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2,48

sur 85 notes
J'ai décidé de me lancer dans cette lecture car j'ai été séduite par cette couverture.
Que dire j'ai l'impression que l'auteur a déversée sur le papier tout ce qui lui venait par la tête.
Je vois et comprends la trame j'aime son écriture mais malheureusement je n'accroche pas .
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Je vais arrêter de le lire parcequ à la moitié du bouquin ça ressemble toujours au journal intime / ego trip décousus d'un vieux mec qui n'a pas grand chose à dire à part parler de sa bite et qui place toutes les deux pages "je peux pas dire qui c'est car il est connu" : je déteste déjà le name dropping, je découvre qu'on peut faire pire en ne donnant pas les noms. le mec a des histoires avec des nana moitié plus jeunes que lui, il écrit qu'il couchera jamais avec mais parle en permanence de leur corps, leur sous vêtement et sa bite. C'est écrit comme s'il parlait à un copain, ce que je trouve poétique dans le chat du rabi', parce que c'est un chat qui parle, mais nul à chier ici
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Nul, désespérément nul. Histoire idiote, mal racontée, bourrée de tentatives de rallonger une sauce qui n'avait pas vocation à rester en bouche plus de 3 secondes. Cerise sur le gâteau : du name-dropping de vie privée de ses collègues, dont je ne veux pas savoir s'il relève de la fiction ou de la délation.

Au moins, je sais que penser de l'auteur de cette "chose".
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Un livre amusant et agaçant. Ça m'a plu et ça m'a déplu. Les détails de l'intimité me gavent grave. Tous les auteurs sont des menteurs, mais l'émotion est authentique et les anecdotes savoureuses : Y-a pas de souci.
Et puis Lili est fantastique, douée, hyper douée, les humains sont stupéfiants.
Les vendeurs de chien sont aussi étonnants. Les terriers sont charmants, mais la majorité est anti-chats. Quand à leur caractère, relire «Three men in the boat, nothing about a dog » ou les aventures de Montmorency. Un bull terrier, c'est un terrier au carré, alors vendre ce type de chien à un amoureux des chats...
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Je me suis ennuyé du début à la fin... Je trouve le personnage assez antipathique, alors que j'avais bien aimé la plupart de ses bande dessinées. Malgré quelques très beaux passages poétiques, la majorité du livre parle d'un mec qui baise et qui tente de penser naïvement au conflit israelo palestinien... Bref je le déconseille...
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J'aime cette drôle de manière de maintenir le suspens!
En plus c'est complètement barré!
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J'avoue que dans ma bulle, j'ignorais encore qui était Joann Sfar – auteur de BD, illustrateur et réalisateur français – quand ce livre a atterri entre mes mains. Je traînassais dans les allées de la bibliothèque à la recherche de quelque chose de différent et en grande amie des animaux, c'est d'abord la couverture qui m'a attirée. En m'approchant, j'ai vu qu'il s'agissait du coup de coeur du moment d'un des bibliothécaires, le pitch avait l'air intéressant, dans l'air du temps, alors pourquoi pas ?

Des mois plus tard, j'ai encore du mal à définir mon ressenti. Encore dans l'ombre d'une relation amoureuse qui s'est mal terminée, Joann Sfar s'entiche d'une jeune femme que Facebook lui suggère dans son fameux encart : « Vous connaissez peut-être ». Ils font connaissance entre deux joutes verbales mais très vite, les choses prennent un drôle de tournant. Lili paraît instable, elle enchaîne les grandes déclarations d'amour aux pires insultes et menaces. Elle joue les bienfaitrices et les victimes, elle se lance dans des récits grandiloquents sur sa vie comme si elle cherchait à surcompenser l'ennui du quotidien. Elle se prête une vie de mannequin à l'entourage toxique, elle est pleine de vie, malade le lendemain, mourante le surlendemain. Elle passe du tout à rien, s'enflamme, envahit, étouffe, s'accapare,… Mais on ne peut nier une certaine intelligence puisqu'elle arrive à manipuler l'auteur, un homme instruit qui en a pourtant vu d'autres. Elle introduit des éléments réels dans ses fantasmes, on ne sait d'ailleurs trop comment, et convainc les autres de lui accorder le bénéfice du doute. Durant cette même période, Joann Sfar adopte un bull terrier et s'investit du mieux qu'il peut pour que tout se passe au mieux pour l'animal comme pour lui. Mais là aussi, tout se complique très vite. « Marvin n'est pas méchant, il aime tuer, c'est différent. »

Ce livre autobiographique nous est présenté comme basé sur ces deux éléments mais la vérité est toute autre. Honte de s'être fait prendre au piège ? Tentative de mener le lecteur en bateau comme il a pu l'être au fil des mois ? de tout ramener à lui à l'instar de Lili qui ressentait sans arrêt le besoin d'être sur le devant de la scène ? le fait est que l'auteur passe sans arrêt du coq à l'âne. Il dit qu'il va nous parler de Lili et il enchaîne avec sa mère. Il dit qu'il va nous parler du chien et il enchaîne avec ses conquêtes d'un soir. Même sa plume est paradoxale, car Joann Sfar arrive à jongler avec des phrases philosophiques, des aphorismes percutants qui n'ont pas manqué de interpeller, et un langage volontairement familier, parfois même vulgaire. Il joue les provocateurs comme pour cacher ses sentiments réels face à tous ses déboires. Il est facile de perdre le fil d'une page à l'autre, les digressions multiples pourront en déstabiliser plus d'un, et pourtant, petit bout par petit bout, j'étais assez prise au jeu pour avoir envie d'y revenir. C'est une lecture dense et complexe, et je n'arrive toujours pas à savoir si j'ai aimé ou détesté. J'y ai trouvé quelque chose en tout cas, et c'est bien ce que l'on demande à un livre, peu importe son genre. Les réflexions de l'auteur sur la vie, les réseaux sociaux, l'amour, ses relations avec les autres, ses pensées anarchiques qui partent dans tous les sens comme s'il voulait tout dire en une fraction de seconde de peur de l'oublier d'ici la suivante, le besoin d'expier, de déballer pour mieux tourner la page,… tout cela a su trouver un écho en moi. On y voit un homme sensible, un peu vulnérable aussi sur certains points, un homme qui se livre, dans le chaos et l'autodérision. Et qui joue les machos. Cette structure aléatoire, carrément brouillonne, et ce récit centré sur l'ego de l'auteur font que malgré tout, c'est une lecture qu'il ne m'arrivera sûrement jamais de conseiller à mon entourage.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Au début il y a cette fille, Lili, rencontrée sur Facebook. Ca commence par "vous connaissez peut-être", on clique sur la photo du profil et un jour on se retrouve chez les flics. J'ai aussi pris un chien, et j'essaie de lui apprendre à ne pas tuer mes chats. Tant que je n'aurai pas résolu le problème du chien et le mystère de la fille, je ne tournerai pas rond. Ca va durer six mois. Ce roman fait suite à "Comment tu parles de ton père". On y trouve quelques portraits de femmes, et un portrait de chien. C'est une enquête. Tout est vrai sinon ce n'est pas drôle.

Bon, Lili et les relations virtuelles n'occupent finalement qu'une petite moitié de ce livre. L'autre moitié est emplie de digressions, d'anecdotes diverses en rapport avec ses anciennes maîtresses et quelques amis, et surtout le Chien... Il est beaucoup question de ce chien tout de même...

Quelques longueurs, sur des petits épisodes du quotidien de l'auteur qui n'ont pas plus d'intérêt que ça. Il y a une grosse part d'introspection tout de même... Un certain nombre de réflexions plus ou moins bienvenues. J'avoue que certaines anecdotes m'ont bien fait rire. Quant à Lili... Elle est une sorte de fil rouge, qui revient régulièrement entre les pensées de l'auteur.

Bref, une lecture somme tout sympa, mais pas le livre de l'année...

Lien : https://wordpress.com/post/l..
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Je ne suis absolument pas objectif, j'adore Sfar. Tout . Même quand ça n'est pastrès bon. Mais là, c'est génial. Un livre qui réconcilie avec les livres. Foutraque, décousu, bordélique, menteur, tricheur, roublard, un livre qui ne respecte pas le lecteur et qui l'oblige à être autre chose qu'un rat de bibliothèque. Un livre qui énerve, que tu te demandes combien de temps l'auteur va encore se foutre de toi et pourquoi tu continues à le lire, ce salopard…
C'est pas un livre, c'est un ami.
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Je ne dévoilerai pas l'intrigue, il n'y en a pas vraiment. Il est rare que je ne termine pas un livre mais là, ce fut le cas. Je suis une fan de Joann Sfar mais dans le cas de ce roman je n'ai adhéré ni au style (décousu), ni à l'histoire.

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