionnant et moins manichéen.

A partir de 13-14 ans.

--- Merci à Babélio (MC) et aux éditions Gallimard Jeunesse (collection Scripto) pour cette lecture vraiment agréable.
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Je m'étais promis de relire cette auteure qui m'a tant bouleversée la première fois avec « le sel de nos larmes », une histoire de guerre. Ce roman-ci est d'un tout autre genre, d'une note un peu plus joyeuse, disons.

Big Easy. J'ai beaucoup aimé connaître le parcours de Josie Moraine – mieux connue sous le nom de Jo ou de Motor City – 17 ans, à La Nouvelle-Orléans au début des années 1950. Jo est une jeune femme sérieuse, humble, indépendante, très intelligente et studieuse, qui rêve d'entrer à l'université. Avec des notes comme les siennes, elle aurait des chances d'être admise à peu près n'importe où mais les coûts sont faramineux et c'est ailleurs qu'en Louisiane qu'elle aimerait étudier, puis s'installer pour de bon. Loin de tout ce qu'elle a connu depuis son enfance.

En effet, la petite ne sait même pas qui est son père. Quant à sa mère, Louise, c'est une prostituée de luxe, superficielle, profiteuse et méprisante, pour qui avoir une enfant était plus « un caillou dans son soulier » qu'autre chose. Josie a grandi dans une maison close du Vieux Carré et connaît pratiquement toutes les crapules de la ville. Il lui serait facile de tomber dans la déchéance pour faire de l'argent vite et bien. Mais ce mode de vie ne correspond pas du tout à ses attentes ni à ses désirs et pour gagner un salaire honorablement, tant qu'à être passionnée de lecture, elle choisit plutôt de travailler à la librairie de Charlie Marlowe avec le fils de celui-ci, Patrick. Une bonne partie du récit s'y déroulera d'ailleurs, puisque Jo habite seule l'appartement à même la librairie depuis qu'elle a onze ans !

Sinon, son deuxième emploi comme femme de ménage à la maison close de Willie Woodley, patronne en puissance à qui on ne la fait pas, l'y contraindra à y passer un certain temps. Lecteurs que nous sommes ferons la rencontre de plusieurs personnages délicieux et/ou dégoûtants tout au long de l'histoire.

Ruta Sepetys sait y faire pour embarquer le lecteur dès le premier chapitre ! Elle va droit au but et ne s'empêtre pas dans les longueurs ou les redondances. Tout de suite l'émotion est mise en avant et on ne tarde pas à connaître le personnage principal comme notre poche. Cela crée rapidement un lien avec le lecteur et les personnages secondaires aussi sont bien brossés. Pourtant, il n'y en a jamais trop. Tout est dit, sans excès. L'auteure est douée pour bien doser le « trop » du « pas assez ».

C'est une histoire plaisante à lire, qui passe vite. L'atmosphère chaude et humide de la Nouvelle-Orléans nous colle à la peau. Sans avoir jamais visité l'endroit, il est facile d'imaginer les lieux, de respirer l'environnement, d'avoir envie de danser au son du Carnaval et des saxophones, de goûter les plats cajuns et d'entendre le parler local. On se croirait sur place ! Big Easy est une histoire entraînante, pleine d'espoir et de positivisme, une claque dans le dos qui fait du bien. Qui donne envie de foncer pour réaliser ses rêves.

Si vous n'avez encore jamais lu Ruta Sepetys, dépêchez-vous de le faire !
« le sel de nos larmes » est un incontournable également. Une découverte au hasard qui m'a beaucoup marquée…

CHALLENGE USA
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Une lecture jeunesse j'en suis un peu étonnée, car il a tout d'un grand roman pour adulte. J'ai bien apprécié l'époque des années 50 , et les personnages adorables avec chacun leur lot d'originalité, de grand coeur. J'avais l'impression de voir un film, tellement le déroulement des scènes était très réaliste, vivant, et humain à la fois.
Le message également passé par cette histoire est haut en couleur.
La justice est souvent longue à venir, mais elle finit souvent par arriver au moment où on s'y attend le moins.
Si ce roman est destiné à la jeunesse pas sûr qu'elle accroche à cette époque, mais il y a de quoi montrer à cette jeunesse qui attend un peu trop souvent que tout leur tombe dans le bec tout cuit, que la vie n'est un long fleuve tranquille, et même si on n'est pas né avec une cuillère en or dans la bouche, on peut pour autant s'en sortir et rester droit dans ses bottes, tracer son chemin en toute honnêteté. A y réfléchir, il serait bon que la jeunesse lise ce roman, c'est un très bon exemple, pour tout milieu social.

J'ai passé un agréable moment de lecture avec beaucoup d'émotion sur la fin.
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2ème livre que je lis de cette auteur. Et j'apprécie énormément son écriture.
Dans ce roman, elle nous plonge dans un milieu un peu glauque, pas très fréquentable, avec des personnages haut en couleurs, mais tellement attachants.
Cette histoire pourrait se passer à notre époque. C'est d'ailleurs la seule petite chose qui m'a gênée, j'ai eu du mal à me dire que cela se passait dans les années 50.
Je voyais les personnages évoluer à notre époque...
Mais cela ne m'a pas empêcher d'aimer cette histoire, d'être auprès de Joe, et d'adorer Madame Willie et Cokie, des personnages "avec un coeur gros comme ça" !
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****

Jo est une jeune fille de 18 ans. Elle porte le nom d'une mère maquerelle, est la fille d'une prostituée qui n'a pas du tout la fibre maternelle et elle grandit entourée de "nièces" dans la maison close de Willie. A la Nouvelle Orléans, dans les années 50, rien n'est simple et on est vite rangé dans des cases. Mais Jo ne veut pas finir comme sa mère, elle rêve d'université, de littérature et les gens qui lui sont chers le savent bien : avec un peu d'espoir et beaucoup de chance, elle peut y arriver...

Je connais Ruta Sepetys depuis ma lecture de son roman le sel de nos larmes, qui m'avait profondément touchée.

Big easy est une fois encore une réussite ! Roman jeunesse, il est très bien écrit, avec des personnages colorés, une histoire rythmée et un environnement très cinématographique.
Mêlant suspense, romance et drame, l'histoire de Josie est pleine de rebondissements. On la suit dans la vie qu'elle a choisi, malgré les difficultés et les obstacles, au milieu de ce quartier français si typique.

Ruta Sepetys nous prouve une fois encore que si seul on ne peut qu'espérer, bien entouré et aimé, on peut voir ses rêves se réaliser...
Lien : https://lire-et-vous.fr/2019..
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Voici le troisième livre reçu en partenariat avec Gallimard jeunesse - on lit plus fort et je les en remercie car j'ai beaucoup apprécié cette lecture.

Nous faisons la connaissance de Jo (diminutif de Josie), 18 ans. de suite on se sent proche d'elle puisque le roman est écrit a la première personne comme si elle se confié a nous lecteurs. Josie a peu de repères, elle ne connait pas son père et sa mère est une prostituée qui travaille dans une maison close. Les seules personnes qui prennent soin d'elle sont Willie, la mère maquerelle, et Charlie et son fils Patrick qui sont propriétaire d'une librairie ou la jeune fille travaille.

Voila le point de départ mais peu a peu, les choses prennent une autre tournure. On découvre en effet le corps d'un homme puis l'on apprend qu'il a été assassiné. L'étau se resserre autour de Jo et de ses proches...

L'ambiance de ce roman est vraiment très bien construite. On découvre la Nouvelle-Orléans dans les années 1950. On plonge dans le milieu de la prostitution, des truands, on sent le racisme omniprésent (je pense notamment au personnage de Cookie qui est métisse). On espère qu'une chose c'est que Jo s'en sorte et qu'elle puisse réaliser ses rêves (aller a l'université).

Le personnage de Josie est vraiment très travaillé, c'est une jeune fille mature (la vie ne l'a pas gâté), elle est ambitieuse et met toutes les chances de son coté pour réussir. Elle ne fait pas toujours les bons choix, je pense au passage ou elle va du chantage pour avoir sa lettre de recommandation pour l'université. Malheureusement, elle est issue d'un milieu ou elle dispose de peu de moyens....

L'écriture de Ruta Sepetys est vraiment très agréable, fluide et se lit très rapidement. C'est une auteure que je ne connaissais absolument pas et c'est donc une très belle découverte. Elle mêle habilement les genres, a la fois le policier avec l'enquête sur la mort de ce monsieur fortuné (son nom m'échappe), l'amour avec Jesse ou encore Patrick qui courtise plus ou moins Jo et surtout on sort vraiment des clichés des livres jeunesse que je trouve parfois "gnan-gnan" car ici c'est un vrai roman noir!

Enfin la couverture est vraiment très belle, même si pour ma part, elle est en noir et blanc (car mon exemplaire est une épreuve non corrigée). Je me permet cette remarque, car j'habite en Irlande est ici les livres ont souvent des couvertures magnifiques et quand je vois la couverture de la traduction française je suis souvent déçue! Or la c'est tout l'inverse, cette couverture est bien plus belle que la couverture VO.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Josie Moraine veut s'en sortir. Fille d'une prostituée et habitante du Quartier français de la Nouvelle Orléans, elle souhaite s'échapper par le haut, partir faire des études dans un autre état. Mais dans les années 50 il n'est pas simple de fuir son passé et sa condition sociale. Alors, il y a son quotidien, la boutique de livres dans laquelle elle a trouvé refuge dès son plus jeune âge et la maison close où elle va faire des ménages. le meurtre d'un riche entrepreneur va bouleverser son destin... Arrivera-t-elle à trouver le bonheur?

Un roman sombre et lumineux à la fois. L'histoire est racontée par la jeune héroïne qui oscille entre espoir et fatalisme. Pourtant elle ne renonce jamais à lutter même lorsque son avenir devient noir. Il y a de la tragédie antique dans ce récit mais aussi beaucoup de positif avec notamment la chaleur humaine que lui apporte les simples gens de son entourage, l'amitié et l'amour. Son rêve est-il possible? Est-il envisageable pour une femme des années 50 de réussir sa vie? L'histoire se construit par l'éparpillement d'indices. Il n'y a aucun temps mort. Un magnifique roman porté par une écriture envoûtante.

Lien : http://cdilumiere.over-blog...
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♫ Let the good times roll ♫

Voilà encore un livre qui attendait depuis plusieurs années dans ma bibliothèque et que j'ai enfin décidé de lire. Et je suis contente de l'avoir fait car j'ai adoré me retrouver à La Nouvelle Orléans des années 1950, dans le Vieux Carré (prononcer « Voo Carray »), en compagnie des personnages de Big Easy : Josie, Jesse, Cokie, Sweety, Dora, Sadie et, bien sûr, Willie, la mère maquerelle la plus connue (et la plus attachante) du Quartier français.

♫ Laissez les bons temps rouler ♫ est la devise de la Nouvelle Orléans, surnommée « Big Easy », devise que chacun essaie de prononcer à la française. Mais la vie n'est pas si « easy » à New Orleans, comme le dit Cokie, la ville étant notamment connue pour être l'une des plus dangereuses des Etats-Unis, le taux de criminalité crevant déjà le plafond il y a soixante-dix ans. Josie, l'héroïne de 17 ans, fille de prostituée et de père inconnu et élevée dans une maison close, en fait l'expérience au cours du roman. C'est une jeune fille intelligente, passionnée de littérature, courageuse, un personnage attachant qui nous permet, grâce à son récit à la première personne, de ressentir l'ambiance un peu lourde, inquiétante de la Nouvelle Orléans. Josie veut quitter Big Easy, cette ville qui la malmène depuis qu'elle y a mis les pieds avec sa « Mam » à l'âge de sept ans, et entrer à l'université sur la côte est. Mais elle est impliquée dans une histoire de meurtre et tout ne sera décidément pas si « easy » pour elle non plus.

Big Easy est un roman vraiment très bien mené, il ne manque pas d'action et de personnages hauts en couleur (Willie a notamment gagné mon coeur !). Il est classé dans la littérature « jeunesse », pour adolescents mais ça ne se ressent pas franchement. Il n'y a que l'intrigue policière, qui n'occupe d'ailleurs pas tout le livre, qui est un peu cousue de fil blanc et ne laisse que peu de place au mystère. Mais elle reste quand même intéressante, tout comme le reste du livre.

Enfin, je dirais que Big Easy est une belle leçon de vie : peu importe qui vous êtes, d'où vous venez et où vous vivez, quelles que soient vos origines et votre histoire personnelle et familiale, il est possible de choisir sa vie. de prendre le bon ou le mauvais chemin. C'est un peu manichéen et très optimiste, bien sûr, car ça ne tient pas forcément compte de tous les facteurs possibles et imaginables, mais c'est un beau message à véhiculer.
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The Big Easy comprenez La Nouvelle-Orléans..
Jo alias Josie a bientôt 18 ans. Dire que son enfance fut facile serait mentir. Elevée par une mère qui la rejette et travaille chez Willie dans l'une des maisons les plus côtés du Vieux Quartier, Jo vit au-dessus de la librairie de Charlie Marlowe, y travaille et fait le ménage tous les matins chez Willie sa "marâtre fée marraine"..
Quand Forest Hearne meurt le soir du 31 décembre dans un bar , Jo est bouleversée. Cet homme est venu à la librairie en fin de journée et l'a considérée avec bienveillance...une première pour elle lui soufflant l'idée de s'inscrire à l'université. Les circonstances le lui permettront elles? .. Parce que voilà Hearne a été assassiné, dépouillé et sa mère semble être mêlée à tout cela ... Heureusement Jo est très bien entourée.
J'ai apprécié une fois encore l'écriture de Ruta Sepetys. C'est une vraie conteuse. L'histoire se déroule vite et bien , les personnages sont excessivement bien croqués. Respectueuse Ruta Sepetys nous dépeint la Nouvelle Orléans des années 50 sans fioritures mais au plus près de la réalité historique. Elle nous dresse le portrait d'une jeune fille intelligente, cultivée , animée par le désir impérieux de sortir de sa ville , d'aller plus avant, de découvrir le Monde ..Une fois encore je suis surprise du choix de l'auteure et de sa maison d'éditions de placer ce roman en littérature jeunesse, un roman qui aurait une place toute trouvée en littérature générale. Une bien belle lecture !
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