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Citations sur Archer's Voice (138)

– Continue à lire. Les filles adorent ça.
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Je suis restée dans ma voiture sans bouger pendant quelques minutes, à songer à cette étrange rencontre. Quand enfin, j'ai démarrée, j'ai remarqué quelque chose sur le pare brise. J'allais mettre en marche les essuie-glaces. Je me suis interrompue et je me suis penchée pour regarder plus attentivement. Des aigrettes de pissenlit s'étaient posées sur le verre.
Une légère brise s'est mise à souffler et à balayé les fils duveteux du pare-brise.
Ils ont alors entamés une danse délicate dans les airs, comme s'ils prenaient la fuite dans la direction où le type avait disparu.......
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– Je n’en savais pas assez pour rêver de toi, Bree, mais pourtant tu es devenue réalité. Comment est-ce que c’est arrivé ? (Il a frotté son nez contre le mien, puis il a reculé à nouveau.) Tu as lu dans mes pensées, tu savais exactement ce que je voulais, même quand je n’en avais pas conscience.
J’ai poussé un soupir et je lui ai souri, malgré la boule qui s’était formée dans ma gorge.
– Je ressens la même chose. C’est toi mon rêve, Archer. Toi, tel que tu es.
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C’était comme si mon corps était un instrument dont il avait appris à jouer si parfaitement que la mélodie résonnait à travers mon âme.
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- [...] Parfois, je pense à ces petits morceaux de tissu quand la vie me semble incompréhensible. J'essaie de fermer les yeux et de croire que bien que je ne puisse pas voir le bon côté, et que le côté que je regarde est laid et tout embrouillé, tous ces nœuds et ces fils emmêlés forment en fait un chef-d’œuvre. Je m'efforce de croire que la beauté peut jaillir de la laideur, et que le moment viendra où je pourrai la voir pour ce qu'elle est. Tu m'as aidée à voir ma propre image, Archer. Laisse-moi t'aider à voir la tienne.
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Embrasse-moi, embrasse-moi, me suis-je répété. La tension était telle que quand sa tête a fini par s’avancer lentement vers la mienne, je n’ai pu retenir un soupir de soulagement.
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- Je ne sais pas quoi faire. Tu mérite mieux que ce que je peux t'offrir, c'est à dire rien du tout. Mais ça me fait encore plus mal de songer à te laisser partir.
Il y a tant de choses encore que j'ai besoin de comprendre, et tant de choses qui sont contre nous.
J'ai mal au crane à force d'y penser..........
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Pendant qu’il était dehors, j’ai pris une minute pour aller voir la chambre à coucher et la salle de bains. Elles étaient petites, mais tout à fait comme je les avais imaginées. Ce qui a retenu mon attention, c’était la grande fenêtre qui faisait face au lac. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en voyant le petit ponton qui menait à l’eau calme, limpide, d’un bleu si intense dans la lumière du matin. On discernait deux bateaux au loin, à peine plus gros que deux points sur l’horizon.

Soudain, en regardant cette eau, j’ai ressenti une étrange envie de pleurer. Pas de tristesse, mais de joie. Et aussitôt, cette sensation s’est dissipée, en laissant derrière elle une étrange et inexplicable nostalgie.

– Et voilà, a fait Monsieur Connick en refermant la porte derrière lui.

J’ai quitté la chambre à coucher pour aller signer le contrat de location de ce qui allait devenir ma maison, du moins pour un temps. J’espérais vraiment pouvoir enfin y trouver la paix.
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– Tu veux savoir la première chose que j’ai pensée quand nous nous sommes rencontrés, à part que tu étais très belle ?
Je regardais ses mains bouger, j’ai levé la tête en lui jetant un regard interrogatif.
Il m’a regardée, une douce flamme s’est allumée dans ses magnifiques yeux ambrés.
– Tu as eu l’air gênée, tu semblais timide, tu as même rougi, à cause de toutes ces barres chocolatées.
Il a souri et s’est penché pour m’embrasser sur le front. Mon cœur s’est emballé. Il a poursuivi :
– C’était la première fois de ma vie que quelqu’un avait l’air gêné devant moi. Les gens avaient l’air embarrassés à mon sujet, mais jamais à cause de quelque chose qu’ils avaient fait devant moi. Je me suis senti être quelqu’un de réel, Bree. Ça m’a fait penser que je comptais pour quelque chose.
J’ai dégluti.
– Tu es quelqu’un de tellement réel, Archer. Tu es le meilleur être humain que je connaisse, ai-je chuchoté en reposant ma tête sur sa poitrine. »
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J’ai continué ma coupe, et quand je me suis rapprochée pour fignoler le tour de l’oreille, il a retenu sa respiration. Je l’ai regardé à nouveau, ses yeux étaient légèrement dilatés, ses lèvres entrouvertes. Mes tétons se sont mis à pointer sous mon tee-shirt, Archer a baissé les yeux, qui se sont élargis en se posant sur ma poitrine. Il a détourné le regard, des taches rouges sont apparues sur ses joues. Il a serré ses poings sur ses cuisses musclées.
Je me suis penchée sur lui pour couper encore un peu, mes seins le touchaient presque. J’entendais le bruit de sa respiration rapide qui rompait le silence de la cuisine. J’ai baissé les yeux en me reculant, je me suis aperçue qu’il bandait. Vite, je suis passée derrière lui en coupant encore un peu, tout en tentant de contrôler ma propre respiration. J’étais incapable de savoir si je le coiffais correctement – je n’arrivais plus du tout à me concentrer, je sentais l’humidité perler entre mes cuisses. J’étais tellement émoustillée que j’arrivais à peine à tenir debout. Il était si proche, ça me faisait bicher de le toucher et de voir ce que ça lui faisait à lui aussi. Jamais je n’avais été allumée aussi facilement, juste à cause d’une fichue coupe de cheveux. En plus, il était clair qu’il ressentait la même chose que moi. En me déplaçant devant lui pour juger du résultat de mon travail, je me suis aperçue qu’il tremblait légèrement.
– Voilà, ai-je murmuré. C’est fini. Ça m’a l’air parfait, Archer.
Je me suis reculée pour l’examiner. J’avais du mal à avaler ma salive.
J’ai posé les ciseaux sur le plan de travail derrière moi. Mon pouls battait très fort dans mes oreilles et entre mes cuisses. Je le surplombais. Mes yeux ont glissé sur ses lèvres. Mon Dieu, j’avais tellement envie qu’il m’embrasse !
Il m’a jeté un regard intense. Je pouvais voir les mouvements de sa pomme d’Adam et sa cicatrice qui bougeait vers le haut. Pendant que nous nous dévisagions en silence, un doute a traversé son visage. Il s’est mis à serrer plus fort encore ses poings sur ses cuisses.
Tout à coup, il a repoussé la chaise et s’est levé d’un bond, comme électrisé.
– Tu dois partir maintenant, a-t-il dit.

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